Egalité et Réconciliation
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En réaction : Félix Niesche

Arthur Sapaudia : Félix, merci pour votre participation à ce petit exercice ! À la suite de mon second florilège intitulé Complémentarité et différences des sexes et en patientant pour le prochain – Considération sur les femmes – qui arrive à la vitesse d’une jument au galop, je ne pouvais m’adresser qu’à vous sur ces sujets qui nous importent. Maintenant, place à l’artiste ! Première citation :

La nature, en séparant l’espèce humaine en deux catégories, n’a pas fait les parts égales. C’est bien ce qu’ont pensé de tout temps les anciens et les peuples de l’Orient ; ils se rendaient mieux compte du rôle qui convient aux femmes, que nous ne le faisons avec notre galanterie à l’ancienne mode française et notre stupide vénération, qui est bien l’épanouissement le plus complet de la sottise germano-chrétienne. Cela n’a servi qu’à les rendre si arrogantes, si impertinentes : parfois elles me font penser aux singes sacrés de Bénarès, qui ont si bien conscience de leur dignité sacrosainte et de leur inviolabilité, qu’ils se croient tout permis. (Arthur Schopenhauer, Essai sur les femmes, 1851)

 

Essai sur les femmes d’Arthur Schopenhauer
(avec une préface de Félix Niesche)
,
l’ouvrage sulfureux est disponible chez Kontre Kulture !

 

Félix Niesche : Il y a trois questions distinctes qui, certes, se recoupent, s’interpénètrent, mais ne devraient pas être confondues : la Femme ou l’éternel féminin, le Féminisme authentique, et le féminisme étatique actuel. Or, par une sorte de nominalisme qui prend le mot pour la chose, elles sont imbriquées dans une même représentation gigogne. La voici : les femmes auraient toujours été opprimées par l’homme, d’où le Féminisme, qui est cette « guerre ininterrompue, tantôt ouverte, tantôt dissimulée », qu’elles auraient mené incessamment contre cette Oppression immémoriale ; le féminisme actuel n’étant que l’actualité de ce féminisme ininterrompu. Telle est la fausseté ontologique féministe, le voile de Maya de sa Représentation. Dans cette optique, « notre » féminisme actuel serait un féminisme qui a réussi.

Certes, « tout n’est pas encore achevé », mais ce féminisme a conquis des places de premier rang, du prestige, il est une matière à part entière qui s’enseigne, il a changé les mœurs, la morale, et le sens de la vie. Y a-t-il quelque chose qu’il n’ait pas obtenu ? 
Sa prévalence est telle, que les quelques lignes de Schopenhauer citées sont étalées avec complaisance sur la Toile comme preuve de l’antiquité et de l’inanité de la misogynie. Il y en a même un qui l’a mis en exergue d’un blog intitulé « Schopenhauer est un con » ! 
Le féminisme d’État actuel redoute autant la misogynie philosophique d’un Schopenhauer que le lobby pharmaceutique redoute la déontologie médicale d’Hippocrate de Kos.

Or donc, ce qui fait le sel de cette citation proposée ne sera pas sa satire « des femmes », mais celle des messieurs atteint de la galanterie à l’ancienne mode française, de la stupide vénération, de la sottise germano-chrétienne. 
Qu’est-ce-que cette « sottise germano-chrétienne » ? C’est le sérieux allemand devant des histoires juives, quand le rire homérique s’imposait. Schopenhauer, comme Nietzsche, voyait l’Allemagne devenir une nation de philistins. 
Ce substantif : Philistin est une clé. Le bourgeois est LE Philistin par excellence, et la femme par essence. Schopenhauer : « Des exceptions isolées et partielles ne changent rien aux choses ; les femmes sont, et resteront, prises dans leur ensemble, les Philistins les plus accomplis et les plus incurables. »

