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L’erreur du darwinisme et ses conséquences – Conférence de Dominique Tassot à Montpellier

E&R Languedoc recevra Dominique Tassot à Montpellier le samedi 27 janvier 2024 à 15 h 00 pour une conférence intitulée « L’erreur du darwinisme et ses conséquences ».

 

La présentation de l’événement :

Depuis son apparition dans le paysage intellectuel, la théorie de l’évolution a soulevé de multiples questions et continue de le faire. Ce n’est pas comme pour une découverte scientifique habituelle, cantonnée à un domaine de connaissances précis. En transformant la vision que l’homme avait de lui-même, en particulier de son origine, elle a eu une influence considérable dans de nombreux domaines : idéologique, politique, religieux…

Notre conférencier, Dominique Tassot, est ingénieur des mines de Paris, et a soutenu en Sorbonne une thèse de philosophie sur la dialectique de la science et de la Révélation (de Galilée au père Lagrange). Il s’est passionné pour les rapports complexes qu’entretiennent la science et la foi. Il anime le Centre d’études et de prospective sur la science (CEP), dont il dirige la revue Le Cep.

 

 

Le programme

- Ouverture des portes à 14 h 30
- Début de la conférence à 15 h (PAF 8 €)
- Questions/réponses avec le public

 

Informations importantes

- Entrée : 8 euros

- Inscription obligatoire par e-mail : languedoc@e-r.fr (Indiquez nom, prénom et numéro de téléphone)

- Présence d’un stand Kontre Kulture

- L’adresse vous sera communiquée par e-mail le jour de la conférence avant midi

- Places limitées !

- Merci de vérifier vos spams lors de nos échanges.

 

Dominique Tassot, sur E&R :

 






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28 Commentaires

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  • Le darwinisme, de "nous descendons des singes" donc "il n’y a rien", itinéraire du néant.

     

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    • Il faut être indulgent avec Darwin ...Il s’est juste trompé de sens ! On ne descend pas du singe mais on y va tout droit ... !

       
    • Préalable au nihilisme et à l’athéisme laïcard ("mort de Dieu" permettant le laïcisme républicain), qu’on peut lier ensemble par un signe égal...

      Il faudrait savoir si Darwin était franc-mac, donc en mission, ça donnerait un indice.

       
    • On peut rappeler cette réponse très spirituelle faite par Alexandre Dumas à une remarque insultante d’un interlocuteur raciste :
      “Mon père était un mulâtre, mon grand-père était un nègre et mon arrière grand-père était un singe. Vous voyez, Monsieur : ma famille commence où la vôtre finit.”

       
    • Soyons rigoureux : Darwin n’a jamais affirmé qu’on descendait du singe, il évoque une parenté nous sommes cousins et ne descendons en rien du singe actuel qui se gratte le cul dans sa forêt au Cameroun avec tout mon respect néanmoins. Il a raison d’ailleurs ses observations sont nombreuses et passionnantes. Nous ne pouvons pas descendre de nos cousins, notre chemin est bien plus ambitieux nous sommes prométhéens. En revanche j’ai effectivement dû mal à croire que nous descendons d’un batracien ayant décidé un jour de se payer une paire de pattes à la place de ses nageoires pour sortir de la flaque dans laquelle il barbeotait.

       
    • @Sociopathe
      Personne n’a jamais dit que l’Homme descendait du singe actuel, en revanche la théorie de l’évolution prétend que l’Homme est bel et bien issu de la descendance de grands singes, mais aussi de... poissons.
      En fait les araignées et les pâquerettes sont aussi nos cousins dans cette théorie délirante, puisqu’elle postule que l’arbre généalogique entier de la vie, avec tous ses embranchements, a commencé à partir de l’apparition miraculeuse d’une unique cellule vivante.

       
  • Un intervenant de haut vol, hâte d’y être !

     

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  • Quel immense plaisir de retrouver Monsieur Tassot. Ayant déjà assisté à l’une de ses conférences, ce fut un excellent et très instructif moment.
    J’y serai à nouveau. Merci à E/Ŕ de nous proposer des intervenants de cette qualité.

     

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  • Une conférence qui devrait être intéressante .

     

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  • J’ai beaucoup apprécié son livre ’’la revanche du lièvre’’ sur le même sujet.
    Une réfutation sur le plan scientifique du darwinisme, une réconciliation spirituelle avec les textes sacrés, mais aussi un contexte philosophique et historique très enrichissant qui rendent le tout très pertinent.

