sapaudia.org | 21 août |40 | CultureInternationalSociété |
Extrait de L’Arc et la Massue, 1968 L’incidence des processus régressifs (…) sur le plan des mœurs et des goûts se manifeste, sous une de ses formes les plus typiques, dans le goût de la vulgarité, avec son arrière-plan plus ou moins subconscient représenté par un plaisir de la dégradation, de la contamination de soi. Les différentes expressions d’une tendance à la déformation et d’un goût pour (...)
plumenclume.com | 9 août |17 | CultureHistoirePolitiqueSociété |
Extrait de Libido Dominandi, Sexual Liberation and Political Control par E. Michael Jones, Fidelity Press, 1998, 881 p. Partie I, Chapitre 2. Paris, 1787 Le 23 juin 1787, alors que l’Illuminatus Bode de Weimar discute avec ses frères maçons à la loge parisienne connue sous le nom de « Les Amis réunis », un aristocrate français du nom de Donatien Alphonse François de Sade commence la première (...)
E&R | 26 juin |62 | Justice & DroitPolitiqueSociologie |
C’est un fait divers plus grave, au sens de sa représentation, qu’il n’y paraît. Alors que tout le monde – électoralisme actuel oblige – focalise sur la face antisémite du crime, qui semble être le prétexte à un déchaînement de violence dans la tête complètement déstructurée de ce garçon de 12 ans, nous allons placer le débat dans un cercle plus large. Mais d’abord, les faits, piqués dans Le Figaro. Fin (...)
RDP | 17 avril |6 | ÉducationSantéSociété |
Attention, Lounès Darbois n’est pas un hardeur ou un ex-hardeur : dans cet ouvrage, il s’adresse aux jeunes (et à leurs parents), et propose des pistes pour se défaire du porno. Mais surtout, il relie ce problème sociétal, en qui il voit une menace existentielle, à la procréation. L’entretien complet étant payant, nous diffusons les 25 minutes publiques.
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Sacré Patron,
Ce qui m’intéresse aussi est le clap de fin et son "radar-femme"
Mr Soral, j’ai 41 ans et j’aime les femmes... Je rencontre actuellement une problématique un peu particulière qui est un désir profond et insatiable de la drague. J’ai des responsabilités (enfants, travails, etc) qui font que je n’ai que fort peu de temps à consacrer à cette pratique que je rapprocherai de la chasse que je pratique pour son côté enivrant et à la fois rageant quand je n’ai réussi à lever aucun gibier d’eau et à plume colorée !
Pratique à la fois solitaire à l’instar de l’affût et qui nécessite à la fois une prise de courage et aussi mais surtout un grand "je m’en foutisme" en ayant parfaitement intégré le principe du "non" féminin et qu’importe ; ce n’est pas les femmes qui manquent. Maintenant, si j’ose me l’avouer, pratique parfois malheureuse dans le vide qu’elle suggère (ne pas pouvoir ni savoir s’accrocher) et donc son corollaire qui est le nihilisme de la construction amoureuse.
PS : comme l’a dit notre président lisez Weininger et aussi lui-même ou encore Alberto Moravia, Esther Vilar, etc ! Aimez-les pour ce qu’elles sont et c’est magnifique ainsi ! Quand aux autres intervenants, bref... À part les petites nanas de la fin qui m’ont légèrement fait frémir...
41 ans et toujours pas compris que souiller les filles/ femmes/ cousines/ soeurs ... des autres n’est pas quelque chose d’acceptable !?
Tous les problemes du pays commence par la. N’avez vous vous pas d’amour pour votre prochain ? Les moins salo vont a l’etranger pour ca, vous vous faites cela a vos propres "freres".
si je devais donner un titre ironique à cette article, ce serait : de la droite des valeurs. Et après on reproche aux femmes de faire pareil !
M’enfin, peut-être que l’épouse de Ch va elle-aussi se faire des petites sessions de chasse... Bordel, ça va fini en affaire de Mazan ce truc...
Si t’as une femme c’est un problème de fidélité, mais en plus vis-à-vis de tes enfants ça ne leur renvoie pas l’image d’un père-modèle mais celle d’un coureur de jupons immature qui a peur de s’engager.
B) Le second point est je le regrette une critique de fond radicale de l’amour homme-femme qui m’a fait prendre conscience que c’est un un amour des instincts bas qui se marque in fine par le cycle des naissances (et donc de la mort) et qu’en paraphrasant Hegel et sa thèse sur la Zeitgeist/l’esprit du temps ; et bien dans cet esprit du temps ; tout est déjà mort et pourriture et surtout pourriture de l’amour conjugal. La première sacralisation qui donne la vie est en réalité ce à quoi le diable s’est attaché à détruire en premier et il a réussi sa tâche jusqu’au jours ou notre sauveur Jésus-Christ reviendra. On traite Weininger de misogyne alors que son livre et surtout sa mort donne le dernier coup de crayon à son œuvre magistrale et est en réalité l’acte de fin du romantisme !
