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j’ai toujours pensé que le rap enfermé et rendait cons certain de mes potes.sinon quenelle intersidérale de ce bouquin et de son auteur,et a mon avis il a pas fini d’etre emmerdé,la rançon de la gloire en brèf !
C’est pour cela qu’il vaut mieux privilégier les musiques traditionnelles des 5 continents(il y en a pour tout les goûts), qui sont elles mêmes à l’origine de la plupart des genres musicaux contemporains.
Ce que dit Mr Soral sur le rap et son existence dans les banlieues, c’est exactement ce que je dis depuis plus de 10 ans aux jeunes de banlieues.
Aujourd’hui, le faible nombre qui était d’accord avec moi, ont réussi et leur belle éloquence cache leur ancienne misère banlieusarde,
tandis que ceux qui me prenaient pour plus stupide qu’eux et me méprisaient à cause de mes pensées (avec propos sarcastique en guise d’attaque), sont de magnifiques délinquants dont la dégaine ressemble plus à celle d’un clochard sdf, et leur niveau de langage est tel qu’il faut tendre l’oreille et rester concentrer sur le peu de mots qu’ils emploient tout en faisant fonctionner son cerveau pour deviner ce qu’ils essayent de vous dire.
Au bout de 3 minutes de conversation, vous êtes psychologiquement crevés. Crevé de les avoir écouté, et les maux de tête que vous ressentez après une courte conversation, ne vous donnent pas envie de réitérer une " discussion " avec ces gens-là.
Sous-prolétaire : gosse de prolétaire, pauvre de vous !
Et Bravo au rap ! Mission accomplie pour la majorité des gens visés par ce phénomène diabolique.
Excellente analyse comme toujours.
A nuancer puisque que ce soit d’outre manche ou ici des électrons libres en sont sortis. Rockin squat avait été nominé aux quenelles d’or en s’en prenant aux Rockefeller par exemple. Et outre Atlantique des rappeurs infiniment chrétiens comme KRS one ou qui ont vécu dans la rue, ont connu la détresse la vraie et ne sont pas mercantiliste pour un sous ont émergés (MF Doom).
Soral a l’analyse parfaite sur le moule qui a voulu être formé dans tous les cas. Tous ceux (bons ou mauvais) qui en sont sortis on été qualifiés de rappeurs alternatifs. Cela veut donc tout dire : il faut faire l’apologie du fric, de la luxure, et tout renier pour être dans le moule skyrock.
Merci a toi Charles, qui reste objectif, nuancer ce propos est très important, car certe le rap à été commercialisé et vendu de cette manière et avec des objectif, mais cet art de la rue est aussi représenté par de vrais gars de rues qui ont appris et qui appliquent les vrai valeurs de la rue. Je ne parle évidement pas de booba Rohff ou la fouf mais bien de rockinsaquat, Mc solar, IAM, la fonky family, NAP, ABd Al Malick, oxmo puccino... Il reste de vrais résistant dans le rap mais la stratégie de l’Empire n’ayant pas changé on
Nous met en avant les booba, Mr you pour nous détourner de sons tels que "la fin de leurs monde" pour ne citer que celui la, qui soit dit en passant à été interprété Iam aux victoires de la musique durant 2 minutes (la chanson entière en fait 9...) donc maintenant libre à vous de vous fermer totalement au rap en effectuant un énorme amalgame, ou alors vous pouvez toujours rester curieux et ouvert et chercher les perles de sincerites et d’humilité que certain MC’s on composés.
Belle nuance ! (Référence à MF Doom très importante). Je travaille dans le communautaire avec des jeunes qui utilisent le rap comme outil critique de la société, et ses effets ne sont pas que négatifs... heureusement ! Il y a des rappeurs chefs quenelliers aussi !
Soral parle évidemment du rap commercialisé. En fait il faut analyser comment cet art de la rue a été détourné (voire monopolisé), comme beaucoup de choses, de son essence première.
J’espère, avec tout le respect que j’ai pour Alain Soral, qu’il reste ouvert au dialogue avec les rappeurs !... bah, j’en doute pas.
Faites lui écouter les disques/entrevues de La Rumeur par exemple ;)
Soral parle de tout le rap cf. Conseils de lecture du mois de février.
Apprendre à raper en survêtement à des jeunes ne va pas les aider à s’émanciper de leur ghetto mental et culturel, puisque le rap a été créé pour ça.
Je suis d’accord avec Soral cependant on ne peut pas mettre tout le monde dans le meme sac. Je pense notamment a kery james ou medine
Tu as sorti les deux pires ! Pour info l’avocat de Kery James n’est autre que David Olivier-Kaminski, le président du b’nai brith europe si je n’me trompe pas. Alix est "le" vendu dans le milieu rap français. Médine c’est pareil en plus sympa.
J’émettrai juste une petite objection par rapport à ce que dit Soral : On peut aisément être Croyant, pratiquant et joueur de Football. Il ne faut pas oublier qu’il existe plusieurs sortes d’intelligences et celle du jeu en fait partie.
Sinon, comme d’habitude, rien à dire.
Vivement la vidéo du mois !
Alain Soral qui parlé : chling ... chling ... (bruit d’une lame d’un sabre) ... et hop un rôtis ficelé qui atterrit sur la table - bon appétit les amis, régalez vous.