     

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  • Quand on lit patiemment les deux tomes de Leroi-Gourhan « Le Geste et la Parole », celui ci nous confirme 1) que le lien entre la catégorie Singe et la caégorie Homme n’existe pas,
    mais 2) nous apprend par contre qu’il y a bien eu des hommes primitifs doués d’un minimum d’intellgience qui, de par leurs questionnements et leur désir d’améliorer leurs conditions de vie aléartoires dans un environnement hostile, ont développé un sens pratique à travers l’élaboration d’outils leur facilitant le quotidien, et que toutes ces améliorations longues et fastidieuses dans le temps, ont modifié non seulement leur pshysiologie mais aussi leur physique développant ainsi ce qu’on appelle le néo-cortex.

    C’est-à-dire, si j’ai bien lu, que c’est à partir de leurs mains bricoleuses et par sauts qualitatifs génétiques, transmis aux générations suivantes, qu’il y a eu véritablement Évolution humaine, passant d’un être trapu surrénalien grossier à l’homme moderne hypophisaire de plus en plus fino dans le meilleur des cas (jusqu’au génie humain, par exemple Aristote ou Goethe), en tout cas le développement du cerveau et de la posture de semi-recourbée à verticale.

    Donc exit le film progressiste de l’ambigu Kubrick de 1968 "2001, l’Odyssée de l’espace" qui part de l’homme-singe pour arriver à l’homme-lunaire...

    D’ailleurs tout le monde s’accorde à dire que notre cerveau a bien trois couches, du cerveau primitif au néo-cortex.
    Le fait est que tous nos sens nous relient à ce passé immémorial qui nous questionne car précisément tous nos réflexes et capacités de base sont ancrées dans le cerveau primitif (comme la vision par exemple directement rattaché à celui-ci), et dont se jouent nos ennemis en titillant nos inclinations primitives pour nous rabaisser vers l’état inférieur (cf. art primitif, surréaliste…).

    Comme disait Lamartine : « Le romantique, c’est l’homme qui se souvient de sa chute. »...

     

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    • Un caractère acquis par l’expérience (élaboration d’un outil par exemple) ne se transmet pas génétiquement à la descendance. De plus, pour qu’une mutation génétique se transmette à la génération suivante, il faut qu’elle se produise dans les cellules sexuelles.

      Fondamentalement, il ne faut pas confondre un fait et son interprétation dans le cadre d’une théorie. Il peut exister plusieurs théories explicatives des mêmes faits observables. La théorie de l’évolution n’en est qu’une parmi d’autres.

      La théorie de l’homme-singe souffre de nombreux écueils scientifiques. Son parcours historique est jalonné de fraudes scientifiques avérées, comme celle de l’homme de Piltdown par exemple.

       
    • @natural mystic

      Les transformations physiques et physiologiques dans la lignée humaine que tu évoques sont génétiques.
      La théorie de l’évolution du vivant repose sur le postulat que ce sont des mutations génétiques qui sont transmises à la descendance...
      N’aie pas peur de te "prendre un peu plus la tête".

       
    • Merci pour tes réponses Titus que je trouve précise, tu a l’air d’apprécier le sujet autant si ce n’est plus que moi, que penses tu du père de la génétique l’abbé Mendel à qui l’on doit les fameuses lois de l’hérédité justement ? J’avoue ne jamais m’y être intéressé encore.

       
    • Titus ?
      c’est à partir de leurs mains bricoleuses et par sauts qualitatifs génétiques, transmis aux générations suivantes

      C’est exactement ce que j’ai dit quoi. Et je n’évoque pas, je rapporte ce que j’ai lu, et bien lu ! T’inquiètes pas pour moi...

       
    • @natural mystic :

      Puisque vous citez Lamartine, je me permets d’y revenir plus en détail : comme lui, je ne crois pas du tout à la fable évolutionniste, et j’adhère à la vision Traditionnelle (R. Guénon, J. Evola, F. Schuon) pour laquelle l’homme est plutôt un « dieu déchu » qu’un « singe amélioré »…

      Lamartine était clairement opposé à la religion du progressisme, qui fleurissait à son époque, avec, en apogée (et alibi idéologique), la publication du livre de Darwin sur l’origine des espèces. Pour Lamartine il s’agissait avant tout d’une question d’ordre philosophique, et il s’en prend avec justesse au système de ces « philosophes de la perfectibilité indéfinie et continue » :

      « Singulier système qui, pour appuyer une théorie de perfectibilité sans limites […], prend pour créateur, à la place de Dieu, une pelletée de boue dans un marécage, un peu de chaleur putride dans un rayon de soleil, un peu de mouvement sans but emprunté aux vents et aux vagues, puis un instinct emprunté à une sourde puissance végétative, puis une intelligence empruntée au temps qui développe et qui détruit tout ! et tout cela pour se passer de Dieu, ou pour reléguer Dieu dans l’abîme de l’abstraction et de l’inertie ! » « Séduits par quelques analogies scientifiques encore très douteuses […], ces philosophes ont conclu de la matière à l’âme, et de la pierre à l’homme. » (Cf. « La Lumière de l’Inde », extraits des entretiens III à VI du « Cours Familier de Littérature »)

