Egalité et Réconciliation
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Clément Méric, victime d’un coup monté ?

« Le fascisme reviendra sous le nom de l’antifascisme. »
Attribué à Huey P. Long, sénateur américain (1893-1935).

 

Un certain nombre d’indices convergents semble attester que l’affaire « Clément Méric » serait bien un coup monté, planifié à l’avance avec la complicité de la police et de ses services de Renseignement intérieur. La thèse, qui n’est pour l’instant qu’une hypothèse, semble énorme. Pour l’étayer, il nous faut répondre à plusieurs questions : Pourquoi ? Comment ? Quels sont les faits ? À qui profite le crime ?

Pourquoi organiser médiatiquement la mort de Clément Méric ?

Une constante sociologique bien connue, notamment en histoire des religions mais aussi des courants politiques, stipule que la fabrication d’une martyrologie est un passage obligé pour lancer un mouvement idéologique à partir de rien. Il est entendu que les mouvements d’idées ne naissent pas tous de rien, ex nihilo : certains expriment une vraie nécessité populaire ancrée dans le réel et leur émergence est spontanée. Ils se diffusent ainsi de façon quasi naturelle, mémétique, par le bouche-à-oreille, et leur succès est indépendant du Pouvoir en place. À l’opposé, « l’antifascisme » spectaculaire qui essaye d’exister dans les médias dominants depuis quelques mois est un phénomène hors sol, sans ancrage dans la population et sans référent objectif dans le réel ; cet « antifascisme » ne relève que d’une bulle spéculative virtuelle, celle des « remue méninges » et des brainstormings des salles de rédaction et des think tanks de consultants où s’élaborent les scénarios et les virus mentaux que l’on tente ensuite d’inoculer au peuple (le storytelling). Lionel Jospin interviewé par Alain Finkielkraut avouait un jour que la « menace fasciste » dont on nous cause en France depuis les années 1980 était entièrement fictive et que l’antifascisme n’était que du théâtre. Notre ex-premier ministre sait de quoi il parle, ayant été lui-même un acteur de premier rang de cette mise en scène étalée sur des décennies. Dans ces conditions, il n’est guère étonnant que le couple « menace fasciste + antifascisme » ne rencontre aucun écho dans la population française. Mais le Pouvoir dispose de gros moyens et ne ménage pas ses efforts pour répondre à la question : « Comment faire exister en représentations quelque chose qui n’existe pas dans le monde réel ? »

Par exemple, le samedi 7 avril 2012 était organisé le « 1er forum social antifasciste » à la Bourse du travail de Saint-Denis, en banlieue nord de Paris (93). La mention « 1er » dans le titre sous-entendait qu’il était prévu d’en organiser d’autres, mais l’affluence ne fut pas au rendez-vous et l’événement fut un échec. Bien que le journal Le Monde soit le parrain de l’événement (présence de Dominique Vidal) et qu’une vingtaine d’organisations en soient signataires dont le NPA, le Parti de gauche (Front de gauche), les syndicats SUD et CNT, et diverses associations libérales-libertaires, seulement 200 à 250 personnes assistèrent à la rencontre entre 13h30 et 21h, d’après les organisateurs ; moins de 100 d’après nos sources, ce qui, dans les deux cas, rapporté au nombre des organisateurs et au bassin démographique de 10 millions d’habitants de l’agglomération parisienne, reste insignifiant. La Fédération anarchiste de Montreuil commentait ainsi : « Espérons que la (relative) réussite de ce forum relancera la création d’autres événements afin de mener la (re)construction d’un mouvement antifasciste aujourd’hui mal au point. » (sic)

Le bilan du fiasco et l’analyse de ses raisons mit en évidence qu’il manquait à « l’antifascisme » en France un mythe fondateur pour le lancer. Tout mouvement ambitieux a besoin d’un mythe fondateur et d’icônes à vénérer pour amorcer et mettre en branle les dynamiques émotionnelles et comportementales de ses adeptes. Si ce mythe ne vient pas tout seul, alors il faut le construire. Les concepteurs d’opérations psychologiques dans le Renseignement savent en outre que le mythe fondateur doit être de préférence traumatique et violent. On se rappellera le Rav Ron Chaya soulignant dans une vidéo le « bienfait immense » que la Shoah fut pour l’entité sioniste, ou les attentats sous « faux drapeau » du 11 Septembre qui ont semblé attester un temps de la réalité du « choc des civilisations », jusqu’à ce qu’il soit démontré que ce n’étaient pas des musulmans qui les avaient organisés. Dans le jargon, une « psyop » sert généralement à « visibiliser » quelque chose, par exemple un counter-gang de diversion. Ce genre d’opération permet dans un premier temps, non pas d’accroître, mais déjà de créer la visibilité d’un mouvement qui n’en a pas. La réponse à la question : « Pourquoi assassiner Clément Méric ? » est donc : « Pour fabriquer un martyre et faire exister médiatiquement le mouvement dit antifasciste, car il n’y arrive pas tout seul si l’on en reste aux faits. »

