Le métissage ne me fait pas vomir, mais il est illusoire de vouloir en faire un socle de société, et extrêmement malhonnête d’en faire un référent moral positif (ou alors, avoir deux bras et deux jambes est positif en soit ; non, non, c’est juste un fait, c’est tout : les hommes ont deux bras et deux jambes et certains ont une origine métissée, c’est tout).
Le Brésil, entre autres, est un bon exemple de ce que donne le métissage et leur société reste peu ou prou structurée inégalitairement sur les gradients de noirceur de la peau.
Allons aussi faire un tour dans les Antilles, françaises ou non, et regardons comment ça se passe.
Donc c’est une arnaque. Une société a besoin de cohérence culturelle et le métissage, qui suppose une immigration de masse et sape la cohérence de nos sociétés, - en tout cas des sociétés de l’Ancien monde (Europe, par exemple) est un symptôme de déstructuration.
Je veux dire : en République, on se fout de la couleur de la peau, moi le premier. Mais il y a des seuils anthropologiques et sociologiques à ne pas franchir si l’on veut que le corps social garde une cohésion apte à rendre les buts républicains viables.