Dès le début, le bourgeois se traînait aux pieds de sa femelle et de la Courtisane. La bourgeoisie décadente l’a portée au pinacle. La société bourgeoise moderne a posé la plus stricte égalité des sexes en droit, et en prime à offert à la femelle sa pension alimentaire, avec sa ration sexuelle. La gynécocratie bourgeoise n’est elle pas essentiellement, bornée, triviale, pétasse, inculte, antipoétique, fermé aux choses de l’art et de l’esprit ? Schopenhauer pensait que sur la femme et l’amour, les poètes voyaient plus clair que les philosophes. Lui excepté, bien sûr, qui s’intitulait le « seul métaphysicien de l’amour depuis Platon ».

En voici un poète, Charles Baudelaire :

« La femme, esclave vile, orgueilleuse et stupide,
 Sans rire s’adorant et s’aimant sans dégoût ; 
L’homme, tyran goulu, paillard, dur et cupide, 
Esclave de l’esclave et ruisseau dans l’égout »

O combien ruisselant ! 
Le féminisme n’a pu se constituer et fonder sa sidération et son suprématisme sexuel que sur cet esclavage inné, ruisselant, ce féminisme latent qui vit et règne dans l’âme des esclaves de l’esclave. Arthur Schopenhauer : 
« La Volonté est le bon génie de l’espèce. Ce qu’elle vise à conserver c’est l’espèce, nullement les individus, dont elle se moque puissamment. Ceux-ci sont sacrifiés sur l’autel de la génération. »

Ainsi l’homme soumis au vouloir sera nécessairement soumis à la femelle de l’espèce car elle est toute entière conçue par le vouloir-vivre, corps et âme. Par sa néoténie et son hypergamie. Quant à sa « beauté », discutable, l’anglais autrement hardi l’appelle avec justesse le sex-appeal. Ce qui dit tout.

Cette soumission originelle de H à F est une donnée a priori de la nature humaine. Tous les hommes, qu’ils soient pro féministes ou anti féministes sont unis dans ce rapport sexuel ontologique. Je ne dis pas qu’ils se valent à tous les égards, mais uniquement devant cette question. 
Ceux qui portent les oripeaux de la Vieille Réaction, qui se posent en nostalgiques féodaux, voudraient-ils rétablir la primogéniture mâle ? Laissez-moi rire. Vous imaginez nos bourgeois pseudo-gentilshommes vouloir en revenir à la loi salique ?


J’en ai entendu dans le poste, un universitaire catholique de grande Tradition, monarchiste, rescapé de la Shoah vendéenne, qui dénonçait avec force devant des parterres fleuris, la Misogynie des Lumières et de la Révolution ! 
Ignorait-il, ce Philistin, la grande misogynie des Pères de l’Église ? De Saint-Paul, de Saint Augustin, de Saint Thomas d’Aquin : « La femme correspond au second dessein de la nature, de même que la putréfaction, la difformité et la décrépitude. » Aversion qui fait pâlir celle de Rousseau ou de Voltaire.


Les chevaliers servants de jadis, les champions de « l’honneur » des Dames faisaient régner les égards qui leur étaient dus. En vérité, ils représentaient le féminisme avant la lettre, mais ont été remplacé par lui. D’où leur désappointement ! Ils sont donc passés dans une opposition résolue à ce féminisme nationalisé, étatisé. On peut même dire que la stupidité « germano-chrétienne », voire germanopratine, a été la base du seul contre-féminisme un peu organisé. Que ce soit en proposant sous les jupes un féminisme de rechange, plus propre et plus distingué, pour les plus chrétiens. Ou en poussant une virile protestation masculine, pour les plus germains, qui aiment à se nommer eux mêmes « les macho-protecteurs ».


