En plus toute la bande américaine autour de Warhol, c’était des gros ploucs, des minables, des poseurs, des ratés. David Bowie les a rencontrés et s’est foutu bien de leur gueule, il a même écrit une chanson pour se moquer d’eux (Andy Warhol, 1971). Alain Delon y est allé et a tringlé leur « icône musicale » qui n’avait pas de voix... Les artistes européens qui ont été en contact avec la « factory » ont parfaitement jugé ce qu’elle valait : rien, de la merde américaine...
Andy walking, Andy tired
Andy take a little snooze
Tie him up when he’s fast asleep
Send him on a pleasant cruise
When he wakes up on the sea
Sure to think of me and you
He’ll think about paint and he’ll think about glue
What a jolly boring thing to do
https://www.youtube.com/watch?v=P4s...
Pour information, Alain Delon a accumulé une sublime collection de dessins modernes français, et de femmes. L’épave humaine Nico, américanisée, artcontemporainisée, camée, prostituée, c’était pour lui le plus bas degré, aucune raison d’en garder le moindre souvenir.