à 45’ Woodman donne une leçon de drague : juste par la logique il prend le contrôle de la fille et la fait changer d’avis plusieurs fois de suite ; tu lui laisse 5 minutes de plus et elle est à poil devant sa caméra LOL D’ailleurs il le dit explicitement à 1:02’25.
Pour bien comprendre la dynamique de la drague il faut comparer avec l’interaction de Soral avec les filles à la fin, qui est de nature idéologique. On pourrait développer une anthropologie sexuelle complète en partant de ces deux extraits. Mais ça serait de l’anthropologie réelle, pas du simiesque de soumission à l’alpha-dominance morale de la défense des gnantils derniers contre les gniéchants premiers qui les oppriment qu’on appelle "sciences" humaines et qu’on devrait appeler "sciences" judéochrétiennes laïques ou mieux : simiesques sciences.
Bof...
Ces trucs ne marchent qu’avec un certain type de femmes. Par ailleurs, AS qui a une vue d’aigle le lui a rappelé implicitement : les filles que M.W."essaie" pour ses productions sont des filles du prolétariat rêveur dont le cul seul est le capital. Manipulation par un puissant de personnes économiquement et socialement dominées. S’il a des filles, M. W. accepterait-il de les laisser entre les mains de son double ?
@Lord : je suis d’accord avec tes remarques mais la drague c’est un rapprochement sexuel entre inconnus et Woodman y est un maître, il est impressionnant. Ce que tu évoques par contraste ça se passerait entre gens qui se connaissent, plutôt en vue du long terme, du mariage. Mais dans ce cas aussi ça va se passer beaucoup mieux, beaucoup plus amusant, pour un gars qui sait parler aux femmes comme Woodman. Pour ce qui est de ses filles de toute façon on est dans le registre de l’impensable et l’alternative ça serait de les enfermer et les voiler quand elles sortent !
Merci pour votre point de vue, intéressant, bien que je ne sois d’accord qu’en partie. J’ai connu des types de la force de Woodman et les ai vus se prendre des râteaux. Woodman a surtout du flair pour repérer les femmes plus accessibles. Salutations.
Juste une sensation de malaise avec cette vidéo. C’est réalisé à coup sûr par un professionnel, un pro du clip porno même, que je n’en serais pas étonnée. Les close-up sur les visages, le décor parfait du porno chic qui cartonnait a l’époque, la couleur surtout. Tu mets les gonzesses a oualpé et t’es bon. ER osera avouer ?
Emission réalisée par deux jeunes bourgeois suisses.
Ducon.
AS.
C’est sûr qu’en cette époque féministe cette vidéo va déranger, mais bon l’ambiance est conviviale, le débat honnête, les femmes sont en cuisine tout va bien...
Sont-elles passées à la casserole, ça...
Pour info, la pornographie est un truc de Bourges, pour avoir fait des soirées étudiantes ou même étaient dans des familles de copains, ils y avaient des VHS porno ou des diffusions du porno sur la télévision Durant les soirées. Je n’ai pas vu de porno chez un SDF...
On est en 2024, et je sais pas si tu as entendu parler de pornhub...
Bonsoir Messieurs,
Je mérite vos appréciations ou plutôt vos manques d’appréciations dans le mesure où quand on désire s’inscrire dans le collectif, on se doit de se comporter suivant des valeurs et règles morales.
Maintenant, permettez-moi de nuancer deux points essentiels :
A) Je suis un grand amoureux des femmes (et en cela du romantisme). Si je devais me référer à Weininger, je dirais que j’ai une part de F très importante ; ce qui se marque entre autre par des discussions sur l’amour, le couple, les enfants (oui, oui), le fait d’apprécier les efforts que fait une femme pour se rendre belle, etc.
Soral dans son livre "Sociologie du dragueur" décrivait ce type de dragueur comme suit (et encore une fois il tape juste car c’est précisément mon cas !). La mère faible p36 : s’il s’agit d’une mère faible et de l’interruption brutale d’une relation privilégiée, par exemple à la suite d’un remariage où l’enfant a été sacrifié au nouveau conjoint, le dragueur sera plutôt passif et mélancolique. Le genre amoureux permanent, pâmé en série, esthète et peu critique dans son regard sur les femmes.
En reprenant le discours de Valmy avec le slogan : " de la France, je prends tout" !, je l’ai légèrement adapté à ma sauce en affirmant que de la femme je prends tout !
Il n’y a rien d’honorables je l’avoue mais sachez néanmoins une chose est que la femme est exclusivement sexuelle ; tout chez elle est portée sur le coït et que la pudeur que j’ai (oui !) compense l’absence totale de pudeur que mes aventures m’ont fait connaître. Leur sexualité est une ode à la pénétration et un désir total de soumission. Ayant investigué sur cette voie, il me reste deux axes d’attaques ; l’accepter ou le célibat.
Je viens de regarder Le tonnerre de Dieu, avec Gabin ; citation de Robert Hossein qui joue un mac : « les femmes c est fait pour être mères de familles ou putes, le reste c est que de l’a peu près ».
En 65 on savait parler aux femmes )