Déjà deux remarques :
la formation à la volonté (après l’effort le réconfort) est plus difficile quand le père est ou a été absent - la volonté est un muscle comme eût dit le Dr Gautier, rien à voir avec le fatalisme oedipien, invention freudienne.
Et la volonté part des couilles puisque ce sont les première glandes (y’en a pas dans les jambes) pour peu à peu s’élever, d’où les préceptes chrétiens de tempérance, de chasteté - JM Le Pen eût dit "avec vigilance et force", tout est dit.
Tandis que Nietzsche avec sa volonté de puissance récupérée par Adolf Rothschild, pardon Hitler, n’a pas voulu du tout dire "sur-homme" dans le sens hitlérien de suprémaciste, mais simplement d’homme qui crée - d’ailleurs ce concept lui est venu après une promenade où il aurait eu une vision. Eh oui c’est peu connu, voir l’émission de TVL Les idées à l’endroit.
ensuite on pourra déplorer que ce manque de volonté manifeste et encouragé idéologiquement avec ces putains d’écrans immersifs (de plus en plus avec l’IA - écouter la douce Momotchi chez France Soir), fait oublier la PRODUCTION, du coup tout le monde consomme !
Immoralité aurait dit Clouscard, l’égalité n’y est pas !
C’est bien le but puisque toute cette masse peu à peu remplacée idéologiquement pat la technologie (automatisation + IA) : il faut bien l’occuper ! Et l’écran pourvoit à tout - sauf à l’ennui qui creuse et qui assoiffe - à fond vers l’hikikomori occidental !
Le problème est donc double : le jeune voudrait bien se bouger, il pourrait corriger ses faiblesses, mais sans projet collectif, pour aller où ?
En attendant, empiffrons-nous en hommage à Larcher, aucun rapport, mais c’est l’occasion ou jamais !