Il importe d’informer ces derniers que pour Arthur Schopenhauer « les peuples de l’orient » ne sont nullement les peuples de l’islam. Les macho-protecteurs professent que l’islam serait un rempart contre le « wokisme ». De l’art de se voiler la face devant les femmes voilées de l’islamo-féminisme. Messieurs, cette opinion misogyne revient à nier « la moitié du ciel ». Ce ne sont pas les bâchées à lunettes qui arrachaient rageusement les portraits de Lola, pour brandir ceux de Nahel qui ont soumis leur islamisme au féminisme, mais les féministes blanches qui se sont soumises corps et âme à l’islam inclusif, au racisme décolonial musulman. Le féminisme sous Burqa est pur de toute souillure mécréante. Rappelons que le woke désigne d’abord « l’égalité » raciale ! Le féminisme réel, présent est subsumé dans le Racisme. Les « racisés décoloniales » ne sont que les douces moitiés des mâles coraniques courroucées qui enrichissent au couteau leurs compagnes du vivre-ensemble. Car ils n’ont pas l’idolâtrie de « nos » femelles, c’est là leur moindre défaut. Et lorsque de malheureuses jeunes femmes sont égorgées dans une gare ou bien défigurées à coups de tesson de bouteille dans un jardin public le féminisme islamique nomme dévotement « Martyre » l’égorgeur, et « Patriarcat » le manieur du tesson.

Ce fameux patriarcat, dont les féministes actuelles nous rebattent les oreilles d’ânes, à les entendre, n’aurait jamais été aussi virulent qu’à l’époque de sa disparition. Que de pauvres demeurées crussent vivre de façon imaginaire dans un patriarcat, relève de la psychiatrie. Le Patriarcat, en première et dernière analyse, ne peut qu’être une société ayant inscrit dans sa coutume et dans sa Loi, une prévalence masculine. Cela a été à la fin du Néolithique, durant toute l’Antiquité, et même dans la féodalité qui était basée sur la primogéniture mâle. Mais l’époque bourgeoise déjà gynécocratique dans sa mentalité et ses mœurs, le deviendra dans le Droit synallagmatique qui dépouille le Fils au profit de la Veuve. Quant à la coutume, aux us, les fameux « stéréotypes » qui resteraient tenaces, qui continueraient de sévir nonobstant les Lois, l’on voit bien que « l’envie du Pénal » féministe, pose a priori que la clique des privilégiés et la crapule des gens d’État seraient infiniment plus évoluées que les peuples pétris de préjugés, auxquels il faut inculquer le féminisme à coup de trique, à coup de discrimination positive.



La Parité obligatoire, par exemple, n’est-ce pas d’abord réinvestir de la valeur la plus pourrie la plus pourrie de toutes les activités parasites, celle de politicard ? C’est-à-dire comédien du spectacle de la politique qui n’existe que pour détourner l’attention du pauvre monde de la vermine accrochée sur son dos. La féminisation de la malpropreté politicienne est bien d’une certaine manière un rajeunissement, puisque comme tous les parvenus, les femelles politicardes, émerveillées d’en être, apportent une certaine « fraîcheur » artificielle comme des déodorants bon marché, dans les cabinets ministériels ou les chiottes bouchées parlementaires.


Ce que ce féminisme change, c’est la place dans le monde des femmes les plus adaptées à ce monde, qu’on laissera intact, et même qu’on va magnifier. Par la statolâtrie et l’idolâtrie du capital, ces deux grandiloquences du philistinisme bourgeois et féministe. Le gouvernement féministe qui a octroyé la Parité obligatoire dans le même temps rétablissait le travail de nuit des femmes dans les usines ! Comme social on a fait mieux. 
La contraception, l’avortement ? C’est ça le progrès ? Le sanglant avortement et l’abjecte Pilule, potion de magie noire en vue du noir pullulement.

Il ne faut pas être anti féministe, c’est-à-dire secondaire à lui, il faut être dans l’affirmation, être un homme, être une femme. Authentique. C’est le pseudo féminisme qui est faux, et tout entier dans la négation de la vérité, de la réalité, de la vie, de l’amour, de la féminité, de la société, de la race, de la beauté, du langage. Il a « féminisé » la langue, c’est-à-dire l’a vandalisée, tuant son esprit et sa lettre, comme il tue les vouloir-vivre embryonnaires, suspendant la reproduction de la vie à son arbitraire, à son intime prurit. Son irrationalisme grossier est passé de principe métaphysique à la raison d’État.

