Marseille : 300 "antifascistes" contre 80 militants de l’Action française
11 octobre 2016 10:33, par jacquesdechanteLe paillasson miné du mouvement libéral-libertaire : l’antifascisme. Globalement, tout le capital est représenté et il va de la bulle du chewing-gum inutile mais effective( bobo-médias)à la bulle de 8,6° salutaire de lumpenprolétariat ( sous-prolétariat). Le tout en une arme de destruction massive de la conscience collective et plus particulièrement de la strate radicale visant l’émancipation totale du prolétariat.
En résumé le capitalisme n’est qu’une bulle de violences et de mensonges mais aux yeux du public attablé tous les soirs au 20h, il reste encore dans ses aspirations oniriques une sorte de parenthèse enchantée, une belle promesse, un lendemain meilleur.
Il y a un nécessaire équilibrage entre l’humanisation et l’hominisation...Cet équilibrage est par contre la mort des plus faibles et des plus forts ( les dominants de la meute doivent être anéantis). Le désir d’une société pacifiée passe par l’élimination des rugosités. L’acide, créé par le capitalisme et ce en la substance des allocataires et des bénéficiaires du RSA, est la lame de fond sociale et moralisatrice qui attaque tout ce qui lui résiste. Voila ce qui arrive quand on confit la constitution à des barbares illuminés et avides de pouvoirs et de luxe ! Ils intiment l’ordre aux esclaves les plus dépendants de leur système à mourir pour sauvegarder leur condition de vie misérable. Et entretenus de la sorte, ils en deviennent très virulents car complètement aliénés par la faim, la soif et leur dignité qui se confond avec celle du chien.
Le capitalisme a fait de l’orgueil son cheval de bataille, laissant l’amour à la seule résignation du moins mal- vivre. Il suffit de voir la gueule de Hollande lorsqu’il est tribun pour s’apercevoir en un regard de ce qu’est la résignation du moins mal-vivre, cette tête de condamné puante de faiblesse mais qui pourtant incarne le pouvoir.