En l’occurrence, la manœuvre politico-médiatique étant un peu grossière, elle n’a pas trompé grand monde : même les « antifas » crièrent à la récupération politique et huèrent Alexis Corbière, du Front de gauche, à la manifestation du 06/06/13 en mémoire de leur ami décédé. Le stratagème apparut en toute transparence quand le quotidien de la banque Rothschild, Libération, titra dans son édition du 25/06/13 : « Clément Méric, antifa devenu icône. » Le marketing de l’affaire ne décollant pas, les effets de suggestion médiatique étant insuffisants, le journal en était réduit à mâcher le travail à ses lecteurs et à leur inculquer explicitement ce qu’il fallait penser et répéter. Il semble donc que la Matrice virtualisante ait atteint ses limites. Pour mémoire, rappelons les chiffres désastreux en termes de fréquentation des dernières manifestations de l’extrême gauche du Capital : 40 000 personnes dans toute la France sur deux jours les 15 et 16 décembre 2012 pour le « mariage homo » ; 50 000 personnes à Paris le 5 mai 2013 pour le Front de gauche ; 15 000 personnes dans toute la France le 6 juin 2013 pour Méric ; 6 000 personnes à Paris le 23 juin 2013 contre le « fascisme » ; 35 000 personnes à Paris le 29 juin 2013 pour la Gay Pride ; 150 personnes à Paris sur deux jours les 22 et 23 juin 2013 pour le premier Salon du « mariage gay ». (Chiffres que nous laissons le lecteur vérifier par lui-même sur un moteur de recherches pour ne pas rallonger la liste des notes [1].)

Comment fabriquer un kamikaze ?

Le deuxième problème à résoudre pour étayer l’hypothèse d’un coup monté est méthodologique et doit répondre à la question : « Comment s’y prendre pour provoquer un comportement violent à distance ? » ou « Comment planifier des faits divers violents pour les récupérer ensuite ? » La réponse est : en façonnant un environnement et un climat favorables, donc en appliquant une stratégie indirecte, puis, si possible, en essayant de téléguider directement des individus. On se souvient de la méthode employée par Zbigniew Brzezinski pour engager l’URSS à intervenir en Afghanistan, qu’il dévoilait dans sa fameuse interview du 15/01/98 avec Vincent Jauvert pour Le Nouvel Observateur n°1732. Selon ses propres termes : « Nous n’avons pas poussé les Russes à intervenir, mais nous avons sciemment augmenté la probabilité qu’ils le fassent. » Non pas provoquer directement la violence, mais augmenter intentionnellement la possibilité qu’elle advienne : les traces de culpabilité sont ainsi pratiquement inexistantes. Mettre en place toutes les conditions pour un passage à l’acte, configurer le contexte pour favoriser la réalisation d’un potentiel de violence, ce sont là des techniques bien connues des services de Renseignement pour fabriquer des terroristes ou des faits divers à récupérer politiquement. Sun-Tzu les décrivait déjà dans son Art de la guerre quand il parlait de détecter le potentiel d’une situation, puis de le façonner et de l’orienter dans un sens ou dans un autre.

Sur cette base contextuelle, travaillée pour devenir une pente glissante, il est ensuite possible de préciser le mode opératoire en ciblant un individu chargé de catalyser la violence et de focaliser l’attention des médias. Il faut construire un « candidat Mandchou », un patsy, une sorte de « Mohamed Merah », entièrement façonné, tutoré et piloté à distance par les psychologues des services de Renseignement et dressé pour être sacrifié à un moment ou à un autre. Il faut choisir quelqu’un de jeune, très jeune, donc très influençable, vingt ans ou vingt-cinq au maximum, donc presque un enfant, malléable et crédule. Pour maximiser les chances de réussite de l’opération, le profilage de la personnalité doit s’orienter sur quelqu’un de fragile, tant au plan psychologique que physique.