Le féminisme, ce qui se cache aujourd’hui sous ce nom a priori aimable, pue. Et sa première puanteur a été de rajeunir la vieille merde bourgeoise discréditée, post 1968. Comme la grande Culpa, l’idéologie victimaire a aidé au réarmement moral et politique du capitalisme discrédité après la deuxième boucherie impérialiste. Les valeurs du féminisme et du capitalisme sont si parfaitement homogènes, que nous pouvons risquer cette analogie en disant qu’il est passé d’une domination formelle à une domination réelle. La première correspondant au féminisme maternel, démétrien comme le nomme Julius Evola, l’autre à ce féminisme d’État, ce féminisme total et totalitaire, dont nous avons un peu explicité la nature. Nous n’avons pas dit son nom véritable, qui est imprononçable.

 

Seconde citation :

Il est intéressant de remarquer, (…) que le côté ambigu, dangereux, de la substance féminine sous son aspect occulte est mis en relation avec la potentialité démétrienne (maternelle) de la femme, plutôt qu’avec sa potentialité aphrodisienne. Cela nous est confirmé par le fait suivant : selon une tradition pratiquement universelle, c’est sur la base des règles — phénomène lié précisément à la potentialité maternelle, non à celle aphrodisienne ou dionysiaque de la femme — que l’idée de la dangerosité magique prend le plus d’importance ; souvent, il s’agit ici d’une influence capable, non seulement de paralyser le sacré, mais de frapper le noyau le plus profond de la virilité. (Julius Evola, Métaphysique du sexe, 1958)

 

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Il existe une misogynie vulgaire basée sur le dégoût que peut inspirer certaines servitudes inhérentes à la femme en tant que mammifère. Car nous sommes, le genre humain, toutes races confondues, une espèce mammifère, ne vous déplaise. Ce sont les femelles qui portent les petits. Elles portent aussi mamelles, ce qui est l’étymologie du mot mammifère, « qui est pourvu de mamelles. » Elles sont donc laitières, et intimement réglées par le cycle cosmique, terre-lune. « Elle a ses lunes », « elle a ses époques » disait-on autrefois.

Rappels nécessaires en un temps où les fonctions naturelles impliquées par l’appartenance à cette classe mammifère, sont décriées comme des « stéréotypes » imposés par le Patriarcat. Ainsi, de par le génie irrationaliste du féminisme, les femmes ne sont plus détentrices intra uterinum pour quelques mois des enfants à naître, mais en sont les propriétaires, comme si elles les avaient crées ex nihilo, telles les pacha-mamas adulées par Bergoglio.

« Le droit des femmes à disposer de leur propre corps », l’infinie stupidité de cette expression redondante quand elle est liée à l’avortement ! Ainsi, après la négation des Lumières, on en revient à un Obscurantisme transcendant, à l’obscurité initiale des grottes. Les réactionnaires nostalgiques du Zoo de Versailles peuvent toujours s’aligner, ils ont trouvé leurs maîtresses dans les personnes des féministes.

