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Alain Soral donne une leçon de politique à François Asselineau

 

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147 Commentaires

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  • #452858
    Le 2 juillet 2013 à 13:19 par Heureux qui, comme Ulysse...
    Alain Soral donne une leçon de politique à François Asselineau

    Que de confusion !
    La particularité d’Alain Soral c’est justment qu’il est devenu mature au point d’être dépourvu d’idéologie et que, par conséquent, il ne verse pas dans le registre nauséabond de la politique.
    Son registre est celui de la raison, une pensée libre et autonome ne saurait produire quoi que cela soit d’objectif par la règle qui prévaut en politique, celle des "quatre C" (conditionnement, collusion, compromission et corruption). Le salut est en dehors du champ politique, continuer à l’alimenter est une erreur.
    Seules deux conceptions de l’humanité peuvent s’opposer, agir pour l’intérêt et le bien commun sans mépriser le talent des meilleurs qui alimentent le véritable progrès ou se muer en imposteur pour s’assurer de son propre confort et intérêt au péril de l’espèce toute entière.
    Le bien n’est ni de gauche ni de droite (constuction intellectuelle de l’Empire destinée à cliver et diviser, sans lien avec le réel), il est le bien, seulement.

     

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  • #452859
    Le 2 juillet 2013 à 13:19 par olivier
    Alain Soral donne une leçon de politique à François Asselineau

    Je partage assez la thèse de Zemmour, on a eu des rois de la francie occidentale carolingiens qui sont devenus empereurs comme Charles II, puis les capétiens héritiers des carolingiens, ont tenté soit directement à se faire reconnaître comme empereur comme Robert II le fort, Saint Louis, je crois, Charles VIII, François Ier, et Louis XIV, soit indirectement en voulant nommé un capétien à la tête de l’empire comme Saint Louis, Philippe IV...
    Les capétiens ont toujours tenté de mettre aussi un rejeton sur les trônes des autres pays, comme en Espagne, Italie, Angleterre (Louis XIII), Pologne (jusqu’à Louis XV), Portugal, Brésil et Jérusalem.
    Les capétiens avaient plus d’arguments à être empereurs que les Habsbourgs. Ils étaient à la tête du plus vieux royaume d’Europe qui existait encore, depuis le Vème siècle, Fils aîné de l’Eglise et sacrés comme les carolingiens, contrairement aux Habsbourgs.
    Je dirai même, c’est quand ils ont refusé à l’empire que la royauté est morte.
    Le dernier roi à se faire représenter en empereur romain était Louis XIV, ni Louis XV ni Louis XVI en firent, et la royauté disparut.

    Je serai plutôt pour un retour du Saint Empire avec un capétien à la tête, comme le dit René Guénon, l’ère des nations marquent une décadence, contrairement à l’empire, où cela exige un dépassement.
    Mais je sais que pour l’instant, c’est utopique pour divers raisons, je regrette que l’Empire Austro-hongrois a disparu par les coups des démocrates, nous aurions pu faire l’Europe à partir de cette base saine et non de créer un nouveau truc sortant de la tête de technocrates.

     

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  • #453001
    Le 2 juillet 2013 à 15:48 par Dj Roger 23
    Alain Soral donne une leçon de politique à François Asselineau

    Il y a eu un colloque sur la Francophonie organisé par l’UPR,ça serait bien que E&R diffuse les vidéos,c’est en trois partie,c’est assez long,elles sont toutes bien,la partie 3 est passionnante,si vous la diffusez sur le site,je suis convaincu que vous ne le regretterez pas.

     

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  • #453032
    Le 2 juillet 2013 à 16:22 par indamix
    Alain Soral donne une leçon de politique à François Asselineau

    Concurrence ou non dans la lutte des atlantistes ?

    Au niveau concret (élection présidentielle) il y a bien une concurrence politique entre le FN et l’UPR je pense. L’UPR n’aime pas le FN....soit. Je ne suis pas d’accord avec eux sur ce point mais il n’en reste pas moins qu’une certaines idéaux sont présentes chez eux deux. Celui d’être contre les clones atlantistes du PS et de l’UMP.

    Ainsi au niveau plus abstrait des idéaux (video, doc, interview, débat ou analyses) je trouve qu’il n’y a pas tant de concurrence que cela. J’aiguise ma conscience politique grâce aux deux.

    Pas si sur que Soral donne une "leçon" de politique à Asselineau d’ailleurs. Entendre de ca bouche que Mr Asselineau est un grand conférencié n’est pas rien. Je reconnais là l’honneteté et la sa critique très objective pour mentionné cela d’un homme.

    Les puissants deviennement tellement pathétiquement puissants que le simple fait d’être contre eux est déjà une bonne voie. Après il y a effectivement différentes manières.

    Celle de Asselineau comme Soral sont donc intéressantes, différentes mais absolument complémentaire !

