J’ai toujours aimé le graf’, 1 fois sur 10 000 le tag.
Mais le graf’, c’est un peu comme la science-fiction en littérature : une kyrielle de textes médiocres, au mieux distrayants ou "intéressants", pour très peu d’œuvres fortes et donc de chefs-d’œuvre.
Relativement à la fresque avignonnaise de Lekto, je précise que l’artiste avait extrêmement bien choisi son emplacement : au bord de la voie dite "des bords du Rhône" empruntée quotidiennement par des milliers de véhicule et qui draine à Avignon (chef-lieu) tous les gens des bassins de vie de Carpentras et d’Orange, et du nord Vaucluse en général.
Pour le bâtiment, il s’agit d’un poste électrique.
Le parking en arrière-plan est celui "des Italiens", où je me gare tous les matins.
La communauté de communes a remplacé l’image subversive par une production hideuse apparemment exécutée par un 5e SEGPA. Ainsi va la vie.