le Cinéma, c’est aussi la gestion du Temps et de l’Espace
(petit aparté, voilà pourquoi les bons films carcéraux peuvent être si pertinents)
Kervern-Delépine ont essayé de faire ça, par exemple, faire durer une séquence, une scène, l’étirer en croyant que ça va produire de la poésie :
manque de bol, ’faut le talent pour
à ce jour, de ce que j’ai vu et constaté, le maître dans le domaine, c’est João César Monteiro
" auteur d’une vingtaine de films iconoclastes, où se côtoient poésie, tragique et burlesque.
La plupart des films de Monteiro ont cette spécificité qu’ils échappent à toute catégorisation : ils sont irréductibles. " (Wikipedia)
lui, c’est comme un met délicieux, avec à la fois une sensualité et du non conformisme, du genre va te faire foutre, mais amené avec subtilité
c’est le tour de force de la profondeur dans le détachement :
bref, c’est un génie
très espiègle