Fidel Castro : le monde avance vers l’abîme
7 janvier 2012 19:13, par Le petit reporterA propos des "changements climatiques". Une autre version de Pascal Bernardin qui s’inscrit en faux avec les propos alarmistes de Fidel Castro.
L’INSTAURATION D’UN GOUVERNEMENT MONDIAL
L’instauration d’un gouvernement mondial est l’un des principaux objectifs mondialistes ; c’est également l’un des ressorts du montage de l’effet de serre. De nombreux textes émanant des institutions internationales affirment que la (prétendue) crise écologique ne saurait être résolue au niveau local et que seule l’instauration d’un GOUVERNEMENT MONDIAL permettra de dépasser les égoïsmes nationaux.
Il importe donc de saisir les véritables enjeux de la querelle de l’effet de serre. Ils sont d’ordres économique et social, politique, culturel, moral et religieux : instauration d’un socialisme mondial et uniformisation des niveaux de vie sur l’ensemble de la planète par le jeu des délocalisations ; création d’un gouvernement mondial ; émergence d’une culture et d’une civilisation écologiques ; enfin et surtout changement de la conception de Dieu, de l’homme et de la nature pour arriver à une nouvelle éthique et à une spiritualité globale, anticatholique et antéchristique.
UNE SPIRITUALITÉ GLOBALE.
1 / « Au-delà [et au-dessus] du contrat moral avec Dieu, au-delà [et au-dessus] du contrat social conclu avec les hommes, il faut maintenant conclure un contrat éthique et politique avec la nature, avec cette Terre même, à qui nous devons notre existence, et qui nous fait vivre." (Boutros-Ghali, conférence de Rio) .
2 / « Nous sommes entrés dans un nouvel âge. Un âge pendant lequel nous devons signer une nouvelle convention avec notre environnement ... et entrer dans la communauté plus large de tous les êtres vivants. Un sentiment nouveau de notre communion avec la planète Terre doit entrer dans nos esprits. » (Klaus Töpfer, sous-secrétaire général de l’ONU et di-recteur exécutif de l’UNEP)
3 / « Le besoin d’une nouvelle éthique et d’une spiritualité puisée à toutes les sources des grandes religions et philosophies résulte en particulier de ce lien qu’il convient de rétablir entre liberté et responsabilité. » (ONU, Conférence de Copenhague)
Source : revue mensuelle Lectures Françaises n° 601-602, mai-juin 2007, pp. 33 à 46 -