Habiller le corps : Alain Soral et l’école Pierre Fournier (2/2)
13 novembre 2023 21:50, par rougette
A 20 ans t’étais trop jeune pour moi. A 30 un peu épaissi par la "fête" mais pas encore mûr pour ma gourmandise. A 40 hum... 45 hum hum. La cinquantaine t’allait comme un gant. Entre temps tu as grandi en esprit, tu as pris des notes. Je te trouve bien plus beau dans ta soixantaine bien pesée. Je suis aussi de 1958. Là ça décline, je suis une femme, faut trouver une sortie praticable. Je pense bien à toi Alain et je te remercie pour ces ouvertures aux 4 vents. Des bisous du Gers. Tu sera mon hôte de prestige au moment qui te conviendra. Je suis une solitaire sans réseau avec le physique de mon âge et une libido assoupie. Je suis élégante sans fard. Ceci n’est pas une demande en mariage tu imagines bien ! C’est très con ce que je viens d’écrire, non ? C’est fait exprès pour réveiller les femmes et les hommes en manque d’amour. Je regarde la rue et je vois ceux qui se tiennent et ceux qui penchent. La plupart des couples se penchent. C’est une vision triste de l’amour. Restent les petits chiens, les chats... faut pas mépriser les petites bêtes.