L’équation de ce conflit se résume à une personne : Netanyahou.
N’oublions pas le contexte en Palestine occupée avant le conflit avec les manifestations contre la réforme judiciaire.
Netanyahou savait ou ne savait pas que le Hamas allait attaquer ? Le saura-t-on un jour ? Probablement.
Quoi qu’il en soit, côté Palestiniens, Netanyahou et son état major doivent faire le plus de victimes possible afin d’une part de contenter son opinion publique. On entend l’opinion publique à propos des prisonniers israéliens, on ne l’entend pas sur le nombre de victimes palestiniennes.
D’autre part, faire un nombre important de victimes palestiniennes afin que le Hamas y réfléchisse à deux fois avant recommencer à attaquer.
Côté israéliens, Netanyahou a tout intérêt à minimiser le nombre des soldats morts.
Est-ce que l’opinion israélienne est prêt à accepter ces sacrifices ? Si le nombre de morts est réellement important, ça veut dire que la mainmise de l’armée sur la société israélienne est sans commune mesure.
Et minimiser le nombre de soldats morts pour les ennemis de l’entité sioniste, c’est maintenir le mythe de l’invincibilité de l’armée.