Du point de vue psychologique, les étudiants de « Sciences Po », dont Clément Méric faisait partie, sont les recrues idéales car ils se préparent à devenir les futurs cadres du capitalisme mondialisé. Ils offrent donc un profil psychologique de type « conformiste » et « soumis à l’autorité », à l’opposé du « révolté » ou du « curieux ». Comme toutes les grandes écoles oligarchiques, Sciences Po exige de ses élèves une soumission totale aux dogmes néolibéraux, soit l’idéologie du Pouvoir, sans quoi la sanction tombera au moment des examens. Pour occuper efficacement leur place dans la hiérarchie des dominants, les étudiants de Sciences Po sont donc élevés dans la haine des peuples et des nations qu’ils auront à écraser sous leur botte. Ce profil de personnalité suggestible présente les caractéristiques recherchées chez tout kamikaze : immaturité, plasticité, docilité, ainsi que des tendances sadomasochistes et suicidaires prononcées. Le caractère autodestructeur de la psychologie de Méric apparaît encore mieux dans ses idéologies de référence, le véganisme et l’antispécisme, deux branches voisines de la deep ecology, ou écologie radicale, dont les fondements malthusiens ont été définis dès les années 1960 avec le soutien de banques et de fondations (Iron Mountain, rapport Meadows du club de Rome, cybernétique sociale), et que l’on peut résumer en une phrase : « La Vie est au-dessus de tout, sauf celle des humains. » Négation des différences entre les espèces vivantes, droits des animaux supérieurs à ceux des humains, culte de Gaïa dont l’humain serait le parasite, réduction de population, décroissance générale, contrôle des naissances, légitimation de l’euthanasie, bref l’antispécisme exprime un vrai fond de haine de soi maladive et une tendance génocidaire appliquée à sa propre espèce. La cohérence mentale et la logique n’étant pas au rendez-vous, les antispécistes et les véganistes militent donc pour le respect de la Vie et de la Nature, mais n’objectent rien contre l’avortement, ni contre l’eugénisme (PMA, GPA) ou la dénaturation et la destruction de l’humain (« mariage homo », confusion des genres, transhumanisme), ce qui les associe donc davantage à une secte morbide en pleine bouffée délirante qu’à un mouvement rationnel et empiriste.

Si l’on ajoute à ce masochisme intellectuel l’extrême fragilité physique du personnage et son état de santé précaire, on peut pratiquement dire qu’il s’est suicidé. Pesant 60 kilos, non-entraîné pour le combat rapproché, se relevant d’un cancer leucémique, donc engagé dans un suivi thérapeutique de cinq années pendant lesquelles une rechute mortelle est possible, Clément Méric risquait gros en provoquant une bagarre de rue. Une personne lucide et en possession de ses moyens ne cherche pas les coups au sortir d’une chimiothérapie. Une telle irresponsabilité vis-à-vis de soi-même révèle donc chez le sujet un esprit sous influence, absent du principe de réalité, ainsi qu’une tendance autodestructrice profonde, évidemment stimulée et renforcée par les individus qui l’ont poussé à s’exposer et à prendre des risques pour sa vie [2].

L’agression sur Esteban Morillo préméditée

Après avoir analysé les méthodes employées, la question à laquelle répondre est : « Quels sont les faits qui attestent d’une opération préméditée ? » Pour avancer dans la démonstration du coup monté, il faut mettre en évidence que la succession des faits n’est pas spontanée et ne doit rien au hasard, ou du moins pas seulement. Vu de l’extérieur et si l’on s’en tient à la version officielle médiatique, le fait divers, qui eut lieu à l’occasion d’une vente privée de vêtements de mode, fait penser à une rencontre fortuite entre fashion victims qui aurait mal tourné, une sorte de crêpage de chignons entre donzelles autour d’un maillot de bain en solde. Or, on sait aujourd’hui que l’agression sur Esteban Morillo par Clément Méric obéissait à une préméditation, comme le prouve la liste de photos de Morillo et de ses amis sur le site « Vigilance Végane Antifasciste » avec la mention « Besoin d’identification please » en date du 1er décembre 2012. Esteban Morillo était donc l’objet d’une surveillance et d’une traque, activement recherché depuis plusieurs mois par le groupe « végan antifa » auquel était relié Méric. Le vigile témoin de l’altercation fut d’ailleurs formel : « Clément Méric voulait vraiment en découdre. » Un article du Huffington Post nous apprend : « Par ailleurs, Clément Méric était, selon une source policière citée par l’AFP, connu des services spécialisés comme appartenant à un groupe de militants d’extrême-gauche “qui recherchent la confrontation” avec ceux d’extrême-droite, notamment la vingtaine de skins constituant le noyau dur des Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR). »

L’intention et la préméditation des coups et blessures de la part de Méric sont donc des acquis de l’enquête, encore renforcés par des précédents à l’agression sur Morillo. En effet, de nombreux documents accessibles en ligne attestent de la participation plus ou moins agressive de Clément Méric à diverses manifestations, notamment pour le « mariage homo » et la location du ventre des femmes, ainsi qu’à des opérations « coup de poing », dont l’une avait dévasté le bar La Cantada à Paris le 26/01/13, et l’autre l’avait déjà envoyé à l’hôpital le 01/05/13 [3].

Une chronologie des faits problématique

D’autres éléments prêchent en faveur d’une implication de certains membres du personnel politique ainsi que de médias du Pouvoir. Alexis Corbière, secrétaire national du Parti de gauche (composante du Front de gauche) et principal adjoint à la mairie du 12ème arrondissement de Paris, était le premier à rapporter le soir même du mercredi 05/06/13 sur son blog la rixe ayant conduit à l’hospitalisation de Clément Méric en état de « mort cérébrale ». Bizarrement, Alexis Corbière ne donne pas ses sources. On imagine mal qu’elles émanent des militants proches de Méric, compte tenu de l’accueil écœuré aux cris de « Récupération ! » que les amis de la victime ont réservé au politicien à la manifestation du lendemain sur la place Saint-Michel. Donc, comment a-t-il pu être informé aussi vite d’un fait divers commun du point de vue juridique et se déroulant dans d’autres quartiers que ceux dont il a la charge administrative ? Par quel réseau l’information lui est-elle parvenue ?

En outre, si nous essayons d’établir une chronologie, nous voyons que des étrangetés apparaissent. L’heure du billet d’Alexis Corbière n’est pas mentionnée, mais le premier commentaire est à 23h16. Le texte de Corbière :

« Aujourd’hui à 18h, C., militant de 19 ans connu pour son engagement contre l’extrême droite, a été lâchement agressé à Paris dans le quartier de la gare Saint-Lazare. Violemment frappé au sol par un groupe de plusieurs militants d’extrême droite, manifestement selon des premiers témoignages du groupe JNR (Jeune nationaliste révolutionnaire), laissé inanimé, il a été déclaré ce soir en état de mort cérébrale à l’hôpital Salpêtrière. Le Parti de gauche s’incline avec beaucoup de tristesse et de colère devant la mémoire de notre camarade C., que nous connaissions. Il adresse ses condoléances à sa famille et ses proches qui militaient à ses cotés. Le Parti de Gauche interpelle le ministre de l’Intérieur et exige que les forces de police agissent dans les plus brefs délais pour retrouver les responsables de ce crime odieux. Le PG exige également la dissolution des groupes d’extrême droite qui multiplient les actes de violence à Paris et à travers le pays depuis plusieurs semaines. »

Puis le premier commentaire :

« Le mercredi, 5 juin 2013, 23:16 par oorlynck. nous demandons la dissolution de ces extrémistes, sinon nous brulerons leurs bâtiments et nous les passerons à tabac, nous devons réagir au plus vite. » (sic)

À 23h15 au plus tard, Alexis Corbière était donc en mesure d’affirmer avec certitude la mort cérébrale de Méric, ce qui l’autorisait à présenter immédiatement ses condoléances à la famille et aux amis. Une telle assurance exposée publiquement sur l’état clinique du jeune homme suppose des informations sûres, donc un diagnostic médical achevé et confirmé. Or, quels sont les critères médico-légaux pour porter un diagnostic de mort cérébrale, ou mort encéphalique ? Voyons le texte de loi sur Légifrance :

« Article R671-7-2. Créé par Décret n°96-1041 du 2 décembre 1996 - art. 1 JORF 4 décembre 1996. Abrogé par Décret 2003-462 2003-05-21 art. 4 2° JORF 27 mai 2003.

Si la personne, dont le décès est constaté cliniquement, est assistée par ventilation mécanique et conserve une fonction hémodynamique, l’absence de ventilation spontanée est vérifiée par une épreuve d’hypercapnie. De plus, en complément des trois critères cliniques mentionnés à l’article R. 671-7-1, il doit être recouru pour attester du caractère irréversible de la destruction encéphalique :

1° Soit à deux électroencéphalogrammes nuls et aréactifs effectués à un intervalle minimal de quatre heures, réalisés avec amplification maximale sur une durée d’enregistrement de trente minutes et dont le résultat doit être immédiatement consigné par le médecin qui en fait l’interprétation ;

2° Soit à une angiographie objectivant l’arrêt de la circulation encéphalique et dont le résultat doit être immédiatement consigné par le radiologue qui en fait l’interprétation. »

Clément Méric a-t-il subi un double électroencéphalogramme (EEG) ou une angiographie pour confirmer sa mort cérébrale ? Le protocole EEG dure 5 heures et l’angiographie, selon des sources médicales, entre 1 et 2 heures. Deux types différents de questions se posent selon que Méric est entré dans l’un ou l’autre protocole.

Première option : l’EEG. Si la rixe a bien eu lieu à 18h dans le quartier de la gare Saint-Lazare, le temps d’appeler un véhicule, qu’il arrive sur place, que l’on charge le corps, puis qu’on arrive aux urgences de la Pitié-Salpêtrière avec le blessé et compte tenu de la circulation dans le centre de Paris à ce moment de la journée, il était 18h30 au plus tôt. Dans le cas d’un protocole EEG d’une durée de 5 heures au total, le diagnostic de mort cérébrale ne pouvait pas être porté avant 23h30. Sachant que le premier commentaire au billet d’Alexis Corbière date de 23h16, le double EEG était encore en cours. Corbière a donc rédigé son billet et adressé ses condoléances avant même toute conclusion médicale officielle par un spécialiste sur l’état de Méric !

