Le discours déchirant d’adieu à la Culture d’Abdul-Malak
13 janvier 19:12, par ANONYME...la Culture française qui n’existe pas...
En février 2017, Emmanuel Macron a déclaré : « Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse », cela explique la diversité de ses "ministres de la culture"...
Ce partisan du multiculturalisme a remplacé à ce poste une libanaise par une maghrébine.
La série avait commencé par une Belge :
Françoise Nyssen, du 17 mai 2017 au 16 octobre 2018 (1 an, 4 mois et 29 jours).
Elle affiche sa solidarité avec Delphine Ernotte déplorant le manque de diversité à France Télévision en estimant qu’il y avait trop "d’hommes blancs, de plus 50 ans".
Franck Riester, du 16 octobre 2018 au 6 juillet 2020 (1 an, 8 mois et 20 jours).
Ouvertement homosexuel, terne et quasiment insignifiant, avec un patrimoine de onze millions d’euros, ce propriétaire de plusieurs concessions automobiles est le ministre le plus riche.
Roselyne Bachelot, du 6 juillet 2020 au 20 mai 2022 (1 an, 10 mois et 14 jours).
Cette commandeur de la Légion d’honneur avait joué, en mars 2018, avec Myriam El Khomri et Marlène Schiappa, "Les Monologues du vagin", au théâtre Bobino.
Son ministère applique à partir de 2022 des baisses massives des financements destinés à l’archéologie programmée, de l’ordre de − 25 % à − 50 % selon les régions.
Rima Abdul Malak, du 20 mai 2022 au11 janvier 2024, (1 an, 7 mois et 22 jours).
Cette ancienne directrice des programmes de Clowns sans frontières, née à Beyrouth (Liban), possède la double nationalité française et libanaise.
Dans le cadre de l’affaire Gérard Depardieu, elle annonce une « procédure disciplinaire » par la grande chancellerie de la Légion d’honneur concernant l’acteur.
Elle est publiquement désavouée par Emmanuel Macron qui considère que cet ordre n’a pas pour vocation de « faire la morale ».
Rachida Dati, fille d’un maçon d’origine marocaine, et d’une algérienne ; magistrate en disponibilité, devenue avocate à titre dérogatoire, elle avait fait un lapsus en parlant du "gode" de la laïcité.
Elle est mise en examen pour corruption passive et recel d’abus de pouvoir.
Cela semble mal parti pour conjurer la "malédiction des ministres de la culture qui ne restent pas plus de deux ans à leur poste"...