C’est une belle proclamation que voilà, mais qui célèbre... le syndrome de Stockholm et rien de plus.
Le distingo entre France et république ("ripou-blique") n’est jamais fait, en bon petit soldat de la "raie-publique" le beau gendarme à la parole libérée semble ne pas comprendre que tout est cuit, que c’est trop tard.
La "raie-publique" a fait détester la France à beaucoup, et pas seulement d’origine allogène. Ce régime est haissable et méprisable, et tenter chaque jour de l’amalgamer à la France est d’une connerie sans nom.
Détester et vouloir faire tomber le régime du Homard à la Rugy, de la piqûre à la Pfizer ou du CO2 à la Rousseau est parfaitement compréhensible, c’est même un signe d’esprit alerte.
Mais nous expliquer qu’il faut sauver "la ripou-blique" parce qu’ainsi on sauvera la France, c’est un contresens total et très toxique.
Non, il ne faut absolument rien faire pour aider la clique de Paris à survivre, ce serait de l’acharnement thérapeutique.
Il est bien gentil ce gendarme avec sa take-take-tique, mais dans la pratique la France survivra largement sans Schiappa, sans Larcher, sans Zemmour, sans BHL, sans Attal, sans Mélanchon, sans tous les oripeaux de la Tricolore.
Alors je ne suis pas d’accord, la "ripou-blique", la "raie-publique", la "gueuse" ou tout autre "catin tricolore" doit être enfoncée pour une fin rapide et sa tête maintenue dans l’infâme bouillon qu’elle cuisine depuis des décennies et qu’elle nous sert de force à tous les repas.
Je ne lèverai pas un petit doigt pour l’aider, je dis non à l’acharnement thérapeutique sur une malade qui a dépassé la phase terminale depuis longtemps et qui présente tous les signes de la décomposition avancée.
On ne fait pas de massage cardiaque et de ventilation mécanique à un cadavre.
Et remplacer la "ripou-blique" décanillée par quoi alors ?
Par l’Histoire mon cher, par l’Histoire, avec un grand "H".