Ou alors, deuxième option, Méric a subi une angiographie, achevée à 19h30 au plus tôt. Si tel est le cas, le problème de la chronologie est résolu, Corbière a disposé d’un temps raisonnable pour rédiger son billet, mais la question des sources se pose toujours : de quel radiologue a-t-il obtenu l’information du diagnostic par angiographie de mort cérébrale de Clément Méric, compte tenu du secret médical, renforcé par le secret de l’instruction quand le décès relève de coups et blessures ? Des fuites ? Oui, mais de qui ? Nos regards ne peuvent s’empêcher de se porter vers ces réseaux transversaux « fraternels » profondément infiltrés dans l’administration française, travaillant en synergie dans les diverses fonctions publiques, notamment la police et l’hôpital, capables de planifier des événements en leur donnant l’apparence de la spontanéité ou de l’imprévu, et auxquels Alexis Corbière est notoirement affilié, de même que son comparse Jean-Luc Mélenchon.

Ajoutons que Clément Méric n’était pas encore décédé le mercredi 05/06/13 au soir, ce qu’Alexis Corbière précise lui-même en parlant de « mort cérébrale ». Qu’est-ce que la mort cérébrale ? Il s’agit d’un type de coma très profond, également appelé coma de type IV, ou « coma dépassé », souvent considéré comme irréversible, mais dont certaines personnes sont revenues malgré tout, notamment les témoins d’expériences de mort imminente (EMI). Du point de vue organique, le corps n’est plus autonome et a besoin d’être branché en permanence aux appareils de réanimation, d’hydratation et d’alimentation par perfusion. Il faut débrancher le comateux pour que le cœur cesse de battre et les poumons de respirer. Qui prend la décision de « débrancher », autrement dit d’achever ? En principe, selon la loi, la famille. Mais quelle famille accepterait de donner le coup de grâce à son enfant après seulement 24 heures de coma et sans lui accorder plus de temps et de chance de survie, l’autopsie de Clément Méric ayant bien eu lieu le vendredi 07/06/13 au matin ?

De fait, la première annonce officielle dans les médias du décès définitif de Clément Méric est une brève de l’AFP avec le Figaro.fr, du jeudi 06/06/13 à 17h21 (puis l’AFP sur Twitter à 17h30). Sur cette base, on notera encore une fois la chronologie des événements pour le moins intrigante que nous rapporte Le Nouvel Observateur. Dans un article créé le jeudi 06/06/13 à 11h29, mis à jour à 22h31, et titré « Mort de Clément Méric : tous les événements », on apprend que l’annonce officielle du décès de la victime est prononcée en fin d’après-midi, donc après la mise en ligne de l’article (!), mais aussi que les manifestations en hommage au mort, avec les banderoles et les t-shirts imprimés, étaient organisées à partir de midi, donc en fait dès le matin, voire la veille :

« Mercredi soir, en plein cœur de Paris, un jeune homme de 18 ans, Clément Méric, a été laissé en état de mort cérébrale après avoir été agressé par un groupe de skinheads. Clément Méric était étudiant à Sciences-Po et était connu pour ses engagements antifascistes. Le jeune homme est officiellement décédé jeudi en fin d’après-midi. Plusieurs hommages ont eu lieu dans la journée : à 12 heures devant Sciences Po Paris, à 17 heures au Passage du Havre à Paris (9e arrondissement) et à 18h30 place Saint-Michel (6e arrondissement) où des milliers de personnes se sont rassemblées pour rendre hommage à Clément Méric. »

Un tel empressement à enterrer quelqu’un, une telle rapidité à médiatiser sa mort sur une échelle maximale, alors que des faits divers bien pires se produisent chaque jour, et un tel degré de préparation du matériel et de l’agenda des manifestations laissent fortement à penser que l’événement n’était peut-être pas inattendu pour tout le monde [4]...

Cui bono ?

