L’affaire Oudéa-Castéra : une tempête dans un verre d’eau (bénite)
19 janvier 13:54, par fcfdxwL’exemple du petit Attal et de tant d’autres montre que l’instruction, aussi chère et soignée soit-elle, ne donne pas l’intelligence, qui est innée.
Au moins l’apprentissage des principes moraux l’aurait contraint au devoir.
Le petit Attal serait allé à l’école publique, il aurait même été moins bêta. Avec l’envie d’en sortir et de s’en sortir.
Quand l’entourage satisfait vos envies et vos désirs sans vous demander d’effort, vous restez un gros bébé. Epstein en est un bon exemple avec ses massages et palpations pour nourrissons, et son besoin envieux de saccager la chair tendre et fraîche, en guise de relation adulte.
La zélite a endetté le pays pour y importer des gens qui... que, euh... nous ne pouvons pas critiquer, dont nous ne pouvons pas sourire ou rire, qui peinent à concevoir l’abstraction, qui peinent à suivre les cours, qui ne coprennent rien à rien à la culture française (la vraie) ni à la coutume... Bref qui sabotent l’enseignement, quand ce n’est pas la famille des autres.
Résultat, une école publique bruyante et inefficace, à côté d’écoles choyées, mais quand même subventionnées pour la progéniture de la zélite regroupée dans des quartiers exclusifs.
Oudéa veut que ses enfants soient heureux, encadrés. Et les nôtres, alors ?
Ceci étant, je ne la trouve pas antipathique. Elle ressemble à sa parente, la fille à Kouchner, belle-fille malgré elle d’un drôle de zigoto.
Maintenant que la dette est là, les usuriers songent à faire payer qui le peut. Tiens, les bonnes écoles, par exemple.