C’est à 1’07’’46 qu’on découvre une nouvelle forme d’intervention, aussi sophistiquée que risquée, du SAMU 69. Il s’agit de sauver un jeune footballeur de 17 ans qui s’est effondré sur le terrain. En urgence absolue, chaque minute compte.

On espère que les coupes budgétaires dans le domaine de la santé ne vont pas affecter ce noble secteur qui sauve chaque jour des vies. Et on ne néglige évidemment pas le reste du soin français, soumis à toutes les pressions du néolibéralisme, et dont le mot d’ordre est simple : engraisser la Banque, dégraisser la France.

Les accidents cardiaques, depuis les campagnes d’injection massive de la population, guettent de plus en plus de gens, même jeunes. Cela peut aussi arriver aux responsables de la santé publique et à ceux de l’exécutif. S’ils sont vraiment « vaccinés », bien entendu.

La France n’est pas encore en urgence absolue, mais elle est très malade. D’une maladie pas très naturelle, d’un virus qui semble avoir été trafiqué en laboratoire : l’usure. L’usure, au sens propre et au sens figuré, fatigue la France, vide son énergie, la fait vieillir précocement.

Notre pays est décrété malade depuis des années par ses gouvernants, qui lui administrent des doses de néolibéralisme de plus en plus fortes, de plus en plus dangereuses pour son organisme, et parfois à la limite du létal.

En réalité, si l’on veut bien chercher et inverser la logique (oligarchique), on découvre que c’est le remède appliqué à notre pays qui le rend malade, et que sa prétendue maladie n’est que prétexte.

Soignés par des empoisonneurs

On nous serine que la France est malade, que les Français sont paresseux, voleurs, menteurs, qu’ils croient des charlatans, des complotistes, des ennemis de la démocratie et de la liberté, et on se rend compte, si on n’est pas sujet à la culpabilité enseignée par les médias, que ce sont justement ceux qui nous qualifient de la sorte qui sont exactement comme ça. Un bel exemple d’inversion accusatoire de la part des élites oligarchiques et de leurs servants.

Oh, les Français ne sont pas parfaits, mais ce n’est pas un mauvais peuple. D’ailleurs, il n’y a pas de mauvais peuple : il n’y a que des mauvais dirigeants, des imbéciles ou des salauds, disait Reiser. Aujourd’hui, vu ceux qui nous gouvernent depuis Bruxelles et chez nous depuis vingt ans, on pourrait même dire qu’on a affaire à des corrompus et des sadiques. C’est carrément un cran plus loin, et générateur de violence sociale.

Le reportage à double sens n’a qu’un défaut, il est lardé de publicités.

Il y a ceux qui sauvent des vies, et ceux qui sauvent des consciences. À votre avis, la France sera-t-elle sauvée par l’élite de l’oligarchie ou l’élite du peuple ?