Comprendre les époques

« Oh menstruating woman, thou’rt a fiend — from whom ail nature should be closely screened ! »

Le sens alchimique du mot menstrues était celui d’une liqueur dissolvante des métaux. Nous retrouvons cette symbolique des eaux dissolvantes comme principe féminin, dans la tradition hermétique. Symboliquement la submersion par les eaux amazoniennes corrode la virilité spirituelle, agit comme une transmutation contre-alchimique du métal masculin, qui va passer de nature noble à nature vile. Julius Evola nous montre que toutes les traditions qui ont eu une véritable densité métaphysique ont développées « L’idée d’une relation entre la substance de la femme, au moyen de ses règles, et l’univers d’une magie nocturne (non apollinienne) et de possibles influences psychiquement désagrégatrices. »

Ce n’est pas une idée de Julius Evola, mais une connaissance qu’il rapporte, un savoir initiatique. C’est donc le sexe au sens naturaliste, physiologique, qui est le plus néfaste pour la virilité spirituelle. On pourrait aussi bien le comprendre en référence à la métaphysique de la volonté de Schopenhauer. Nous avons vu qu’elle se traduisait par la dictature de l’Espèce sur l’individu. Donc de F sur H, en tant que substance et principe de la reproduction.

Cependant, ailleurs, Evola dit explicitement que si la Mère est la figure archétypale de la domination F, celle de la Courtisane, de l’Hétaïre va lui succéder. Aphrodite succède à Déméter et ce sera bien pire pour la virilité spirituelle. Celle ci va déchoir davantage car :

« La nature chtonienne et souterraine pénètre jusque dans le principe viril et va le dégrader au plan phallique. La femme domine maintenant l’homme en tant que celui ci devient esclave des sens et simple instrument de procréation » (Révolte contre le monde moderne)

Il importe de prendre conscience à quel degré de profondeur cette conception est antagoniste au mental de la résistance au féminisme actuel et au type masculin qui porte cette résistance. Car si j’avais le mauvais goût de traduire Evola en sabir contemporain, ce qu’à Dieu ne plaise, cela donnerait ceci : le féminisme aphrodisien réduit les hommes à n’être que des Bites. De simples fornicateurs et fiers de l’être. La Circé féministe transforme les mâles en cochons reniflant après les vulves. 

Il est patent que notre « féminsisme » est contre la famille, l’anéantit ; du coup la tentation de le penser et le critiquer comme aphrodisien est trop forte, surtout quand la Résistance puise ses forces réelles dans la protestation religieuse. Certes, ils ont raison sur un point, le « féminisme » que nous subissons n’est certes pas démétrien. Il n’est ni maternel ni sacerdotal, pour le moins.

Avortement qui anéantit la génération, qui met le nouveau né chrétien dans l’étable, sur la table sanglante. Pilule qui casse le Cycle, le cycle des Lunes, qui jette la femme-nature hors du cosmos. 
Le féminisme sévissant est certes afro-préférentiel mais est-il d’Aphrodisie pour autant ? 
« Non ! » a répondu avec hauteur, un seul : Don Juan. Le Don Juan unique de L’Enfer de Don Juan. Certes elle remplace le cycle démétrien par un cycle plus enfoncé dans l’âge noir, l’âge de Kali, qui est celui de la Destruction et du Sexe. Mais la gynocratie étatique n’est pas un âge d’érotisme, ce n’est pas le règne d’Aphrodite, mais de Mégère. Il serait même selon lui, par certains côté plus Salomé, dans la mesure où son impudicité même serait clanique. Et horriblement naturaliste quand son « vagin » monologue dans les théâtres subventionné, ou s’écarte atrocement comme pour un examen gynécologique dans la pornographie.


Pornographie qui est pour notre Don Juan, un procès pédérastique. La Castration féministe est dedans la subjugation pornographique. Ce que ni le féministe chrétien, ni le fornicateur ne savent voir. Que la position du consommateur du porno est celle de l’Impuissant, jouet du pornocrate, dans un pédérastique procès.


Au fond, le féminisme actuel est davantage aphrodisien, mais sans l’être, tout en l’étant davantage. Car il ne fait pas de tous les hommes des phallus, mais il les soumet à ceux là, car elles sont leurs servantes. Elles ne sont que les servantes sorcières du Très Vieux Père.

