Charles Rivkin avec les « jeunes des quartiers » de Paris XX
27 juin 2011 09:38, par Jiss
ah le "street art" et le graffiti, mouvement libre par éssence et non soumis aux institutions culturelles parce que vu et vivant de manière sauvage dans les rues de New York et parce que proche d’une idéologie de liberté artistique totale, est maintenant complètement soumis à des lois de concurrence digne de marchés boursiers, avec des barrières délimitant les zones entre chaque "artiste graffeur" ??
le "street art" n’est il pas un passe-temps de branleurs pseudo rebelles féminisés par des partis gauchistes et soumis artistiquement par l’argent des institutions ?