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Révolution populiste en Allemagne ? Un mouvement de gauche veut "en finir avec la bonne conscience sur la culture de l’accueil"

Une figure de proue de la gauche radicale lance un mouvement pour durcir la politique migratoire.

 

Rassembler la gauche pour contrer l’extrême droite ? C’est le projet controversé de la star politique allemande Sahra Wagenknecht, qui compte réduire l’influence du parti Alternative für Deutschland (AfD), la première force d’opposition au Bundestag, en durcissant les positions de gauche sur l’asile.

Inspirée du succès de Podemos en Espagne, de La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon ou de Syriza en Grèce, Aufstehen (Traduisez : « Debout ! » ou « Réveil ! ») va tenter de mobiliser très à gauche, mais sur le thème de la politique migratoire qui bouleverse le paysage politique allemand depuis 2015. Âgée de 49 ans, née d’un père iranien et d’une mère allemande, la Présidente du groupe parlementaire de la gauche radicale (Die Linke) veut « mettre la pression » sur les partis de gauche pour qu’ils engagent une « autre politique migratoire », dit-elle. Sahra Wagenknecht veut en finir avec la « bonne conscience de gauche sur la culture de l’accueil » et ces « responsables vivant loin des familles modestes qui se battent pour défendre leur part du gâteau ».

 

Crainte pour les bas salaires

« Une frontière ouverte à tous, c’est naïf. Ce n’est surtout pas une politique de gauche », insiste-t-elle. Les milliards dépensés par le gouvernement pour accueillir les demandeurs d’asile en 2015 « auraient pu aider beaucoup plus de nécessiteux en Allemagne », dit-elle. « Plus de migrants économiques signifie plus de concurrence pour décrocher des jobs dans le secteur des bas salaires. Le nombre de logements sociaux n’est pas non plus illimité », estime-t-elle.

Le lancement de ce nouveau mouvement de gauche, prévu le 4 septembre, a été mal perçu, surtout chez les sociaux-démocrates dont le déclin se poursuit inexorablement depuis la reconduite de la « grande coalition » avec Merkel. Le Parti social-démocrate (SPD), grand absent dans le débat sur la politique des réfugiés, se fait régulièrement dépasser par l’extrême droite dans les sondages. « Sahra Wagenknecht se met à rêver d’une gauche populiste en Allemagne », a dénoncé Thomas Oppermann, le Président du groupe parlementaire SPD, qui l’accuse de monter les pauvres et les réfugiés les uns contre les autres.

Pour Die Linke, Aufstehen constitue une menace existentielle. Sahra Wagenknecht défend les mêmes causes que son propre parti, mis à part la politique migratoire. « Un mouvement qui nous affaiblit n’est pas acceptable », a déploré Bernd Riexinger, chef de Die Linke.

Mais le succès de son entreprise reste à prouver. Il est mis surtout en doute par les politologues. « Les mouvements de protestation naissent en général dans la rue. Aufstehen a été organisé d’en haut avec une personnalité très marquée politiquement », constate Gero Neugebauer, politologue à l’Université Libre de Berlin (FU).

 

Problème de crédibilité

Par ailleurs, l’ancienne chef de la « plateforme communiste » du parti a un problème de crédibilité. Omniprésente dans les talk-shows télévisés, cette brillante économiste fait désormais partie de l’establishment et des « élites » dénoncées par l’extrême droite. « Je ne comprends pas l’objectif de ce rassemblement, sinon celui de faire encore plus de pub à Sahra Wagenknecht dans les médias », a déploré Annalena Baerbock, la Présidente du Parti écologiste.

Si les chances de réussite de ce rassemblement apparaissent réduites, les responsables politiques allemands restent néanmoins très prudents dans leurs pronostics. Depuis l’entrée de l’extrême droite au Bundestag, les Allemands sont confrontés eux aussi au populisme. Plus rien ne paraît impossible.

Voir aussi, sur E&R :

Quel avenir pour l’Europe ? Lire chez Kontre Kulture :

 






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49 Commentaires

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  • #2026373

    Si elle passe à la télé c’est qu’elle fait partie du théâtre des marionnettes.

