Message de l’Auvergnat contre l’Islamophobie
14 octobre 2011 21:15, par SycomoreIL N’Y A PAS D’ISLAMOPHOBIE EN FRANCE.
Pouvez-vous me citer ces fameuses mesures islamophobes du gouvernement ? A part la prohibition du voile intégral, j’ai beau chercher je ne vois pas...
Même les prières de rue - interdites en Algérie - sont tolérées voire encouragées par le laxisme des édiles locaux. Ces édiles qui se précipitent au festin marquant la rupture du Ramadan...
Et que dire des premières bribes de finance islamique que Christine Lagarde s’est empressée d’intégrer à notre réglementation !
Les permis de construire accordés aux mosquées pleuvent, des locaux autrefois publics sont cédés à vil prix (baux emphytéotiques, prix très inférieurs au marché) et transformés en lieu de culte, les rayons alimentaires regorgent de bouffe hallal, les commerces musulmans prospèrent.
Les musulmans possèdent des associations cultuelles et culturelles, des écoles coraniques, des écoles privées, des agences matrimoniales, des salons et expositions, des radios communautaires, des sites internet, des chaînes de télévision diffusées en France (ADSL, câble, satellite).
Les lois françaises protègent les musulmans : liberté de culte (Constitution), non discrimination (code pénal). Jean-Marie le Pen s’est fait condamner pour avoir osé utiliser des affiches intitulées Non à l’islamisme, lui le patriote sincère qui fit élire à l’Assemblée une femme musulmane (1986) et qui prit pour colistier un musulman (et ce dès 1957).
Et que dire des manuels scolaires qui font désormais la part belle à l’islam et aux civilisations musulmanes ?
Comment peut-on avoir l’outrecuidance de s’ériger comme certains le font en martyrs ou en persécutés ?
Pour paraphraser Soral, la véritable persécution, le véritable génocide par substitution (cf. Aimé Césaire) ce sont les Français historiques qui la subissent. Patriotes, il ne peuvent même plus louer publiquement leur pays et leur histoire sauf à risquer la mise à l’index. Et chaque jour que Dieu fait ils sont toujours un peu plus étrangers dans leur propre pays, pris entre le marteau de l’américanisation et l’enclume de l’immigration et des revendications communautaires.
Reconnaître préalablement ces quelques faits serait un bon moyen d’établir un dialogue honnête entre nous.