Le contre-courant des enfumeurs ou des gens qui s’écoutent parler. C’est-à-dire uniquement cela dans les médias. Vivement la vidéo du mois, mais là le nouveau pape qui vient d’être choisi ça va repousser encore la vidéo du coup.
François 1er, le premier Jésuite à devenir pape, le dernier pape. La boucle est bouclée.
Oui, j’en ai bien l’impression moi aussi : "la boucle est bouclée".
Si ce n’est qu’il manque aux prophéties le dernier Pape, Pierre le Romain.
Mais les voix du Seigneur sont impénétrables...
Ce qui est dit là par Soral est évident et me rappelle le débat de Cardet avec Roth sur beur FM... Ce dernier parlait du foot et du rap qui donnait du rêve aux jeunes de banlieu désespérés... C’est vrai, ça leur donne du rêve mais aussi de l’amère et frustrante désillusion... Puis du chômage ou de la délinquance... Avoir une foi réelle peut en revanche donner la force de ne pas se faire piéger et de passer outre les déceptions et les problèmes d’égo... En cela, il est clair que l’Islam est mille fois plus sain et respectable que ce qu’on vend aux banlieues... Encore faut-il que le Qatar ne monopolise pas toute la "marchandise"...
Hello les rappers
Je tiens à préciser que j’ai eu le plaisir de sécher les cours d’UV de sociologie donnés par Clouscard à l’Université de Poitiers. J’ai du aller à trois cours qui étaient très intéressants et passionants, mais un peu barbants car à l’université. Je préférais de loin la pratique en lisant le fanzine londonien VAGUE et Hello Happy Taxpayers de Bordeaux...
Je pense que Clouscard, si on lui avait expliqué, aurait été aujourd’hui d’accord : ne suivez pas mon cours et détruisez la « culture » ! La plupart de mes camarades le suivait bien sagement...ils sont tous devenus communistes, cégétistes, socialistes et sûrement profs ou notables.
Je n’ai pas lu ce livre sur le rap et son « effroyable imposture ». J’ai regardé l’entrevue de l’auteur.
Hélas, sa perspective est franco-française, voir européenne. La culture américaine n’y est pas du tout perçue en tant que « culture » et qu’ « image ». J’aime pas trop le rap...je suis plutot hardcore/punk (sens expérimental) et tu as toujours le même décalage -aujourd’hui bien documenté- entre des scènes réelles et le marketing. La vie des gars dans le rap ou dans le punk, c’est toujours différents. L’image « commerciale » ou « artistique » qu’ils projetent est totalement différente de leur vie.
Autre point, la vision est juste sur nyc...effectivement où se trouvent les grosses maisons de disques...mais et le reste des USA ? On en fait quoi ?
D’ailleurs, le rap viendrait de la disco, ou plus exactement du boogie down ; c’est celui-ci qui devient le hip hop puis le rap des 80s.
C’est une reponse black aux gros studios et labels discos populaires chez les Blancs. C’est aussi un courant culturel centré sur le Bronx, dans la tradition des sound system disco. Les blacks ne peuvent aller dans les grands clubs, donc ils font leur musique et leur soirees (souvent dans la journee) le week end pour leur quartier.
On rejoint ici la grande histoire des musiques « underground » du rock, du dub, du punk ou du hardcore et aux USA avec des tensions racistes comme par exemple la saloperie du Disco Sucks...Le rap reste une facon cheap de faire de la zique, comme la house, puis recuperé après coup par les elites (cf Def Jam et les Beastie Boys...).
D’ailleurs le rap à NYC dans les annees 80 est le premier etablissement de biz purement black pour les blacks depuis les annees 60 et motown, justement « detruit » par les majors....
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Je ne vois pas trop la même chose en France. Ce qui fait la différence et la particularité des scènes « musicales » en France et aujourd’hui presque leur in-intérêt « culturel ».
Sur Marcuse et le reste des Francfortois, pas grand chose à dire. Là encore, le contexte ricain de la drogue (etc) n’est pas particulier au rap....Sauf que là encore, il ne faut pas limiter cela à scène hipster de Mahantan autour de la Factory et de la dope pour richards.... En tout cas, le parallèle ne tient pas trop entre une multitude de scenes vivantes aux USA et une concentration uniquement marketing en France.
Au niveau du punk, hardcore, etc, de la « musique blanche », Carducci avait fait un travail remarquable de démystification avec son livre (Rock and the Pop Narcotic : Testament for the Electric Church), j’ai aucune idée si un livre équivalent existe à propos du rap.
Tout mon respect, bravo pour le courage de l’auteur et bonne continuation .
Fab
il est trop fort le père soral, il éclaire tous mes doutes et questionnements auxquels je n’arrive absolument pas a trouver une quelconque explication.
ce qui me fait rire c’est que je viens de me souvenir d’une question qui m’avait toujours taraudé l’esprit quand j’étais plus jeune :
qu’est que foutait DSK a la mairie de sarcelle ?!
a l’époque je me disait que c’etait peut etre parcequ’il etait socialiste et les socialistes sont les gentils, mais je voyais bien que le personnage ne cadrait absolument pas et en meme temps je me disais il appartient a la communauté imaginaire tandis que je me censurais en me flagellant en me disant que j’etais antisemite
et 
!