    Elle est là pour pomper les voix les nationalistes de gauche et les envoyer dans le mur. Comme à fait la famille Le Pen depuis plus de 50 ans.

    Dans le théâtre de marionnettes il faut toujours de nouvelles marionnettes, sinon les spectateurs se lassent.

    Avec le temps, on voit arriver de loin les nouvelles marionnettes,
    comme Marion (nette) Maréchal (le Pen).

    Le boulot de marionnette est très bien payé, moins que acteur, car la marionnette est là pour occuper les émotions des spectateurs, alors que l’acteur est là pour manipuler son esprit et lui rentrer de force des idées.

    Par contre la marionnette sait ce qu’elle fait à cause des ficelles.
    L’acteur ne se rend même pas compte de ce qu’il fait, car il ne fait que lire le scénario sans en comprendre l’effet voulu sur le spectateur.

     

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    • De toutes façons a vous écouter n importe quel homme politique est une marionnette. MMLP défend des bonnes valeurs, contre IVG mariage pour tous et moins d étatisme. Pour moi c est très bon.

       
    • @Seb59
      C’est exactement ça. Tout homme ou femme politique est une marionnette du système. Si vous ne vous en êtes pas encore aperçu vous devez être bien jeune.

       
    • @michel amm

      Je serais un peu d’accord avec vous, car très méfiant de ce genre de personnage qui émerge d’un seul coup, surtout venant de la gauche, et je resterais d’autant plus méfiant, car y a tout simplement une place à prendre , en se faufilant entre le parti de Mme Merkel et l’extrême droite .Et où je suis le plus dubitatif c’est qu’elle serait inspirée du succès de Podemos en Espagne, de La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon ou de Syriza en Grèce, en s’appelant Aufstehen : « Debout ! » ou « Réveil ! ») .Là j’en reste sans voix .parce que si ce sont ces deux partis qui l’inspirent, alors que Mélenchon est un immigrationniste notoire et Syriza par mieux et en plus à cocufié la Grèce qui est à l’agonie .Très bel exemple, elle n’aurait pas pu trouver mieux .
      Oui, marionnette ça lui va assez bien ,ou sous-marin pour être plus précis .

       
  • En France ce genre de personnalité ou mouvement de gauche n’existe pas . donc aucun parrallèle possible avec Melanchon

     

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  • Si on veut être optimiste : elle déculpabilise le mécontentement, voire la colère de tous ceux qui gardent trois sous de bon sens et les pieds sur terre, avec leur porte-monnaie vidé, courant à la dette ou plongés jusqu’au cou dedans. Ce discours est le minimum syndical audible.
    Qui soutient l’arrivée de parasites ? D’autres parasites, archi-connus, ringards de la politique, décridibilisés un peu partout (les socialistes). Personne d’autre ne peut plus tirer sur la corde. La vache à lait est tarie.
    Chat échaudé craignant l’eau froide, les lésés, une fois déculpabilisés, ne vont pas forcément voter pour une suspecte de démagogie.
    Elle se rapproche (il me semble) de la tendance Elisabeth Levy en France et utiliserait le mot "gauche", pourtant synonyme de "maladroit", comme une sorte de passeport pour se rendre éligible. C’est ce qu’avait calculé MLP, déjà. Qui aurait dû appuyer là où le bât blesse, et à fond, au lieu de faire sa cendrillon pour la belle-mère intruse et sa descendance. Résultat : le prince est parti en voyage, Cendrillon récure les marmites.
    Sarah n’est sans doute qu’une oligarce de plus, censée rameuter les pauvres gens épuisés. Courront-ils aux urnes pour lui assurer un excellent niveau de vie ? Rien de moins sûr.
    Les pays d’Europe ont besoin d’hommes, parce qu’ils sont en guerre psychologique et économique, et qu’il faut taper sur la table. Ou alors des saintes Geneviève, qui croient en Dieu et peuvent négocier l’éloignement des barbares.
    Les pays d’Europe sont des talmudocrassies, mais les talmudocrapes essaient de les faire passer pour des gynocraties. On n’a pas fini de voir ces dames placardées partout, jusque dans les ministères de la guerre.

