Les Français ont de moins en moins confiance en la médecine publique
30 septembre 2016 13:20, par H. K. DaghlianLe cas des vaccins est à la limite de l’arbre qui cache la forêt. Un étudiant en médecine dans la famille m’a fait remarquer qu’on leur apprenait à soigner et non à guérir, c’est tout le problème de la médecine actuelle. Le rôle de synthèse qu’avait le médecin, qui prenait en compte plusieurs paramètres - internes et externes au corps - et liait tous les dysfonctionnement de l’organisme à la pathologie en cours afin de la guérir, tout en en supprimant la cause est révolu. Il n’est plus question que de "protocoles" à appliquer à des situations bien définies pour ne faire disparaitre que les symptômes, jamais la vrai cause, le patient ne souffre plus mais la maladie le guette au tournant, très souvent les traitements qu’il prend entrainent d’autres maladies qu’il faudra "corriger" avec d’autres traitement, il n’est pas près d’en voir le bout.
On pourrait bientôt remplacer n’importe quel médecin par une machine dans laquelle on entre les paramètres (bilans, symptômes, antécédents personnels et familiaux) pour en voir sortir une ordonnance.
Pour ne citer que l’exemple du diabète type II, j’ai déjà eu des cas de guérison dans la famille, paradoxalement, ces derniers n’ont jamais pris de médicaments hypoglycémiants (comme le glucophage), leur traitement consistait en un changement des habitudes alimentaires et de vie (notamment le sport en pleine nature et non en salle), en plus de certaines médications traditionnelles. Leurs cas sont une hérésie en médecine moderne qui pose comme postulat que certaines maladies sont chroniques et incurables (hypertension, diabète, maladies auto-immunes dont la polyarthrite, l’asthme et la sclérose en plaques). Foutaises !
L’équation est très simple : Guérison = fuite d’abonnés = fuite de capitaux ; c’est pour cela que les laboratoires achètent d’un coté les médecins, d’un autre les législateurs (pour contourner les récalcitrants), les organismes de formation et ceux qui fixent les nomes de santé. Exemple : si je (L’OMS en fait) dis que seuil de glucose dans le sang, à partir duquel on peut considérer qu’il y a diabète est de 2 g/l, imaginez maintenant qu’après des "études très sérieuses", il se trouve que ce seuil soit abaissé à 1.5 g/l, combien de personnes deviendraient en un tour de crayon magique des diabétiques qu’il faudra traiter ? C’est aussi valable pour le cholestérol, le calcium (ostéoporose), la tension artérielle...et j’en passe.
J’ai perdu foi en la médecine il y a un moment déjà.