      Lamartine décrit ensuite l’homme de l’Âge d’or tel qu’on le trouve dans la doctrine des cycles cosmiques des hindous : il ne veut pas du « rêve » de l’homme « boursouflure de fange » se perfectionnant avec le temps et refuse l’idée d’une création allant de la boue à l’intelligence…

      Ce « rêve » évolutionniste, ce conte de fées érigé en FAIT partout dans le monde moderne (alors qu’aucune ébauche de preuve n’en a été apportée, malgré 180 ans de découvertes de fossiles), est bien la clé de voûte du système « philosophique » maçonnique, anti-chrétien, anti-spirituel, progressiste, dont on voit le sens et les splendides accomplissements dans le monde de 2024…

       
    • @natural mystic

      Il n’y a pas de saut génétique ni de mutation construisant une nouvelle fonctionnalité. Une mutation, c’est une erreur. C’est comme croire que la modification d’une lettre ou d’un mot dans un programme informatique lui permettrait de créer une nouvelle fonctionnalité. C’est complètement irrationnel.
      Le hasard ne construit jamais rien !

       
  • Ca serait bien que les conférences soient filmées et mise en VOD ou soumis à un abonnement. Un sujet qui a l’air passionant.

     

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  • Que pensez-vous de la théorie de Zacharie sitchin
    Sur les fameuses tablettes sumériennes sur les supposée manipulation génétique par des êtres venues d’ailleurs...

     

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  • Monsieur Tassot séduit par sa ferme logique et sa grande finesse . Très convaincant lorsqu ’il déduit les faiblesses de la théorie évolutionniste pour laquelle , il n ’y a pas d ’espèces mais des formes en transit perpétuel entre deux formes , qui postule des apparitions d ’organes nouveaux dans telle lignée ( un oeuil là ou il n ’y en a jamais eu . . . ) énonce que les poissons ont donné des reptiles , que les dinosaures sont ancêtres des oiseaux . . . ; et que tout en fait descendrait au départ de l ’amibe : le Progrès ! . Monsieur Tassot réclame des preuves : des fossiles existent mais les chaînons manquants ? les "bonds génétiques dans des endroit uniques ( tel lac ou des poissons sortent de l ’eau . . . ) ? mais les mutations génétiques trouvées en 1920 censées enfin expliquer comment se transmettent les " avantages" ( la nouveauté apparue n ’expliquent pas la Macro Evolution " mutation c ’est dit il erreur de copie !" ( au moment de la division cellulaire ; erreurs heureusement corrigées en partie dit il par la reproduction sexuée corrigeant un brin de l ’ADN par l ’autre brin ) bref cela n inclut pas l ’idée de Progrés miraculeux ! . Monsieur Tassot rappelle que reproduction c ’est avant tout duplication , reproduction du même . A l ’idée que l homme descend d ’un pré humain il rétorque qu ’il faudrait une mutation simultanée mâles et femelles pour produire ainsi une nouvelle espèce :compliqué . Bref Monsieur Tassot met en difficulté ce qu ’il considère comme une théorie peu établie et qui par bien des traits est une idéologie : l ’ évolutionnisme est lié au matérialisme ( tout vient de la matière , la pensée aussi ) qui exclue un ordre naturel ou divin , qui donc serait cohérent et doté d ’une finalité . L ’ évolutionnisme pré suppose aussi l ’athéisme : pas de Dieu donc pas de nature des choses et l ’homme peut décider ce qu ’elles sont . D ’ou le transhumanisme et l ’homme augmenté : puisque la sélection naturelle ( même renforcée scientifiquement par l ’eugénisme )n ’ a pas marché pas pour améliorer l ’espèce humaine . Pour Monsieur Tassot le transhumanisme n ’est qu ’une nouvelle illusion source d ’échecs car on ne peut changer l ’ espèce humaine . Ainsi on apprend beaucoup de choses chez Monsieur Tassot qui fragilisent beaucoup la théorie évolutionniste alliée au Progressime dogmes absolus . Mais aussi comment croire en une création ex nihilo ? pas simple non plus .

     

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  • Dominique Tassot, c’est le Soral de la science : une écriture limpide, sans fioritures, qui va droit à l’essentiel, une pertinence, et une efficacité pédagogique redoutable.

    Le premier livre de cet auteur que j’ai lu était : "L’évolution, une difficulté pour la science, un danger pour la foi". C’est dévastateur pour la théorie de l’évolution, qui ressort en pièces détachées.

     

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