Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Exploit : Alain Jakubowicz bat son propre record d’antiracisme

Faut-il débaptiser le quartier de la Négresse à Biarritz ?

À l’approche des fêtes du quartier de la gare, cette question, relayée par le président de la Licra, agite les réseaux sociaux.

La question n’est pas nouvelle, mais elle enflamme cette fois les réseaux sociaux. Tout a commencé lundi, par ce tweet posté par une enseignante.

 

 

Il aurait pu passer (presque) inaperçu s’il n’avait trouvé un soutien de poids en la personne d’Alain Jakubowicz, président de la Licra, la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme.

 

 

Critiqué par de nombreux twittos, il s’est fendu de deux autres messages.

 

 

Messages qui ont dopé la polémique, les twittos réagissant avec plus ou moins d’humour et de violence (que nous ne retranscrirons pas ici).

Tweets choisis :

 

 

 

 

Lire l’intégralité de l’article sur sudouest.fr

Voir aussi, sur E&R :

Rendre service à l’antiracisme authentique
en signant la pétition pour la dissolution de la LICRA !

Sur la question raciale, chez Kontre Kulture :

Offrir un mug à Alain Jakubowicz pour égayer sa cuisine !

 






Alerter

47 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • #1204825
    Le 11 juin 2015 à 09:55 par Antidote
    Exploit : Alain Jakubowicz bat son propre record d’antiracisme

    Je crois que c’est aimé Césaire qui avait demandé que le mot « nègre » ne soit pas retiré du dictionnaire, dans un souci de mémoire.

     

    Répondre à ce message

  • #1204853
    Le 11 juin 2015 à 10:57 par captainauvergne
    Exploit : Alain Jakubowicz bat son propre record d’antiracisme

    Il faut d’urgence, priorité nationale ô combien plus impérative que l’emploi et la crise, supprimer le mot nègre du dictionnaire ; ainsi que le mot france et tous ses dérivés : français, francophone, franchouillard. De même pour tous les mots se rapportant à une ethnie, une race, un peuple particulier. La langue française est d’ailleurs tellement raciste en soi, qu’il faudrait l’interdire. Le premier qui parle, sauf ayant droit du CRIF et de la LICRA, devrait être sévèrement puni : 6000000 d’euros, confiscation des biens et emprisonnement sans jugement à vie.
    Je suis indigné ; j’ai enfin trouvé une cause juste à défendre qui ne me fasse pas perdre mon temps ! Pensez-vous, avant, j’étais indigné par l’avortement, l’euthanasie, les crimes d’Israël, BHL, la dette... que des causes futiles en somme. Ma vie va changer à présent. A qui dois-je adresser mon chèque pour qu’enfin se taisent les méchants racistes qui ont dit "nègre" et qu’ils payent pour leurs forfaits ?

     

    Répondre à ce message

  • #1204864

    J’ai vraiment pas pu m’éclater de rire : est-ce la bonne réaction ou pas ?
    Ils devraient aussi rajouter un concours "plus Négresse qu’elle tu meurs !"

     

    Répondre à ce message

  • #1205137

    beltxa serait de rigueur, tous ces non basques barrura (mdr). Il doit vvraiment s’ennuyer ferme Jaku, dans son monde à lui.

     

    Répondre à ce message

  • #1205173

    Moi, c’est le mot "Youppie !" qui m’a toujours choqué. Faut faire quelque chose. Interdire toutes les festivités susceptibles d’occasionner la profération de ce terme. J’dis ça...

     

    Répondre à ce message

  • #1205229

    ALERTE INFO un groupe de rock renonce a se produire dans le quartier de la négresse par crainte de représailles de la LICRA et consort ? Il s’agit du groupe "Les négresses vertes"

     

    Répondre à ce message

  • #1205251

    Faire des polémiques sur du rien. On dirait qu’il n’a que ça à foutre ; brasser de l’air et payé pour ça. Affligeant Jakubowicz, affligeante LICRADE...

     

    Répondre à ce message

  • #1205455

    Et le film "rue cases-nègres" faut-il aussi lui retirer son titre ?

    film réalisée par la grand-mère de Pascal Légitimus.

     

    Répondre à ce message

  • #1205578

    C’est histoire de dire vous voyez la Licra bosse pour tout le monde !

    A part ses tweets qu’à t-il fait ? That’s all folks !!!

     

    Répondre à ce message

    • #1209117

      Vous avez misé juste. Le Jacubobo voulait juste faire parler de lui et de la LICRA, pour faire croire aux noirs qu’il les aimes et les soutient, alors qu’en réalité c’est bien le dernier de ses soucis. Il faut lui reconnaitre une certaine habilité dans la récupération de situations.

       
  • #1205857

    Ce qui est juste curieux avec Jakubowicz, c’est qu’il n’aie jamais fait la proposition de débaptiser les rue dédiées à Pierre Mendès-France. En effet la plupart des citoyens ignorent que l’ancien Président du Conseil de la IVème république est issu d’une longue lignée d’esclavagistes bordelais.
    L’un de ses ancêtres Isaac Mendes avait défrayé la chronique judiciaire dans les années précédant la Révolution Française. Il était revenu des Antilles françaises à Bordeaux avec deux esclaves Guillaume Pampy et Amynte Julienne dans ses bagages Or, si à cette époque l’esclavage était en vigueur dans les colonies françaises, ce n’était pas le cas en métropole. Lorsque les deux esclaves antillais découvrirent le pot aux roses, lassés des mauvais traitements qu’ils subissaient ils firent faux bond à leur propriétaire. Ce dernier, furieux de perdre sa propriété intenta un procès pour rentrer dans ce qu’il considérait être ses droits. Malheureusement pour lui les juges de Bordeaux confirmèrent la liberté des deux noirs antillais, condamnèrent Mendès aux dépens et à payer à ses serviteurs un gage pour les services rendus depuis leur arrivée sur le sol français métropolitain. Celà pourrait être le sujet d’un édifiant film antiraciste, mais, compte tenu de la forte représentation d’une communauté dans les milieux du cinéma et de la télévision, il n’est pas sûr que l’on verra de sitôt, deux jeunes esclaves antillais dans le rôle des héros positifs, luttant pour leur liberté et leur dignité et un juif bordelais dans le rôle de l’esclavagiste cupide !

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents