Egalité et Réconciliation
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Ces mauvais juifs

Ça tombe comme à Gravelotte : de plus en plus de juifs français sortent du bois et se désolidarisent de la politique génocidaire israélienne. Avant, ils étaient minoritaires, peu entendus dans les médias, et parfois traités d’antisémites. Aujourd’hui, le rapport de force s’est inversé : les attaquants sont passés en défense, et les défenseurs en attaque.

 

 

Ils s’appellent Daniel Schneidermann, Pierre Stambul, Serge Halimi, Rony Brauman, et sont la cible des sionistes génocidaires, encore plus que les antisémites classiques, cibles habituelles du lobby. Ce ne sont pas forcément des juifs de gauche, mais ce sont surtout des juifs de gauche, car à droite, on a basculé sur l’axe i24news-CNews.

 

 

 

Devant l’évidence, biblique pour le coup, ces juifs médiatiques ont pris la mesure de la tragédie qui frappe les Gazaouis et par rebond les Israéliens, qui vont être marqués comme les Allemands par la shoah des Palestiniens. Israël se prépare un avenir difficile, sur tous les plans. Rien ne justifie cette vengeance délirante, et le 7 Octobre n’est qu’un prétexte.
Un prétexte de toute évidence préparé, comme l’explique ce soldat israélien.

 

 

En face, chez les juifs génocidaires (on rappelle que selon un sondage, 82 % de la population israélienne soutiendrait Netanyahou, mais ça ne doit pas prendre en compte les familles des soldats morts et blessés, ni les Arabes israéliens...), on n’en démord pas : il faut en finir avec le Hamas, tant pis si toute la population de Gaza y passe. Ils soutiennent des dirigeants devenus fous, des Ben Gvir, des Katz ivres de sang. Les journalistes suivent, comme une Nathalie Nagar, qui sur i24news dégouline de haine pour les Palestiniens et les Français. Drôle de positionnement pour une chaîne en français...

Avant, les « amis dans la place », comme dirait Caroline Yadan, faisaient régner la terreur sur tous les plateaux. Ils passaient leur temps à traquer et dénoncer tout ce qui pouvait critiquer la politique israélienne depuis 1948. Aujourd’hui, c’est terminé : il n’y a plus de terreur, la puissance du lobby a fondu. La peur est retombée, on le voit avec la résistance et la contre-attaque LFI, incarnée par le courageux Aymeric Caron.

 

 

Ce tweet, avant, c’était l’excommunication médiatique garantie ; aujourd’hui, les gens applaudissent le courage (sur X, y a pas photo en coms). Les médias sont une chose, la rue en est une autre. Illustration avec cette foule à Paris qui scande non pas son soutien à Haziza, mais à Gaza :

 

 

Le génocide à Gaza a tout fait basculer, le rapport de force n’est plus le même chez nous. On ne dit pas que la puissance du lobby va disparaître du jour au lendemain, mais les accusations et autres diabolisations ne tiennent plus. Nous, à la pointe du combat pour la France et une vraie république, qui ne reconnaît pas d’individus ou de communautés supérieurs à d’autres, on a en quelque sorte gagné, mais on (se) sera sacrifiés. Depuis longtemps on attendait que les autres embrayent, que par exemple Le Monde diplo prenne le relais, et applique sa lucidité à la situation palestinienne, et surtout au pouvoir démesuré du lobby juif français. C’est chose faite.

La minorité qui veut mettre la majorité en prison, ça ne fonctionne plus. Les activistes qui occupaient la majorité de la surface média (surtout sur le service public audiovisuel) ont longtemps enfermé les Français dans un enclos de peur et de renoncement, et tous ceux qui ont trahi la France pour ce lobby désespérant vont payer le prix de la collaboration.

Oh, il n’est pas question de sang ni de vengeance, simplement d’un juste retour des choses, d’un rééquilibrage naturel. Quand on voit des Français appauvris à qui ont a coupé le sifflet pour laisser parler dans les médias soumis des ordures qui valident un massacre de femmes et d’enfants, des Français qui se font voler leur argent pour l’Ukraine (17 milliards) et pour Israël aussi, dans une moindre mesure, puisque les franco-israéliens ont droit de toucher des aides quand ils sont dans la merde, alors que 4 000 d’entre eux combattent des femmes et des enfants dans Gaza, on se dit qu’on traverse un cauchemar !

Il y a un écœurement en même temps qu’un réveil français. Que les juifs du lobby génocidaire se rassurent, il n’y aura pas de pogrom, pas de synagogue incendiée, les Français ne sont pas les Allemands, mais il n’y aura plus de lobby, même si derrière il y a toujours – oups, complotisme ! – la puissance de la Banque, qui tient le gouvernement. C’est ça qui fait encore tenir ce lobby haineux et antirépublicain, malgré la terreur qui reflue à grande vitesse.

Personnellement, on se moque des foudres du lobby, dont les Français se rendent peu à peu compte qu’elles ne font plus d’effet si on n’y croit pas. La terreur sioniste, c’est comme la pandémie de covid : si tu n’y crois pas, tout va mieux. C’était une psychose, une hallucination collective.
À bon entendeur, salut français.

 

La fin de la grande peur dans la montagne