L’affaire Biden, association de malfaiteurs père & fils, a des ramifications plus profondes qu’il n’y paraît. Hunter est le fruit pourri de la souche putride.
En ce moment même, une certaine TARA READE, citoyenne américaine, est réfugiée à Moscou : Vladimir Poutine lui a accordé un asile politique temporaire, suite aux menaces qui pèsent sur sa vie, après avoir dénoncé les agissements de l’actuel prez des US.
Elle affirme avoir été violée en 1993 par Joseph Biden, alors apprenti sataniste et politocard en gestation. Trump, qui lui n’a violenté personne, est sous le coup de 37 chefs d’accusation.
Enfin, le mur érigé par Donald Trump pour contenir les clandestins, est devenu une passoire sur ordre de Biden : 3 millions d’entrées de Sud Américains depuis le début de son mandat, dont des dizaines de milliers d’enfants amérindiens indigènes, qui ne parlent même pas l’espagnol, dont il se dit que la trace s’est perdue dans les réseaux destinés à satisfaire la goinfrerie sexuelle de l’élite politique, hollywoodienne, et d’affaires étatusinienne. Epstein est mort ? Le réseau lui survit. Merci, oncle Jo.
Il semblerait que MEL GIBSON prépare un film croustillant sur le sujet. Affaires à suivre...