Affaire Jean-Michel Trogneux : l’État d’Israël fait-il chanter la France ?
24 novembre 2023 01:10, par PLIl y a un précédent célèbre : le chantage de Woodrow Wilson par l’avocat Samuel Untermyer (du célèbre cabinet d’affaires juif, Googenheim, Untermeyer and Marshall) qui le menaçait de révêler sa correspondance licencieuse et son adultère avec Madame Peck pendant sa campagne électorale à la Présidence des États Unis en échange
1°) de son élection en 1912,
2°) de la création en 1913 de la Federal Reserve (FED) par Paul Warburg et Jacob Schiff Wilson, commandités depuis Londres par Alfred Rothschild,
3°) de la nomination en 1916 à la Cour Suprême du sionniste Louis Brandeis (auteur de The Jewish Problem : How to Solve It,
4°) de la nomination à la tête du Conseil consultatif de la Défense National de Bernard Baruch, le « Shtadtlan » du Nouveau Monde
5°) de son soutien en 1917 à la Déclaration de Balfour appuyée aussi par Alfred Rotshild qui achetait des terres en Palestine,
6°) de l’entrée en guerre des USA alors qu’il avait fait campagne pour son second mandat sur le slogan « nous n’irons pas à la guerre ».
De nos sources historiques, confirmées par les mémoires du président français Poincaré, nous pouvons conclure que Woodrow Wilson, 28e Président des État-unis de 1913 à 1921, était sous l’emprise de Juifs puissants qui le tenaient par le chantage, les dettes, l’intimidation, la corruption, la flatterie et la subversion idéologique. Wilson avait de gros soucis d’argent, tout particulièrement, comme le montrent ses lettres à Mary Peck, durant son premier mandat.
Source : Jewish Control of US Presidents #1 : Woodrow Wilson – The Occidental Observer (Adaptation française, Francis Goumain)