Lucien Cerise s’entretient avec Evgenia Bilchenko, ancienne égérie de l’EuroMaïdan
6 août 2023 18:48, par BrunrougeLes ukrainiens qualifiés d’ukro-nazis qui dénoncent "la psychose de masse du fascisme libéral".
Je rêve d’un monde où l’emploi de la stigmatisation de l’autre puisse s’exprimer avec d’autres mots de la part des personnes de qualité. Qu’il ne reste que les connards pour utiliser ces mots sans sens par rapport on contexte. Que les débats se mettent en place autour de la condamnation pour certains ou de l’explication positive par d’autres, du fascisme romantique de Robert Brasilliach, du fascisme mussolinien et du national-socialisme du NSDAP. Cette idéologie de gauche en opposition au communisme qui a séduit la droite authentique. Aussi une condamnation du stalinisme génocidaire, mais en même temps une réflexion de la compréhension de la juste critique du capitalisme par Marx mais qui n’a jamais trouvé d’issue politique que l’on puisse retenir comme une référence.
NB : Wikipédia
"« Vivre dangereusement : je voudrais que ce fût là le mot d’ordre du fascisme italien. Vivre dangereusement, cela veut dire être prêt à tout, à quelque sacrifice, à quelque danger possible, à quelque action que ce soit, quand il s’agit de défendre sa patrie. La vie telle que le conçoit le fasciste est grave, austère et religieuse : elle est vécue tout entière dans un monde porté par les forces responsables et morales de l’esprit. Le fasciste doit mépriser la vie commode. Son credo est l’héroïsme tandis que celui du bourgeois est l’égoïsme. Le fascisme est enfin une conception religieuse qui considère l’Homme dans son rapport sublime avec une loi et une volonté qui dépasse l’individu. Pour le fascisme, le monde n’est pas ce monde matériel qui apparaît à la surface, où l’homme est un individu isolé de tous les autres, existant en soi, et gouverné par une loi qui le mène à ne vivre qu’une vie de plaisir égoïste et momentanée. Le fascisme est né d’une réaction contre le siècle présent et contre le matérialisme dégénéré et agnostique. » (Benito Mussolini)
PS : "Vive dangereusement", je pense à AS, à Pierre de Brague, à Yvan Benedetti, à Jérôme Bourbon, à Hervé Ryssen, à Reynouard, et à leurs camarades de combat.
Est-ce que le fascisme peut-être la réflexion politique face au mondialisme et la finance cosmopolite ?