     

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  • Les allemands en ont marre !chez Volkswagen c’est 35000 licenciements décidés bien avant les agressions sexuelles ! Politique du plan Marshall depuis 70 ans, ça leur a suffi.....

     

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    • #2026997

      Je ne voie nulle part que quiconque allemand aurait marre de quoi que ce soit ; ils sont paralysés et damnés à la catastrophe - comme tous les autre européens de l’Ouest.

       
    • #2027200

      D’accord avec Peter, le peuple Allemand a d’autant plus été gauchisé par les bons sentiments droit de l’hommisme "qu’il s’est pris perpette" et que, gràce à la puissance des merdias dominants et de la suprématie hollywoodienne sous contrôle du "lobby des lobbys", l’opinion mondiale voit en l’Allemagne nationale-socialiste le mal absolu et en son chef, le diable incarné.
      Redutio ad hitlerum.

       
  • C est la seule solution pour défendre les intérêts de la classe ouvrière immigrés inclus d ailleurs puisque les derniers arrivés doivent affronter la concurrence des nouveaux-venus. Et c est la seule solution pour rassembler les salariés sur des bases de classe et non raciales et leur éviter le piège de l extrême droite liée au patronat et prête à composer avec lui pour opposer locaux contre immigrés et jouer de la matraque contre ces travailleurs tenus de se tenir à carreau au travail et en dehors.
    Le SPD c est à dire leur PS hurle mensongeurement au racisme par anti communisme viscéral et complice à la solde de l impérialisme . Il craint avec raison un déferlement électoral en faveur de cette nouvelle et courageuse politique que je réclame depuis 1981 pour ma part avec G Marchais dernier SG du PCF encore communiste . Il faut préparer l insurrection des masses il y a péril en la demeure.

     

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    • Votre message est intéressant et illustre bien le schisme chez les nationalistes....entre ceux qui adhèrent au thèses du déterminisme sociale pour structurer une société homogène qui selon eux peut être parfaitement multiraciale pourvu qu’elle soit juste, et ceux qui adhèrent au déterminisme raciale pensant que le fait racial est déterminant pour qu’une société ne dégénére pas en chaos généralisé. Et ceci en partant du postulat avéré que toutes les sociétés multiraciales donc multiculturelles sur la planète sont toutes sans exception des sociétés multiconflictuelles. Ce qui est mon cas. Il est dangereux selon moi, de tenter une telle expérience en France alors qu’elle à échouée partout. Il faut trouver une autre solution et si un gouvernement nationaliste arrive au pouvoir il sera contraint de modifier nombre de lois ayant pour effet de diminuer progressivement mais drastiquement le nombre de non Européens sur le sol français. Nécessité fait loi.

       
    • C’est bien simple : quand il n’y avait que des Allemands en Allemagne, celle-ci se portait bien économiquement, l’élan y était : les gens travaillaient pour leur prospérité personnelle, leur pays et leur descendance. Les Allemands, les Français ont par ailleurs fait la preuve historique qu’ils savent bosser, ensemble et bien.
      Aujourd’hui, le populo européen, en particulier allemand, anglais et français est soumis à la torture en permanence. Quand il a fait tous ses efforts pour s’adapter à des situations sur lesquelles il n’a pas de prise, par l’indifférence, les réseaux sociaux, les loisirs de basse qualité, la privation de tout ce qui n’est pas nécessaire, le conformisme paresseux ou la lecture et l’étude monacale, l’effort au travail mal payé et le renoncement, l’oligarchie en remet une couche, lui inflige la même chose en pire. Ca n’en finit jamais et ça empire toujours, par inertie, la machine est lancée. On ne peut l’arrêter qu’en la faisant s’écraser quelque part.

