JO – 135 : le problème d’Aya Nakamura n’est pas qu’elle soit noire, mais naze
13 mars 07:33, par Babar"Proposer #AyaNakamura pour la cérémonie des JO me rappelle leur choix de faire chanter le rappeur Black M pour le centenaire de la Bataille de Verdun.
Stratégie identique : proposer ou organiser des choses volontairement provocatrices pour précisément provoquer une réaction et appeler cette réaction « une vague de haine et de racisme ».
Et en réponse à cette « vague », les journalistes, les électeurs citadins de gauche, les artistes, les politiques, les éditorialistes, les vegans, les bobos, les lecteurs de Télérama, les auditeurs de France Culture et le public de Quotidien, en somme tout ce qui anime la machinerie sociologique de l’extrême-centre se prononce en faveur des artistes concernés et redit sa totale condamnation du racisme.
Et ainsi les mécanismes psychiques, les conditionnements idéologiques, sociologiques et par définition électoraux sont renforcés, consolidés, et c’est ainsi que la classe politique en place parvient à conserver son noyau dur.
En agitant à échéances régulières la figure du Français moyen ringard, raciste et intolérant et en la présentant comme un obstacle à l’avènement de la Cité républicaine harmonieuse parfaite, les animateurs stratèges de l’extrême-centre organisent en quelque sorte des élections avant les élections ou, si vous voulez : s’assurent que les soldats électoraux du contingent progressiste conservent leur souci de sauver la République.
Ils s’en fichent totalement et cyniquement de Aya Nakamura ou de Black M. Ces artistes noirs communautaires ne sont pour eux que des outils pour provoquer le peuple français en allant titiller son instinct de survie, sa décence commune, son bon sens et les derniers restes de réaction vitale qui lui reste.
On pense qu’ils nous détestent, en réalité ils nous méprisent et c’est encore pire."
Source : Les Vilains Complotistes