C’est heureux que LE féminisme soit du genre masculin, grammaticalement, car il l’est fondamentalement. Notre gynécocratie n’est pas un féminisme. Certes son apparaître, sa substance est femelle, O combien, mais son essence est masculine, il est le pouvoir d’un homme, le Vieux mâle dominant, ce Féminisme a servi dès l’origine l’ordre capitaliste le plus ancien, le plus parasite, le plus usurier, contre l’ordre fraternel des fils.

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16 Commentaires

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  • #3236648
    Le 27 août 2023 à 10:29 par anonyme
    En réaction : Félix Niesche

    J’ai tjs été très fasciné son sourire très avenant et sa haute considération pour les femmes...Difficile de nier qu’il n’avait raison en tout point de vue.

     

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  • #3236734
    Le 27 août 2023 à 12:59 par masque de chair
    En réaction : Félix Niesche

    "Quant à sa « beauté », discutable, l’anglais autrement hardi l’appelle avec justesse le sex-appeal"

    sex-appeal n’est pas la traduction de beauté, mais de ce qu’en français classique on nomme "charmes" (au pluriel)

     

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    • #3237099
      Le Août 2023 à 09:17 par Pamfli
      En réaction : Félix Niesche

      C’est pour cela que Félix Niesche met des guillemets à beauté puis ajoute le fait que ce soit discutable : sex-appeal signifiant attraction sexuelle produite par l’action des phéromones agissant sur la psyché de l’homme qui réduit sa fonction phalique à une teub. Soit la manifestation de la volonté d’être l’esclave d’ "Aphrodite" dépourvue de beauté, d’amour et de fertilité, à savoir la grande castratrice du viril, de la philosophie stoïcienne selon laquelle tout homme a le profond devoir de ne pas s’inquiéter de ce qui ne dépend pas de lui, c’est-à-dire dont il ne possède pas une parfaite maîtrise.

      Dire que ces sottes, ces "blanches à gros cul" ont cru que plus Mammadou était membré et plus elles allaient prendre leur pied : David a une bistouquette et non une trompe d’éléphant parce que, dans sa représentation, Michel Ange a fait correspondre la beauté du corps dans ses proportions équilibrées avec la réalité érectile. Eh oui plus une teub ressemble à une trompe et moins le sang afflue dans les corps caverneux par baisse de la pression sanguine, donc Mammadou est peu sportif lors du coït ainsi "la blanche à gros cul" ne grimpe pas au rideau, comme c’est dommage, souvent elle est du genre molassonne "à gros cul", ça se voit avec son téléphone mobile, elle se fait chier dans la vie et ne fait rien pour arranger les choses...
      D’où la montée des frustrations et de l’hystérie chez celles aux cheveux chimiquement bleus, la branche la plus stupide des féministes, hormis celle des lgbtq+ compatible peut-être, toujours et encore dans l’erreur, décidément.
      Dans cette représentation, David est un sacré sportif qui n’aurait pas eu besoin de viagra : ce guerrier, poète et musicien a mis en déroute les ennemis philistins en vainquant le géant Goliath à l’aide de sa fronde.
      Et n’oubliez pas qu’un éléphant ça trompe énormément !
      Sinon pour les jeunes sportifs, les coureurs à pied, portez des slips cela évite la trompe et surtout d’avoir, à terme, des coucougnettes qui frottent avec les genoux.

       
    • #3238107
      Le Août 2023 à 13:08 par Alain Soral
      En réaction : Félix Niesche

      C’est toujours triste de voir quelqu’un la ramener pour montrer qu’il n’a pas compris !
      AS.

       
  • #3236766
    Le 27 août 2023 à 13:59 par legrandjeu
    En réaction : Félix Niesche

    Femme, temps éternel du + que parfait du subjectif, siège de l’émotion............

     

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  • #3236810
    Le 27 août 2023 à 16:23 par Trou Blanc
    En réaction : Félix Niesche

    Le lapin blanc descend toujours plus bas dans le tunnel…
    troublant !

