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Au procès d’Éric Raoult, étalage de la haine conjugale

Éric Raoult s’appuie lourdement à la barre. Il lutte pour tenir droit, pour contenir la rage et la honte de ces heures d’humiliation publique où l’intimité de son couple est dévoilée. L’ancien député (UMP) et maire du Raincy (Seine-Saint-Denis) comparaît jeudi 7 février devant le tribunal correctionnel de Bobigny pour violences conjugales.

Derrière lui a pris place son épouse, Corinne, dont il vit séparé. À l’ouverture de l’audience, elle a annoncé qu’elle retirait sa plainte en raison de l’état de santé de son mari, victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC) en janvier 2012.

Mais la machine judiciaire est lancée. Alors on prend son temps, on se repaît des détails de la haine conjugale que l’exposition rend sordide. Madame était convaincue que Monsieur la trompait avec une femme beaucoup plus jeune. Elle plonge dans une grave dépression, perd vingt kilos, harcèle son mari de questions et lutte contre le temps à coups de blondeur peroxydée, de jupes courtes et de talons hauts. Monsieur s’énerve, insulte, humilie et l’écarte de sa vie publique. Les scènes s’enchaînent. Une première plainte est déposée en décembre 2011,puis une deuxième en octobre 2012, dans lesquelles l’épouse fait état de gifles, d’une bousculade et de menaces.

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