Alors, ce n’est pas pour défendre Macron, mais en réalité, cet homme est la suite chronologique d’un enfant, victime d’une bande de pervers autour de lui, et qui ont fini par le téléguider à leur guise, tellement ce qu’ils lui ont fait est innommable.
En gros, il aurait peut être pu finir comme ce gosse noyé du Coral ou Maëlys, et que donc, il devrait s’estimer heureux et faire ce qu’on lui dit.
Son regard à Macron, on peut y distinguer, à première vue, une déconnexion, un manque d’empathie totale, une froideur glaciale, une raideur de robot, mais si on le scrute bien, ne serait-il pas l’expression d’une immense immense souffrance d’enfant témoin bien trop tôt des pires horreurs inimaginables ?
Je me souviens aussi de son regard d’homme vide mais tout de même dégoûté, quand le président de la licra le brandissait comme un trophée.
Il me semble aussi qu’un jour, au début de son mandat, dans une église, à Noël je crois, il avait comme entamé une prière ou un notre père, et qu’il s’est vite ravisé parce qu’il a reçu (de la part de Bri ?) un rappel sur la laïcité...