Paris ville rose : vivre dans 6,83 m² pour 370 euros par mois (sans bail) depuis 8 ans
19 septembre 2016 15:27, par Махсуд МахкамовCe sont les cas extrêmes et c’est bien qu’ER nous informe de ces abominations...
Toutefois, il faut garder à l’esprit que c’est toute la population qui vit dans du plus petit. "Ils" nous "habituent", petit-à-petit, à accepter des surfaces de plus en plus minuscules. Cela témoigne du déclassement qui nous est imposé :
Les manoirs, dans lesquels vivaient autrefois les médecins, les cadres et mêmes parfois les ingénieurs ou les professeurs agrégés, sont rachetés par les municipalités ou les grosses sociétés ;
Dans les "maisons ouvrières" d’autrefois, on trouve désormais des médecins, parfois les ingénieurs (avec un prêt sur 20 ans), rarement les professeurs agrégés. J’ai connu, il y a seulement 20 ans, une femme de ménage célibataire qui avait pu acheter ce genre de maison...
le reste de la population dite "moyenne" est de plus en plus contraint à acquérir des surfaces minables, des appartements, des studios. Quant aux autres, c’est location et engraissement des porcs de sociétés immobilière en donnant la moitié de son salaire chaque mois, sans compter le dépôt de garantie qu’ils se gardent pour une tache au mur.
Le projet de l’oligarchie euro-mondialiste, d’ailleurs, est de vider les campagnes de leurs habitants et de concentrer les populations dans les villes en mettant en place ce qu’ils appellent la "ville verticale" et la "ville connectée", camp de concentration à ciel ouvert bourré d’appareils de flicage, avec sur l’affichage publicitaire des bobos qui cultivent leurs tomates en hydroponie sur les murs et roulent en patins à roulettes.
Désormais, mon action politique principale vise à faire capoter ces lubies, voulues par des faux-intellectuels conformistes comme Gerald Bronner (au passage c’est aussi le spécialiste du "complotisme") ou Michel Lussault, géographe urbain qui est aussi rédacteur des programmes de la réforme du collège et auteur (avec Jacques Lévy) d’un dictionnaire de géographie - que tout étudiant ou doctorant en géographie est obligé de citer pour "faire bien" - et où ils se masturbent pendant 1000 pages sur des concepts foireux de pseudo-sciences sociales (pendant ce temps-là, les étudiants ne maîtrisent plus les bases de la géographie physique).
Toujours les mêmes... Décidément, on les retrouve dans toutes les "réformes" les plus diverses. Je me garde leurs noms en souvenir pour le jour de la Libération, du Grand Soir ou pour quand la bise tournera.