     

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  • #453042

    « Une leçon à Asselineau » ! Comme vous y allez !!

    Soyons clairs : je respecte M. Soral. Il fait partie de ces gens qui ont éveillé en moi un certain goût pour la dissidence…
    Mais je suis tout de même étonné que M. Soral « donne des leçons » à Asselineau, et soutienne par ailleurs régulièrement un Dupont-Aignan qui a fait 1,79 % aux présidentielles (à mon humble avis, il n’ira jamais bien plus haut), et que l’on pourrait accuser plus que quiconque de prendre des voix au FN !!
    Je précise aussi que la candidate de DLR aux législatives de 2012, dans la même circonscription, a obtenu 1,14 %, ce qui est une « veste » beaucoup plus cinglante que celle d’Asselineau, eu égard à la notoriété de DLR par rapport à l’UPR, à la médiatisation confortable de Dupont-Aignan, et au fait qu’il n’y avait que 10 candidats en 2012 (16 cette fois-ci !).
    Pourquoi M. Soral ne donne pas plutôt une « leçon » à NDA ?? (J’avoue que j’aimerais plutôt que ce soit Asselineau qui la donne à NDA,... dans un débat que ce dernier a toujours fui, car il n’est pas assez idiot pour ne pas comprendre qu’il serait KO au 2ème round !)

    Par ailleurs, dans votre logique, on pourrait dire que « Pierre Hillard donne une leçon de politique à Alain Soral », quand il décrit le rôle de Dupont-Aignan (voir surtout l’avant-dernière réponse de l’interview) :

    http://www.contre-info.com/nicolas-...

    Enfin, pour terminer, les gens de l’UPR viennent de partout : PC, Modem, PS, Ecolos, Anars, FdG, et probablement FN. Mais la plupart n’ont jamais été encartés, et sont des écoeurés de la classe politique et des abstentionnistes (il y a aussi des Soraliens, si, si !). Mais tous sont sur une même base CLAIRE et SANS AMBIGUITE : Une conscience aiguë de l’origine américaine de l’UE, et la volonté farouche de sortir de l’UE, de l’euro et de l’OTAN. Je doute qu’il en soit de même au FN, vues les contorsions de M. Le Pen :

    http://www.dailymotion.com/video/xz...

    Bien à vous (et merci à la modération).

     

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    • #453741

      Ben oui mais là justement vous tombez dans le piège que dénonce Soral, qui consiste à réduire vos idées et votre popularité à des pourcentages

       
    • #454397

      Oui Frédéric, vous avez raison. Il est vrai que j’ai réagi de manière un peu épidermique à la conclusion de cette vidéo, qui souligne avec ironie le pourcentage d’Asselineau…

      Les propos de M. Soral sont par ailleurs plein de bon sens, en particulier dans la 1ère partie.
      Malheureusement, comme il dit, le résultat ne reflète jamais la qualité du discours… En l’occurrence, il reflète la popularité du candidat (je ne suis même pas sûr qu’à l’échelle nationale il y ait 0, 58 % des gens qui connaissent Asselineau…). Et ce sera ainsi tant que les médias, ou plutôt ceux qui les tiennent, le boycotteront.
      En tout cas, ce boycott a le mérite de montrer qu’il gêne, et que donc il est dans le vrai…

      Pour le reste, je ne change pas une virgule : pourquoi la boutique d’Asselineau serait critiquable, et pas celle de NDA ? Quelle est la possibilité de ce type d’arriver un jour au pouvoir ? Son combat est-il si sincère pour que M. Soral daigne le soutenir ? Permettez-moi, comme Pierre Hillard, d’en douter …

      Bien à vous.

       
  • #453165
    Le 2 juillet 2013 à 18:55 par leon sanchez
    Alain Soral donne une leçon de politique à François Asselineau

    Ce qui est regrettable avec Asselineau, c’est pas qu’il soit contre le FN, à vrai dire tout le monde s’en fout. Le problème, c’est qu’il a la même positon que les europeistes sur le FN, avec les mêmes arguments creux que les idéologues de l’antiracisme, mais qu’il subit exactement le même ostracisme. Pourquoi, subit-il le même ostracisme ? Parce que ce qui est reproché au FN, c’est pas d’être "raciste" (Sarkozy et Chirac ont prouvé qu’ils pouvaient l’être sans être ostracisés), c’est parce que ce parti là est antieuropeen comme l’UPR, c’est pour cette unique raison qu’il subit ce même blackout mediatique. Il faudrait qu’il reconsidère son attitude face à ce parti parce qu’on ne va pas s’en sortir comme ça. Autant, si il avait été moins sectaire, il aurait pu se présenter à villeneuve sur lot en tant candidat UPR, soutenu par le FN (comme Menard à Bezier), et il aurait peut être pu gagner l’élection. Je fais de la politique fiction en disant ça et je retombe dans la médiocrité électorale, mais ce qui me gêne, c’est cette guerre interne entre antieuropeens, on a clairement plus de temps à perdre avec ça.

