Festival woke à Cannes : le cinéma poignardé par le féminisme
20 mai 2023 08:25, par SevIl faut bien le reconnaitre, quand les femmes envahissent (parce qu’on leur ouvre les canaux, à dessein) le monde cul-turel, la cata n’est pas loin.
Depuis quelques années déjà, la littérature a été dévorée par le féminisme doublé du wokisme, ça donne des bouquins intimistes qui n’intéressent qu’une partie des femmes qui s’y retrouvent. Le créneau était auparavant occupé par les collections "détective, charme et romance" à deux balles, il est à présent cornaqué par tout ce qui blablate sur l’anecdotisme midinette version débridée : elles se sentent obligées de faire dans le porno (pour faire virile ?) espérant s’imposer et plaire à une partie visiblement frustrée de la masse inculte qui achète.
Idem pour le ciné où l’on trouve de plus en plus de scénarii parfaitement creux avec des histoires de femmes-flics qui ont le 1er rôle, mais... avec des caractéristiques totalement irréelles : elles gagnent physiquement contre les plus violents des machos, elles envoient balader leur adjoint (toujours un mec un peu bêta, forcément ! quand il n’est pas lui-même gay) et reviennent sur le terrain avec un minuscule sparadrap sur le front après une course poursuite et un combat contre des malfrats (mâles frats ?) musclés, grands et hyper violents. On se régale au moins pour ces comiques involontaires !
Un autre choix nous est proposé avec les scénarii d’histoire d’amour porno sans intérêt ou des romances avec des mecs dévirilisés et un peu niais. Bref, avouons-le, même pour une femme lambda qui a un peu d’exigence, on s’emmerde grave !
Quant aux féministes d’antan, elles sont maintenant écrasées par les néos qui font dans le pire du pire pseudo masculin, car là est le hiatus... elles détestent les mecs mais n’ont de cesse de les singer en caricaturant jusqu’à l’outrance invraisemblable ! Comme quoi, le néo féminisme est bien une bonne grosse névrose de refoulées...