On attend toujours que l’extrême gauche du Capital dénonce le vrai fascisme ou le vrai néonazisme, évidemment pas celui du prolétariat souverainiste inoffensif d’Esteban Morillo, mais celui du capitalisme tout-puissant, formé par la collusion des banques, des lobbies industriels et des minorités actives qui les pilotent depuis l’Union européenne et les diverses instances supranationales au bénéfice d’un agenda eugéniste fondé sur l’artificialisation du vivant par le « mariage homo », la théorie de la confusion des genres, la PMA, la GPA, l’euthanasie et la surveillance cybernétique pour tous. Las ! Cette extrême gauche sans-frontièriste, antiprotectionniste et libérale-libertaire ne mordra jamais la main qui la nourrit, ou alors pas trop fort, juste pour donner l’illusion qu’on est tout de même encore un peu du côté du peuple et pas seulement des « minorités ». En vérité, c’est bien le Parti socialiste qui définit l’idéologie profonde de toute la Gauche française (centriste comme ultra-), parce que c’est ce parti, adoubé par le Capital, qui en a les moyens financiers. Or, la trahison intentionnelle des classes populaires pour se mettre à l’heure des « minorités » est bien la stratégie préconisée explicitement par la fondation Terra Nova, le laboratoire d’idées du PS, qui organise ainsi sans complexe le « grand remplacement » de la démocratie, quand la loi est l’expression de la majorité, par l’oligarchie, quand la loi est l’expression des minorités…

La dernière question que l’on peut se poser est : « À qui profite le crime ? » On le sait, les groupes militants soi-disant antifascistes ne s’attaquent jamais sérieusement au vrai fascisme, celui de Bruxelles, de Washington ou de Tel-Aviv. Leurs efforts pour « taper à côté » du vrai fascisme révèlent la stratégie de leurs vrais maîtres, de même qu’Al Qaïda et les groupes djihadistes ne s’attaquent bizarrement jamais à Israël. La question de savoir qui est derrière les « antifascistes » trouve une réponse claire dans les slogans des manifestations « antifascistes » en Allemagne : Antifa means solidarity with Israel ! (Antifa signifie solidarité avec Israël !) ; Deutschland abschaffen (Supprimer l’Allemagne) ; Für Israel, gegen old Europe (Pour Israël, contre la vieille Europe) ; Antiamerikanismus angreifen (Attaquer l’antiaméricanisme) ; Imagine there is no Deutschland (Imagine qu’il n’y a pas d’Allemagne) ; Deutschland verraten ! (Trahir l’Allemagne !) ; Nieder mit dem Regime im Iran (À bas le régime en Iran).

Soyons clairs : l’extrême gauche allemande, ou « antiallemande », comme le revendiquent les anti-Deutschen, est aujourd’hui passée à 90 % sous le contrôle de Tel-Aviv et de Washington, et l’extrême gauche française est en train de subir le même sort, à tel point que l’expression « antifrançais » devrait bientôt apparaître dans ses éléments de langage. On en voudra pour preuves supplémentaires le soutien indéfectible de notre extrême gauche hexagonale aux opérations coloniales de l’OTAN, des États-Unis et de l’entité sioniste en Libye et en Syrie, par djihadistes interposés. Sans oublier le slogan « Ni oubli, ni pardon » sur les affiches et dans les manifestations autour de Clément Méric, qui répètent avec un mimétisme appliqué le slogan des associations pour la commémoration de la Shoah.

Récapitulons. La méthode est connue des services de Renseignements. Les faits prouvent la préméditation et leur chronologie est étrange. Le crime profite à des réseaux d’influence extrêmement puissants. Alors, au final, quel scénario ? Clément Méric, un militant ultralibéral, est repéré puis manipulé pendant plusieurs mois comme de la chair à canon par les réseaux d’influence du Capital qui lui mettent en tête de provoquer une bagarre alors qu’il sort d’une leucémie. Il attaque par derrière mais perd quand même et se retrouve à l’hôpital dans un état critique, comme prévu. L’adolescent a été victime d’une opération psychologique montée par les réseaux atlanto-sionistes infiltrés au plus haut niveau de l’État français, Manuel Valls en tête, brillamment secondé par Alexis Corbière et ses « frères », consistant à augmenter sciemment la possibilité d’une mort parmi leurs marionnettes « antifas » pour leur donner une visibilité médiatique et lancer un mouvement populaire sur une base émotionnelle. À notre plus grande horreur, il faut pouvoir également envisager l’hypothèse que l’ordre ait été donné dans certains réseaux dormants de l’institution hospitalière de « débrancher » la victime plongée dans le coma pour finir le boulot. Le but général de l’opération consisterait à aligner par identification compassionnelle l’opinion publique française sur la mouvance antinationale et mondialiste des « antifascistes », et à participer au pinkwashing initié par l’entité sioniste pour créer des clivages géopolitiques fondés sur la confusion des genres (gay-friendly or not). Ce n’est qu’un scénario, donc une hypothèse à confirmer, mais qui permet de mettre en cohérence des faits qui, sinon, en sont dépourvus. Pour finir, essayons d’être charitables et inversons la sentence « Ni oubli, ni pardon ». Donc pardonnons à Clément Méric d’avoir été manipulé pour se suicider, puis oublions-le et laissons sa famille faire son deuil [5].

