Jacquot, Doillon : Isild Le Besco nous fait une "Godrèche"
23 février 20:42, par sharivari
La scène des amours Signoret-Delon, c’est détestable.
Que fait ce beau jeune homme avec cette veuve trop mûre ? On se dit : c’est par intérêt.
Il va si bien avec la jeunette, en revanche.
La veuve Couderc abuse. Ses sentiments doivent être tus. Qu’elle se trouve un veuf de son âge pour faire marcher la ferme.
Le réalisateur tente de nous faire admettre qu’une actrice vieillissante, douée, qui joue bien, mais physiquement mal conservée, a encore de quoi faire rêver un jouvenceau.
Eh bien non et non et non.
Une matrone n’est pas séduisante ; elle a bien d’autres atouts. Et une fraîche adolescente n’a pas vocation à devenir la maîtresse d’un assez vieux monsieur.
Dans un cas comme dans l’autre, charivari.