Comment le viol est devenu un rituel dans les fraternités étudiantes (américaines)
10 septembre 2016 21:17, par Drevnyaya Rus’
On a là un pur cas d’ingénierie sociale : d’un coté on donne une définition de plus en plus lache du viol, la pénétration non-désirée devient juste un attouchement ou même un regard indiscret, on maintient les filles dans la peur permanente de se faire violer tout en les encourageant à boire des litres d’alcool et se promener de la manière la plus dénudée possible, et de l’autre on encourage les garçons dans les fraternités à avoir un comportements déplacé vis-à-vis des filles, à devenir ce mythe insipide de l’"alpha male", sans pour autant être du viol à proprement parler... D’où ce mythe des 20% de femmes violées sur le campus, et ajoutons aussi, dans la culture puritaine et carcérale américaine, de nombreuses tragédies où le type se retrouve en prison pour les débordements d’une soirée arrosée.
Le tout dans la logique kabbalistique de séparer l’Homme de la Femme, de détruire la complémentarité et de renforcer la méfiance entre ces deux groupes sociaux, et ainsi de maîtriser la reproduction par l’eugénisme et l’artifice.