     

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  • #3236903
    Le 27 août 2023 à 19:24 par Un ploemeurois
    En réaction : Félix Niesche

    C’est pas compliqué. Comment voulez vous que Federer, Nadal, Djokovic, aient ou aient eu leurs niveaux de jeu qu’en jouant avec des femmes ou avec des femmes. C’est impossible.

    Sinon reprises par Proudhon, dans De la justice dans la Révolution et dans l’Église p285, des citations des pères et des docteurs de l’Eglise, sur le sujet féminin :

    ’...Souveraine peste que la femme ! s’écrie saint Jean Chrysostôme ; dard aigu du démon ! Par la femme le diable a triomphé d’Adam, et lui a fait perdre le Paradis.

    Que de malédictions cette maudite allégorie du fruit défendu a attirées sur le sexe !

    La femme, dit saint Augustin, ne peut ni enseigner, ni témoigner, ni compromettre, ni juger, à plus forte raison commander.

    Saint Jean de Damas : La femme est une méchante bourrique, un affreux ténia, qui a son siége dans le cœur de l’homme ; fille de mensonge, sentinelle avancée de l’Enfer, qui a chassé Adam du Paradis ; indomptable Bellone, ennemie jurée de la paix.

    Saint Jean Chrysologue : Elle est la cause du mal, l’auteur du péché, la pierre du tombeau, la porte de l’Enfer, la fatalité de nos misères.

    Saint Antonin : Tête du crime, arme du diable. Quand vous voyez une femme, croyez que vous avez devant vous, non pas un être humain, non pas même une bête féroce, mais le diable en personne. Sa voix est le sifflet du serpent.

    Saint Cyprien aimerait mieux entendre le sifflement du basilic que le chant d’une femme.

    Saint Bonaventure la compare au scorpion, toujours prit à piquer ; il l’appelle lance du démon. C’est aussi l’avis d’Eusèbe de Césarée, que la femme est la flèche du diable.

    Saint Grégoire le Grand : La femme n’a pas le sens du bien.

    Saint Jérôme : La femme, livrée à elle-même, ne tarde pas à tomber dans l’impureté. Et encore : Une femme sans reproche est plus rare que le phénix. C’est la porte du démon, le chemin de l’iniquité, le dard du scorpion, au total, une dangereuse espèce. ..."

    https://fr.wikisource.org/wiki/Page...

    Livre qui devrait plaire à Kontre Kulture.

     

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    • #3237174
      Le Août 2023 à 12:03 par Domus
      En réaction : Félix Niesche

      Un bon florilège de gens qui ne connaissent strictement rien étant donné que ce sont des religieux, donc des misogynes, célibataires, voire puceaux !

      Il serait bon qu’on reprenne dans l’Histoire de l’humanité, la place de la femme à l’époque des anciennes civilisations , qui ont eu d’énormes pouvoirs , de fonctions politiques, de connaissances et étaient considérées comme des égales. Ca n’est qu’a l’apparition des religions principales que ça a changé, avec la fameuse fable de la pomme.

      Et on en est rendu à un certain féminisme qui nuit au réel rôle des uns et des autres.

       
    • #3238037
      Le Août 2023 à 10:42 par Arthur Srz
      En réaction : Félix Niesche

      Domus, dans quelle société les femmes étaient-elles traitées comme les égales des hommes, svp ?

       
  • #3236971
    Le 27 août 2023 à 21:59 par Ori Didineff
    En réaction : Félix Niesche

    Quelle plume !

     

    Répondre à ce message

  • #3237044
    Le 28 août 2023 à 06:44 par Sonja
    En réaction : Félix Niesche

    Force est de constater que le sujet sur les femmes fait couler bcp d’encre.. une petite suggestion pour la rédaction, pourquoi ne pas faire un sujet qui traiterait uniquement sur les hommes ? Ce serait super intéressant.. merci d’avance

     

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    • #3238009
      Le Août 2023 à 09:18 par Reno
      En réaction : Félix Niesche

      Suffit de lire des livres d’histoire. Celle-ci a été faites par les hommes.