       
    • "politzer" Vous préférez diviser les francais entre eux sur la base de la classe sociale que de stopper l immigration ?
      Il y aura toujours des pauvres et des patrons, c est dans les caractères. Il y en a qui abandonnent, qui suivent et qui mènent.

       
    • « « politzer" Vous préférez diviser les francais entre eux sur la base de la classe sociale que de stopper l immigration ?
      Il y aura toujours des pauvres et des patrons, c est dans les caractères. Il y en a qui abandonnent, qui suivent et qui mènent. »
      Est-ce que vous lisez vraiment et réfléchissez sérieusement à ce que les gens disent @Seb59 ? Où avez vous vu l’expression d’une volonté de division entre les français là où au contraire est affirmée une volonté de rassembler sur des bases saines et intelligentes ? Vous n’avez pas l’impression de faire de la projection en étant incapable de sortir d’une vision qui est la vôtre et que vous collez sur autrui ? Il n’y a aucune critique exprimée contre « les riches » en tant que tels dans le commentaire de @Politzer, ce qui n’aurait en effet aucun sens. Vous inventez pour une raison qui vous regarde des propos et opinions que les gens n’expriment pas.
      P.S à @Claude : le « schisme » que vous évoquez n’est pas insurmontable, à la condition de cesser de raisonner en termes de camps opposés s’agissant de « camps » qui devraient au contraire s’allier pour des raisons d’intérêts communs (il y a des point évidents de convergence), comme l’exprime à sa manière, à mon avis pertinente le commentaire initial.

       
    • « Il y aura toujours des pauvres et des patrons, c est dans les caractères. Il y en a qui abandonnent, qui suivent et qui mènent. » Commentaire simpliste de la même farine que « Il y a des poires et ceux qui les mangent » ou « l’homme est un loup pour l’homme ».

      Le problème n’est pas que des gens gagnent plus que d’autres. Il est que ces inégalités sont de plus en plus injustifiées. Pour le dire brutalement si durant les trente glorieuses l’élite pouvait à juste titre prétendre à des émoluments conséquents car elle servait le bien commun, on est désormais dans l’ère des trous du cul technocrates, tout juste sortis de l’É.N.A., des fonctionnaires européens, qui jargonnent en langue de bois en dispensant des leçons de morale mondialiste de manière parfaitement parasitaire. Ces gens n’ont plus le moindre sens du service public qui, par essence, ne vise pas le profit. Ils se servent et servent des intérêts privés. D’ailleurs nous en avons un parfait exemple avec ce qui nous sert de président. Un fat qui a encore du lait maternel au bout du nez, passé par une banque d’affaires. De même ceux qui servent de « grands patrons » n’ont en général rien construit. Ils sont nommés à la tête du conseil d’administration d’une entreprise qu’ils n’ont pas bâtie. Ce qui n’a rien en commun avec le patron qui a fait naître son entreprise et l’a aidée à croître.

      Jusque vers le milieu des années 70, les gains de productivité étaient répercutés sur les salaires des employés. La productivité croissait, les salaires augmentaient. Je participe à la création de nouvelles richesses, en conséquence j’en reçois une part. Mais vers 1975, les deux courbes se sont découplées. Alors qu’une heure de travail a continué à produire de plus en plus de richesse, le salaire n’augmente plus. En termes marxistes l’extorsion de la plus-value n’a eu de cesse d’être de plus en plus féroce depuis 40 ans. Elle est possible grâce à l’importation massive de « migrants » parfaitement surnuméraires, pourtant encouragée, contre le bon sens commun, par les gagneuses putassières des médias soi-disant indépendant et la charte de Berlin mon cul sur la commode. On est passé d’un modèle ou un certain sens, voire un sens certain du collectif prédominait, à l’idéologie néo-libérale ou la gloutonnerie égoïste est valorisée.

      Pas besoin d’être sorti du front de Zeus pour comprendre que la situation n’est pas tenable. Il y a des gens à châtier. Ils le seront.

