Comment le viol est devenu un rituel dans les fraternités étudiantes (américaines)
10 septembre 2016 19:13, par Paul
Quel joli conte fées.
Je n’ai pas bien compris... Elle ne se souvient de rien, on l’a droguée ? frappée ? Au moins comme ça elle ne s’emmêlera pas les pinceaux lors d’un interrogatoire. Black-out, c’est plus simple.
Je ne vais pas creuser pour comprendre pourquoi il n’a pris que six mois au lieu des 14 ans requis dans ce genre de cas. Dieu sait si la justice est sévère pour les "délinquants sexuels" aux USA (des sentences maximales et des registres de délinquants sexuels pour des gestes ou remarques déplacées sont légion). Clémence du juge ? mais envers quelle minorité ? Quelle classe sociale ? qu’y a-t-il de politique ou de sociétal dans cette affaire ? Les deux protagonistes semblent blancs, jeunes et privilégiés. L’accusation dans l’article est faite sur la base de la lettre écrite par la victime.
Il est étonnant qu’un fait divers local prenne une telle résonance mondiale dans les médias. Il y a du Aylan dans cette histoire, du Black Lives Matters, du Soros pour faire simple.