       
    • #3238187
      Le Août 2023 à 16:20 par Sonja
      En réaction : Félix Niesche

      Reno dis moi ce que tu ne comprends pas dans mon commentaire..

       
  • #3238435
    Le 31 août 2023 à 05:25 par SOCRADE
    En réaction : Félix Niesche

    Essayez de lire le pavé encyclopédique "Les femmes de Platon à Derrida" : la philo est pathétique quand elle essaie de penser la Femme,

    Schopenhauer est peut-être le moins débile mais bon il a juste repéré un peu de la sélection sexuelle, c’est une led de 0,1W son éclairage philosophique !

    Observons une femme, par ex. Ornella Muti : https://celebritygossipus.com/wp-co...

    Je m’excuse mais il y a un petit peu plus que ce que Schopenhauer et tous ces débiles racontent :D

    C’est quoi ce plus ? C’est le surnaturel qui est présent quand un être naturel, fabriqué par la Nature, exprime une identité hautement psychique et même spirituelle dans le cas des plus belles.

    La Beauté va avoir un attrait immense, hypnotique pour l’Homme puisque qu’elle est de la Pensée réelle, incarnée, matérialisée, donc qui semble répondre à son questionnement le plus profond : que suis-je, qu’est-ce que le psychisme, qu’est-ce que la Pensée ?

    Les belles femmes sont les seuls êtres surnaturels qui soient réels, tous les autres sont imaginaires (divinités etc.). Les moins belles sont surnaturelles de droit, pour les hommes qui se tiennent.

    La Beauté est intrinsèquement liée à la sexualité parce que l’espèce humaine -qui est le support de la Pensée- a été créée par la sexualité comme toutes les espèces à l’exception des virus et des bactéries. Par co-sélection de la Beauté chez la Femme et de la Pensée chez l’Homme on passe ainsi d’une jolie guenon il y a 7 millions d’années, joliesse intriquée à la pensée simiesque, la pensée muette de l’autre, à la blonde surnaturelle aux yeux bleus, surnaturel intriqué à la pensée la plus puissante, la pensée logique européenne, co-apparues vers -6000 ans (apparition des yeux bleus).

    La sélection consiste pour les femmes a être totalement passives sexuellement : elle maintiennent ainsi l’espèce sur son objet, la pensée fonctionnelle, en éliminant ceux qui pensent trop donc n’agissent pas et ceux qui agissent mais ne pensent pas assez et sont incapables de les faire rêver et les séduire.

    BOOM sujet traité au fond façon Soral en moins de 2500 caractères ; vous pouvez oublier Schopinou et consorts !

     

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    • #3238613
      Le Août 2023 à 11:55 par Druss
      En réaction : Félix Niesche

      Vous feriez mieux de travailler vos problèmes de jalousie, ça vous sera mille fois plus utile que votre "savoir".
      Mais ça demande un effort...

       
    • #3239428
      Le Septembre 2023 à 19:29 par oui oui
      En réaction : Félix Niesche

      par oui oui
      Je résume :

      A 20 ans on séduit les être surnaturel en tirant son coup et en les supportant ensuite,

      A 40 on les garde en alignant les zéro dans les dépenses avec possibilité d’augmentation permanente de confot, pour que l’être surnaturel n’ai pas d’autres choix que de continuer de faire semblant.(pour ne pas qu’une autre en profite à sa place, effectivement c’est d’une spiritualité très haute , totalement désintéressé de bénéfices strictement mondains)

      C’est sûr on est loin de la déesse Athéna des chevaliers du Zodiaque...même si pas forcément si loin de ces mêmes chevaliers, avec nos armures et nos techniques secretes pour continuer de supporter nos ielles, histoire d’avoir une chance de continuer de voir nos gosses encore un peu après leur majorité quand on en a eu avec un être surnaturel)