Il n’est pas étonnant de trouver de fortes similitudes dans des religions différentes et sensées ne pas s’être "croisées" !
Il suffit de prendre référence dans la convergence évolutive bien connue des scientifiques étudiant l’évolution des espèces.
Dans des conditions environnementales sensiblement similaires, des espèces différentes vivant dans des lieux géographiques différents peuvent évoluer d’une manière parallèle.
Je pense que cela peut s’appliquer aux civilisations, religions...

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"La Bible est autant un instrument de domination qu’une arme de destruction massive..." Ouais ! Si on veut. La Bible, je l’ai lue dans le bon sens et donc pour moi c’est une oeuvre qui parle d’amour et de paix malgré tous les malheurs et les conflits qui y sont décrits. En plus le nouveau Testament... Faire l’analogie de la domination et de la destruction massive avec l’oeuvre du Christ et des apôtres me paraît bien déplacé. Pourquoi ne considérerait-on pas également les contes de Perrault comme une oeuvre de domination et de destruction massive ? Le loup qui mange le gentil petit chaperon rouge, c’est atroce. On fait pleurer les enfants, on leur fait peur et ils font des cauchemars la nuit. Rien de tel pour lobotomiser nos petits enfants, non ? Moi, les gens qui tournent tout à l’envers, je les emmerde ou plutôt qu’ils aillent se faire voir ailleurs.

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Pour ceux qui veulent connaître nos origines sans passer par le filtre des religions, je conseillerais la lecture des trois tomes "Les chroniques du Girku" de l’auteur Anton Parks. Le "Girku" étant un cristal cylindrique où ont été consignées, depuis des centaines de milliers d’années, des données sur notre passé par Osiris, Horus, entre autres.

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Vous avez toujours pas compris que le christianisme et l’islam sont deux belle impostures créé par "le peuple élu" ?! Il suffit de lire la bible pour se rendre compte que cette dernière est un fascicule de glorification et de soumission au "peuple élu" !

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La question de la vocalisation de tétragramme et de sa traduction est bien plus complexe que ça. Juif et Catholique se sont relativement bien entendu la dessus (comme sur pas mal de choses d’ailleurs) ce n’est pas le fait d’avoir un nom propre qui différencie le vrai Dieu des autres car ils ont un nom aussi. Ce qui différencie le vrais Dieu, c’est toute la relation qu’il a avec son peuple et qu’on peu connaitre en lisant la Bible.

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La Bible c’est la parole de Dieu, c’est ce qu’on nous apprend au catéchisme. On a tous une Bible à la maison, du moins les catholiques. Elle est là, bien rangée dans la bibliothèque, oh, on a bien dû la feuilleter de temps en temps pour quelques versets, pour quelques réponses... On a même pu la lire en entier par curiosité ou pour une étude. Mais la question, la vraie question, la Bible est La Parole de Dieu, mais qu’est-ce qu’elle nous a dit ? Nous a-t-elle vraiment parlé ?

Et voilà qu’un jour, c’est le miracle ! Ce livre un peu poussiéreux et obscur qu’on croyait surtout réservé à quelques théologiens éclairés, devient vraiment vivant ! Et c’est un éblouissement, on découvre alors émerveillé que c’est vraiment Dieu qui nous parle, à nous, là, maintenant, les mots deviennent vivants ! C’est le choc, on est bouleversé. Et, tout d’un coup, ce qui, jusque là nous semblait confus, devient limpide ! Alors, ébloui, on va à ce verset qu’on a jamais compris, et puis à cet autre et, de nouveau, le miracle se reproduit, tout devient clair...On comprend alors vraiment ce veut dire la Parole de Dieu, elle prend alors vraiment tout son sens, Dieu me parle vraiment, à moi le vermisseau... Dès lors, elle ne nous quitte plus et devient notre compagnon de route. Il paraît que la Bible est le livre le plus lu au monde. Une évidence !

