" Il a existé un catholicisme rural qui, quant à lui, était polylâtre, à cultes multiples, et magnifiait nombre de saints locaux, ceux des territoires paroissiaux."
Le culte des saints, les pèlerinages, les reliques, les processions, les fêtes, les ex-votos, les calvaires, les sculptures, les légendes, les romans de chevalereie et les chants des troubadours, les images, les médailles, n’ont rien de polyâtre ou de polythéistes, ils sont catholiques, ils ont été conservés, continués, encouragés, magnifiés et entretenus par l’Église catholiques, par les évêques et les curés des paroisses, par des ordres monastiques.
Ils ont toujours été combattus comme païens par les protestants, jamais par les catholiques.