       
    • Vous avez parfaitement raison @Robespierre. Mais évidemment je n’ai pas « développé » comme vous le faites sur les écarts de richesse, aussi croissant qu’injustifiés, dans la mesure où vu la nature du post on part tout de même de très loin !

       
  • Ce n’est peut-être simplement qu’une tentative pour "contrer l’extrême-droite" mais au moins cela éveillera certains esprits qui ne comprendraient jamais si aucun membre de leur propre camp ne le leur disait. C’est bien souvent ainsi que débutent les cheminements politiques fructueux. Même si cela divise le camp nationaliste au départ, c’est tout bénéfice pour le nationalisme in fine.

    De toute façon, la gauche va être de plus en plus au pied du mur sur la question de l’immigration. Je suis par exemple curieux de voir comment la FI va réagir à l’annonce du patronat de l’hôtellerie-restauration d’employer des réfugiés (voilà qui va tuer encore un peu plus le tourisme en France).

     

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  • « Plus de migrants économiques signifie plus de concurrence pour décrocher des jobs dans le secteur des bas salaires. Le nombre de logements sociaux n’est pas non plus illimité »



    Oh bah dis donc, Jean-Marie Le Pen est d’extrême gauche depuis 40 ans.
    Pourtant les médias en avaient une toute autre lecture.
    O Tempora, O Mores.



    Thomas Oppermann, le président du groupe parlementaire SPD, qui l’accuse de monter les pauvres et les réfugiés les uns contre les autres.



    Mais ça fait 30 ans que toi et tes potes, centre gauche, centre droit, usent de cette technique ; horizontaliser les luttes pour garantir un pouvoir vertical, et le petit plus, importer des populations moins politisées et à même de conduire des luttes sociales.



    « Sahra Wagenknecht se met à rêver d’une gauche populiste en Allemagne », a dénoncé Thomas Oppermann



    Bah oui mais quand on perd des voix, donc des postes, il faut faire redémarrer la machine, et le populisme n’est plus ostracisé dans ce sens là.

    Gamelle quand tu nous tient.

     

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  • Il existe une véritable fracture idéologique entre l’Est et l’Ouest de l’ancien rideau de fer. Globalement, gauche et droite des anciens pays socialistes sont restées préservées de l’ideologie "no border" promue par les liberalo-libertaires de tous poils. Alors qu’à l’Ouest... C’est la raison pour laquelle le PiS polonais et le Fidesz hongrois n’ont plus rien à voir avec LR français ou la CDU allemande. Le système totalitaire liberalo-libertaire a été bien plus efficace que le système totalitaire socialiste puisqu’il est arrivé à détruire droite et gauche à l’Ouest pour ne laisser qu’un hyper centre ultra liberal, à la fois europeiste, atlantiste, sioniste et immigrationiste. Bref l’horreur que nous connaissons chez nous. Bonne chance à madame Wagenknecht !

     

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  • Inexorablement, le balancier historique revient a une forme de national socialisme non racialiste, une doctrine sociale et nationale. D’ailleurs parler de socialisme en faisant l’impasse sur le nationalisme ou meme sur le concept de nation tout entier n’a jamais eut le moindre sens. On commence par protéger les siens avant de s’occuper des autres. CQFD. Aufstehen (Debout ! ou Levez vous !) ne manque pas de rappeler le nom du parti de Dupont-Aignan, taxé d’extrémisme en France, Debout la France !. Mais ne nous y trompons pas, nous parlons ici de l’alliance venir du petit peuple et du petit patronat, de l’AfD et de Aufstehen, en bref : le cauchemar du système.

     

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  • #2027085

    Lorsque les consciences se réveillent, le système de prédation met en place des contrefeux proches des sujets polémiques pour mieux les contrôler.
    Rien de tel que de connaître l’ouverture des médias à tel ou telle personne pour repérer la légitimité ou non de lui faire confiance.
    Les merdias sont le marqueurs.
    Néanmoins, pendant les longs débats sur l’immigration, l’immigration continue. C’est aussi gagner du temps. Ensuite un regroupement familial et le sale tour immigrationniste est joué.

     

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