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A-t-on lu la Bible ?
Bonne question et j’avoue pas assez, c’est vrai, même si la majorité des Bibles sur le marché (à l’exemple de l’édition Segond 21) « sont des traductions erronées, mensongères et intéressées », le contenu reste néanmoins puissant et chacun peut y trouver son compte en suivant les préceptes d’Amour de JC et non de haiiiiiiiine de Satan le diable à l’exemple des préceptes du Talmud (que beaucoup comme moi n’ont pas encore lu, et pour cause... les initiés veulent sans doute éviter de répandre la haiiiiiiiiiine des hommes sur leurs semblables...), on espère toutefois pouvoir un jour lire le Talmud grâce à E&R et aux éditions KK.
Merci d’avance !

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Dieu ?.... c’est une adhésion comme une autre. Les uns votent pour un François.... les autres votent pour un autre François. Les deux interfèrent dans les affaires de l’autre.... on ne sait plus qui est un François et qui est l’autre François. Devinette : L’un s’occupe de mariage, l’autre des pauvres.... qui est qui ? Apparemment certains voudraient bien s’emparer de cet "instrument de domination" ou je m’y connais pas. D’ailleurs, n’y avait-il pas un François qu’on appelait..... Dieu ?

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"Dieu n’est plus au programme". Je n’ai jamais compris pourquoi la question de l’existence de Dieu passionnait les foules. Molière a tout dit dans le Tartufe dans une formulation géniale :

"Vous nous payez ici d’excuses colorées",
"Et toutes vos raisons, Monsieur, sont trop tirées".
"Des intérêts du Ciel , pourquoi vous chargez-vous ?"

En effet, si Dieu existait, il se moquerait d’être défendu. Défendre son existence revient à dire qu’il est faible et qu’il doit être défendu, et donc qu’il n’est pas un Dieu puisque Dieu est tout puissant par essence et peu donc se défendre tout seul. Le défendre tendrait en effet à conclure paradoxalement qu’il en a besoin et qu’il n’existe pas en un de ses attributs essentiels, la toute puissance. Pas mal, non ? A moins que ..

Ce n’est donc pas une question religieuse mais une aimable et distinguée question philosophique, une discussion de salon, et encore, certains philosophes l’ayant traitée par dessus la jambe (pour Kant, elle fait partie des "antinomies de la raison pure", c’est à dire qu’on peut tout aussi bien démontrer l’existence que l’inexistence de Dieu).

Mais tout cela me rappelle le discours assez rigolo de rentrée d’un professeur de philo à Henri IV qui constatait, un peu désabusé, en début de l’année : "Hé bien Messieurs ! Nous aurons à étudier beaucoup de questions en cours d’année que je vais vous recenser Ha ! Heu.. je constate .. heu .. en passant que .. oui ... hé bien.. Messieurs, je dois vous dire que "Dieu" .. n’est pas au programme cette année"..

Cela résume la position de Dieu dans le monde d’aujourd’hui : il n’est plus "au programme". (Ce qui ne veut pas dire qu’il "n’existe pas". Etant précisé que Dieu est "être" et non "existence". Donc a priori il ne peut exister pour demeurer un "Etre". S’il était "existence", il ne serait plus un "Etre". Je pense que vous me suivez.

Pour une âme vraiment religieuse, la question de l’existence de dieu - ou des dieux - ne se pose même pas. La poser est presque un blasphème. Un homme comme Jésus ne se l’est jamais posée évidemment. La vraie, la grande question qui tourmente tout esprit religieux, n’est pas celle-là. Non. C’est plutôt de savoir ce qui lui plaît et ce qui lui déplaît. Là, on reste un peu sec. Dieu ne répond pas clairement. Pourtant c’est le seul terrain sur lequel paganisme et judaïsme se retrouvent (mais c’est le point de départ de leurs divergences). C’est dire son importance.

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Ce ne sont pas les religieux qui défendent Dieu, mais ceux qui demandent sa protection.
je pense que c’est cela que "le corbeau" a voulu exprimer .

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