C’est tout les allemands ça : discours parfaitement incompréhensible, l’abstraction pure, la méta économie financière.
Goethe, Schiller et mon cul réunis.
Comme nous sommes loin de la lumineuse clarté de l’Intelligence française de la Racine de la Bruyère qui Boileau de la Fontaine Molière.
N’est-ce pas Bossuet ?
Vous avez compris quelque chose à son jargon ? Moi, rien (à part la promesse du château de cartes qu’on connait très bien depuis le système Law (( une invention franco-écossaise))).
Je vais vous dire un secret : l’État ne rembourse JAMAIS sa dette.
Soit il brûle ses créanciers (Philippe le bel)
Soit il les vole par l’inflation (Loi du 1/3 garanti de 1797, guerre de 14-18)
Soit il les déporte et les fait mourir, les morts ayant l’avantage de ne jamais se plaindre (Lénine)
Soit encore il les balade en leur promettant un remboursement prochain (Les mencheviks avec l’emprunt russe)
Mais jamais il ne rembourse.
Emprunt d’État = argent perdu.
Puisque dans le meilleur des cas, lorsque l’État fait mine de rembourser, l’État ne rembourse Pierre que par l’argent qu’il a imposé à Paul.
Soit par le vol puisque dans ce cas Paul n’a AUCUNE contrepartie à son impôt
(l’État ne sait pas travailler et ne gagne son pain que par la guerre et l’impôt soit le meurtre et le vol)
Ceci posé et pour conclure :
Pourquoi pleurer la faillite de notre voleur ?
Et ceux qui craignent ou pleurent la faillite du voleur ne sont-ils pas ses complices ?
Que meure la B.C.E. !
Pour que respire enfin le contribuable européen !