Sur l’antifascisme, chez Kontre Kulture :

 






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  • #483468
    Le 4 août 2013 à 16:22 par karimbaud
    Clément Méric, victime d’un coup monté ?

    excellent article !........la vérité complète, nous ne l’auront jamais, on ne peut que s’en approcher et je trouve que là, m’est avis que nous en sommes tout proche...........nous savons que nos élites sont capables du pire, et quant bien même il peut exister des réserves relatives à l’épisode hospitalier par exemple, la seule question qui vaille c’est : à qui profite le crime ?.......j’irai plus loin, ces gens-là sont tellement crades dans leurs têtes que quoique vous ayez imaginé en terme de saloperies et de perversités, eux iront toujours plus loin.....hypothèse : il n’y a pas eu complot, ok, mais tout ce qui peut les aider à désinformer le peuple et à le faire basculer dans leur paradigme pour installer plus profond leur dictature est bon à prendre....et cette affaire Méric, c’est bon pour...au fond, avec ces salopards, l’intention vaut l’action (comme au foot) et va, en fait, tellement au delà !...et dire que nous n’en sommes qu’aux prémices.

     

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  • #483513
    Le 4 août 2013 à 17:31 par jahjah
    Clément Méric, victime d’un coup monté ?

    Vas-y petit, Le merluchon et Botul te regardent. Les fachos ne doivent pas vivre, à nos enfants de la patrie, le jour de gloire c’est devant, mets ton protège dents. Embrigadement d’étudiant bourgeois disponible.

     

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  • #483809
    Le 4 août 2013 à 22:41 par Le Nettoyeur
    Clément Méric, victime d’un coup monté ?

    De toutes façons, quels que soient les détails techniques, le fait de galvaniser des jeunes pour aller taper d’autres jeunes pour le profit de certains adultes c’est déjà un coup monté en soi, comme dans toutes guerres.

     

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  • #484122
    Le 5 août 2013 à 09:18 par neribu
    Clément Méric, victime d’un coup monté ?

    Tout ça pour ça...

    L’échec est tout aussi cuisant aujourd’hui... il y a deux victimes (qu’il ne faut pas placer sur le même niveau) l’un est mort, l’autre en prison.

    La dissolution de deux ou trois mouvements dits "fascisto-racistes-antisémites" ne règle rien et même, ont donné une médiatisation inespérée à ces ex-mouvements qui sont suivis par des milliers d’internautes aujourd’hui sur Facemachin et twitter...

    La seule chose qui pourrait leur rapporter c’est de voter encore des lois plus liberticides que celles qui existent déjà ou faire des attentats sous faux-drapeaux en accusant l’ext.droââââte... il n’est même pas sûr que le français lambda y croirait...

    Bref des manipulateurs de bacs à sable.

    Je me suis tout de même posé la question suivante : habituellement, quelle que ce soit la victime surtout lorsqu’elle est jeune on voit les parents, certains parlent même aux médias.
    Pourquoi n’a t-on jamais vu ni entendu les parents de Méric ? ils sont totalement absents et personne n’en parle (on sait seulement qu’ils ont un nom à rallonge et que le père est enseignant)...

    quelqu’un peut-il m’éclairer sur le sujet... bizarre non ?

     

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  • #484134
    Le 5 août 2013 à 09:54 par dav59
    Clément Méric, victime d’un coup monté ?

    on en est arrivé a un tel point de fracture et de trahison de cette gauche immonde dans notre pays, que ce qui est deprimant, c’est que cet article decrit un scenario.....tout a fait plausible.
    pauvre peuple de france, on echapera pas malgres les efforts de braves et courageux individus tel alain soral a une guerre civile car ces gens la ne renonceront pas au demantelement de notre patrie et a la destruction de son peuple.seul la force les y contraindra...

     

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  • #485009
    Le 5 août 2013 à 22:44 par kevorkian
    Clément Méric, victime d’un coup monté ?

    Le délire médiatique sur cette affaire a été tel...
    Article intéressant, qui aurait du néanmoins évoquer la responsabilité des cadres de ces groupes antifa : qui sont-ils ? de quoi vivent-ils ? quelles sont leurs connexions réelles avec les hautes instances ?

    Mais je préfère rester prudent, tout ça fait scénar d’une banale série TF1, ou alors c’est que je ne suis pas (encore) prêt à accepter que le cynisme des "élites" puisse atteindre un tel niveau. A mon avis les réseaux sont sur les dents pour exploiter n’importe quel fait divers qui servirait leurs intérêts, il y a toute une machine qui se met en route et utilise tous les rouages du système. Pour résumer il leur suffit de créer un climat dégueulasse à l’échelle d’une société, faire monter la sauce, et attendre pour déployer tout le cinéma.

