Les bourgeois des grands centre villes, après s’être moqué des prolos supporters, ont volé le football aux gueux et l’ont rendu laid et impopulaire. Les clubs populaires de villes laborieuses (lens-saint Etienne) aux supporters nombreux se sont fait dominer ces dernières années par des clubs fades à l’histoire quasi inexistante au 20 ème siècle (lyon-lille-paris) mais qui ont profité des effets de la dérégulation et de l’embourgoisement des joueurs. Seule Marseille allie à la fois aisance financière et popularité au sens sociologique.