     

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  • #453677
    Le 3 juillet 2013 à 10:32 par Piccolo
    Alain Soral donne une leçon de politique à François Asselineau

    Rappel : cet article est une réponse à la leçon qu’a voulu donner Asselineau à Soral
    http://www.youtube.com/watch?v=OoVw...

    Quand on critique tout le monde pour ne pas se remettre en cause soi-même, il faut parfois s’attendre à des réponses bien senties

     

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  • #454661

    Toutes ces polémiques me rappelle un petit village gaulois (visible à la loupe souvenez vous) qui résiste encore et toujours à l’envahisseur... Mais dans lequel les valeureux habitants sont toujours en train de s’engueuler !!!
    ça pourrait être marrant, mais au final c’est plutôt épuisant et désespérant... car totalement improductif, inefficace et décrédibilisant aux yeux du grand public déjà complètement conditionné pour se méfier...

    En cette période de Tour de France imaginez une équipe qui lors d’un contre la montre par équipe refuserait de s’entendre, de prendre des relais... pire, se glisserait des bâtons dans les roues... pendant que les autres eux tournent comme des mobylettes :(
    La politicaillerie restera toujours la politicaillerie !
    Pas de quoi me donner envie de me re déplacer un jour pour aller voter tout ça !

    De toute façon la démarche d’aller voter ne contribue qu’à une seule chose : légitimer ce système faussement appelé "démocratique"

     

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  • #455210
    Le 4 juillet 2013 à 14:32 par Persée
    Alain Soral donne une leçon de politique à François Asselineau

    Le souci avec le FN, c’est son islamophobie originée chez les néoconservateurs américains, dans laquelle convergent désormais toutes les droites radicales européennes ; option dictée par le sionisme mondial et l’atlantisme. C’est aussi son projet d’ "autre Europe" (voir le programme du FNJ) et son récent hommage à Thatcher, mère des politiques néo-libérales impériales. Donc le FN ne représentera jamais l’âme de la France, car c’est un parti impérial de plus excessivement clivant, qui ne pourra accéder au pouvoir dans le cadre du scrutin majoritaire à deux tours.

     

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  • #455999
    Le 5 juillet 2013 à 12:09 par François
    Alain Soral donne une leçon de politique à François Asselineau

    Il faut clarifier le rôle du FN selon Asselineau : le plus important c’est que, d’après lui, le FN alterne entre discours haineux (notamment envers les musulmans) et discours réalistes. Les discours haineux font peur aux gens "de bien", certes manipulés, et fait du FN le parti diabolique. Ainsi le discours réaliste, honnête et sain véhiculé par le FN (notamment quand Marine ou son père attaque l’Europe ou l’oligarchie) est perçu comme diabolique puisque prononcé par le diable. Cela nuit ainsi à toute politique sincère d’une véritable opposition (celle qui passe par la sortie de l’europe, du retour à une monnaie nationale, etc) car grâce au FN_ qui n’a par ailleurs jamais proposé REELLEMENT de sortir de l’Europe (mais c’est dans la pensée commune) _ toute politique sincère est réaliste sera rapprochée du FN et donc du diable. Bref le FN représente l’opposition, le problème étant que le FN diabolise l’image de l’opposition.
    Le retour au franc est ainsi perçu par l’opinion publique comme une politique d’extrême droite (rien que le mot "extrême fait peur aux gens) alors que c’est un choix à faire rapidement si l’on ne veut pas couler avec l’Europe. C’est grâce à cela que le FN, fortement médiatisé mais fortement diabolisé" par les médias, permet de laisser place à l’UMPS et d’empêcher la montée de tout mouvement politique d’opposition réaliste ( pardonnez moi ce pléonasme). C’est aussi pourquoi le chemin des urnes pour le changement semble si bloqué depuis des années. Il faut se placer dans la tête de la majorité crédule : le changement (le vrai) c’est extrême, pas réaliste, tout simplement parce qu’ils ne connaissent rien de la réalité. Cette réalité François Asselineau fait des efforts démesurés pour l’expliquer, et choisit ses mots de façon à convaincre le plus de personnes possible (contrairement au FN qui utilise des mots qui choquent pour attirer un électorat bien particulier). Les analyses d’Asselineau m’ont ainsi permis de parler de politique à des personnes peu instruites politiquement, qui ne m’écoutaient pas voire me prenaient pour fou, quand j’employais un discours plus "Soralien". C’est d’ailleurs la différence entre un intellectuel d’opposition et (vrai) homme politique d’opposition : le choix des mots et des angles d’analyse. Comme dit Asselineau il ne veut pas montrer qui tire les ficelles mais couper les ficelles ! Et puis il faut savoir que l’UPR a été récemment fondé, avec une progression étonnante.

     

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