Soral Live – Méthode de lecture
4 février 02:26, par SedetiamC’est exactement ce que je fais, lire plusieurs livres à la fois, même ceux stockés en .pdf, et j’ai bien évidemment nombre de « Que sais-je ? » et autres auteurs qui dissèquent les concepts des penseurs ou idéologues, qui servent effectivement de profs, mais qui ne nous dissipent pas avec leur parfum, mini-jupe et autres gros seins.
J’ai arrêté la note papier parce que je ne suis pas assez ordonné au point d’avoir x milliers de brouillons épars, même pour ce qui concerne ceux aux dessins à faire, aux scénarios photos à réaliser + annotations et que je « hais » la paperasserie (utile au système), pour la confier au numérique et ses sauvegardes multiples nécessaires : quant à la recherche par mot clef que cela permet... (aussi sur .pdf « texte »).
Je viens même de rajouter au panel matériel, un enregistreur numérique pour aller jusqu’à choper les conférences auxquelles j’assiste, en plus des idées qui fusent ça et là.
De toute façon, la plus grande part de mes activités ayant muté vers le numérique, je dispose de tout ce qu’il faut en terme de stockage qui forge les habitudes utilisateur, du PC fixe jusqu’au smartphone et tout ce qui peut s’y connecter.
Avec toujours par devers moi, pour ce qui concerne les données les plus névralgiques cryptées, un Extreme DD SSD 2TO externe, portable et son pendant dans un coffre ignifugé et étanche avec le reste de ses comparses moins extrêmes mais aux TO bien plus conséquents, à devenir fou, puisqu’ils sont eux-mêmes sauvegarde du NAS, qui lui sauvegarde les PC, tablette et smartphone, et une clef USB 512GB Ultra Dual Drive metallique (qui chauffe un peu), les disques en question n’étant pas OTG (On The Go) et ne fonctionnant donc pas en direct avec le smartphone : soit 1.5 TO à portée de main, la moitié du 2TO étant déjà une sauvegarde du smartphone qui contient 512GB + 512 GB. Telle est la partie la plus frustrante du sujet qu’il faille y mettre le nez, n’ayant par ailleurs pas assez confiance aux "Clouds", bien que je puisse leur confier quelques données de transfert lorsque le besoin s’en fait sentir et qu’il ne s’agit pas de données personnelles.
De quoi me rendre l’art qu’en ciel...
Je remercie Alain qui rassure le polychrone bibliophile qui vit en moi : je croyais que j’en avais un coup sur le carafon de passer, non pas d’une page à l’autre, sans aller à la ligne comme l’autre idiot, mais d’un bouquin l’autre.
En revanche il n’est pas de gain de productivité, pour être plus lent.