Félix Niesche, je sais pas comment son nom se prononce, Nièche, Nieuche, ou Nische parce que je cause en tête quand j’écris, est toujours aussi savoureux, un régal à le lire, et une façon de rire en grinçant face au tsunami de médiocrité déferlant qui nous emporte tous et juste avant de couler le moteur...définitivement.
Pour que la littérature de l’empire triomphe, il faut bien raser définitivement l’école de la pensée française traditionnelle.