     

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  • #485362
    Le 6 août 2013 à 13:18 par pseudo
    Clément Méric, victime d’un coup monté ?

    je tente un repost de commentaire puisque il est une fois de plus passé à la trappe. Je vais m’attarder sur le passage délirant sur le veganisme puisque c’est un sujet que je connais plutôt bien. Je croyais que sur ce site les gens étaient plutôt aguerri au fait que les lobbys récupèrent des idéologies ou des mouvements pour mieux les discréditer.

    Il n’a jamais été question de nier les différences entre les espèces, mais de montrer les similitudes entre les espèces sentientes, ce qui est une sacrée nuance quand on daigne s’instruire sur le sujet.

    Les mêmes qui applaudissent les analyses de Pierro San Giorgio qui dit qu’avec le développement exponentiel démographique il sera impossible de nourrir les milliards d’animaux humains et non humains, fustigent ceux qui défendent les droits des animaux qui tiennent le même discourt en les traitant de malthusiens. C’est vraiment curieux comme retournement de veste. En quoi avoir une politique de limitation des naissances pour permettre à ceux qui sont déjà sur terre de vivre décemment est-il si condamnable ? Et le plus dingue, c’est que cette politique, ce sont les specistes qui en sont les coupables à cause de leur mode alimentaire (entre autre) qui demande des rendements intensifs à nul autres pareils.

    Je n’ai jamais entendu parler de légitimation de l’euthanasie depuis 10 ans que je côtoie activement les milieux animalistes. Ni de droits des animaux supérieurs aux humains. Je ne vois pas en quoi respecter le droit à la vie d’une être sentient enlève quelque chose dans les droits fondamentaux des humains.

    Quand on veut parler de veganisme et d’antispecisme, comme pour le reste on fait l’effort de s’instruire sérieusement sur le sujet au lieu de raconter ce qui vous arrange pour défendre vos intérêts. Les analyses d’intellectuels compétents ce n’est pas ce qui manque, mais peut-être que comme pour beaucoup, il vaut mieux que vous vous voiliez la face plutôt que de découvrir des vérités qui vous dérangent, n’est il pas vrai ?
    Je remets la video de Gary Yourofsky qu’on ne peut pas soupçonner d’etre un suicidaire sous l’emprise de bouffées délirantes.
    Si seulement les vegans philosophes, avocats, chercheurs, etc pouvaient lire vos commentaires ...
    www.youtube.com/watch ?v=9ivP...
    www.youtube.com/watch ?featur... (Q&R)

    Et je le répète, Clément Méric n’était "que" vegetalien, et Esteban était bien vegan antispéciste :) Il suffit d’aller sur son site section défense animale pour le comprendre.

     

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  • #494347
    Le 16 août 2013 à 11:25 par Al lambic
    Clément Méric, victime d’un coup monté ?

    Peut-être une piste : Lors de la contre-manif du 17 avril (dont est tirée la photo de Méric), on peut voir à ses côtés, une jeune fille masquée d’un foulard noir et qui malgré cet accessoire, fait furieusement penser à Clémentine Autain membre du FDG et qui a ses entrées à science Po. On peut la voir sans masque mais hélas de trop loin sur cette vidéo : http://www.contre-info.com/clement-.... Son vêtement est d’un joli bleu-vert, couleur que semble affectionnée cette Clémentine. Quoi de mieux qu’une jolie égérie pour envoyer un couillon au casse-pipe ?
    Peut-être avez vous les moyens de l’identifier vraiment.
    Salutations

     

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  • #495415
    Le 17 août 2013 à 18:15 par gigamesh
    Clément Méric, victime d’un coup monté ?

    Des gens capables de monter de tels scénarios ( ils sont capables de mettre en œuvre des meurtres "domestiques" comme des crimes beaucoup plus graves coûtant la vie à des milliers de Syriens en ce moment donc je ne doute pas que de tels projets naissent dans leurs cerveaux malades ) ne lâcheront pas l’affaire facilement. Leur idéologie est telle qu’ils en deviennent fanatiques. Comment les arrêter si ce n’est par des actions bien structurées .

     

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  • #500986
    Le 24 août 2013 à 10:54 par Pegeen Mike
    Clément Méric, victime d’un coup monté ?

    Moi j’ai tiqué lorsque je suis tombée sur le Grand Journal de Canal + quelques heures seulement après la mort de Méric. Ses "amis", invités à cette émission arboraient déjà des T.Shirts avec son nom imprimé dessus... Certes, ce n’est pas très long de confectionner des transferts et les imprimer sur des vêtements mais tout de même.... Si vous perdez un grand ami, est-ce que votre réaction immédiates va être d’arborer un t.shirt avec son nom dessus ?

    Je n’arrive malheureusement pas à retrouver le lien de ce passage à la télé y compris sur le site de Canal.... Mais en tout cas, il m’avait fait tiquer et j’ai compris sans trop y croire que quelque chose de louche était caché derrière ce fait divers.

     

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