Merci les fils et ER. Je l’ai trouvé équilibré et sain, cet homme. Il parle d’ouverture et de tolérance philosophique. Pouvoir et décision ? Il le dit lui-même : il n’est qu’un observateur. Il ne peut pas grand chose à part espérer un mieux et appeler au fédéralisme.

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j’ai l’impression que l’Algérie est un pays maudit, cette terre a été maudite, le peuple algérien est l’un des plus ambivalent qu’il soit : ils se disent arabes mais ne le sont pas, ils se disent musulmans mais ne se soumettent pas aux obligations de la religion(alcool, relation avant le mariage, insulte, non respect des personnes âgées), ils se disent heureux mais les suicides font des ravages, ils fêtent la aid et autre fêtes traditionnelles sans conviction, sans savoir les fêter comme si elles étaient imposées, il n’y a aucune tradition c’est pour cela que des reportages tv sur Algérie portent que sur la guerre ou autres mais jamais sur les traditions il n’y en a pas. On vit sans savoir où on va.On n’a pas d’identité.
L’occupation française nous as détruit, la guerre d’indépendance nous as mis à genoux, la guerre civile nous a anesthésier, les généraux nous ont cousu nos bouches. On est des morts vivants.

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"Il n’existait pas de citoyens (...) il n’y avait que des sujets" et c’est bien toute l’ambiguïté ! Dans les deux cas, l’utilisation de l’un de ces deux termes est soumis à l’arbitraire. La Monarchie comme la République n’ont jamais pu faire la démonstration des belles idées dont elles se drapaient.
J’invite tous les Frank Abed et autres nostalgiques à observer nos cousins Bourbon d’Espagne : Inutiles, dispendieux, corrompus et à moitié gâteux... Un radeau qui vous assure de couler même en cas de naufrage !!!
Une expérience à ne pas reproduire et un exemple à ne pas suivre.
Au lieu de rêver à une Dictature éclairée, lisez Rousseau !!!

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Monseigneur ? Et ta sœur ? J’ai beau porter le deuil le 21 janvier et figurer en tant que comte dans l’annuaire de la noblesse française, ainsi que dans le nobiliaire breton, j’ai un peu de mal à donner du monseigneur à un individus qui n’est pas évêque ; ou alors, entre potes, pour rigoler et faire chier les roturiers, à condition qu’il me donne lui-même du comte long comme ça et qu’on se tape sur le ventre autour d’un pichet de Bourgogne... Autrement, non, je marche pas.

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Une chose m’est évidente, c’est que si nous étions gouvernés par des gens de ce calibre et de cette classe, on serait moins la risée du monde venant par exemple de correspondants outre atlantique qui sont sidérés de voir nos destinées dépendantes d’une guimauve informe qui s’adapte à toutes les promiscités. Cependant, dans son énoncé des principes selon lesquels on n’abdique pas parce que c’est la légitimité des lois fondamentales qui couvre le Prince, et pas l’inverse, c’est-à-dire le Prince qui couvre la légitimité des lois, il y a matière à réflexion. Car évoquer l’abdication est évidemment une allusion aux monarques qui ont abdiqué, et à Nicolas II en particulier, avec bien sûr en toile de fond les régicides respectifs français et russe. Il existe une grande différence dans la relation au divin chez les russes et les français, en dehors des divergences doctrinales entre le Vatican et les Églises Orthodoxes. Dans le cas particulier de la Russie, dans le texte Slavon des Écritures Saintes, on tutoie Dieu, au lieu de le vouvoyer comme il est fait dans le texte désormais classique de la traduction française de Sacy. Comme nous le rappellent les révolutionaires en France qui abolirent son usage citoyen, le vouvoiement suppose la médiation de la civilité sociale. Faut-il en conclure que, dans l’acception de ce digne Bourbon, le monarque en France rendait davantage compte que son frère impérial russe, aux hommes qu’à Dieu. Les mots du journal de Nicolas II le 2 mars 1917, date de son abdication portent la mention ’Krugom izmena, trusost i obman’, ’Alentour il n’y a que trahison, pleutrerie et mensonge’. Le jour même de cette abdication, eût lieu à Kolomenskoïe, l’invention miraculeuse de l’icône de la Mère de Dieu dite Derzhavnaïa, Qui Retient, tenant les insignes régaliens, le sceptre et la mappemonde. Le point de vue mystique de la monarchie russe a entériné l’abdication de Nicolas II, et la Theotakos a remplacé le monarque terrestre dans la vénération mystique des fidèles à l’Église céleste des ÉLUS où l’on tutoie Dieu, dans une civilité sainte et supérieure à celle de l’Église combattante dans ce monde, où règne une civilité du prince de ce monde, et où l’on vouvoie Dieu. Les bouées et les radeaux dont parle Mr Sixte-Henri de Bourbon-Parme ne seraient-ils pas davantage à saisir dans l’immortalité du ciel ?

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Je suis étonné et un peu déçu des réactions négatives de certains internautes. J’ai été très favorablement impressionné par cette interview. Je connaissais déjà la personnalité du prince Sixte-Henri et je pense qu’il serait beaucoup plus légitime que les Orléans (qui ne le sont pas du tout) pour éventuellement régner en France. Là je trouve qu’il développe des vues très sages, très intelligentes, et très larges : véritablement royales. Evidemment pour beaucoup elles sont peut-être un peu trop ouvertes envers l’immigration mais surtout, si l’on y prend garde, elles sont très proches de celles d’Alain Soral.

Je considère donc comme un évènement historique de première importance que Fils de France, sous l’impulsion de Kamel Bekich et Alain Soral, s’approche du prince le plus légitimiste et le plus original de la maison de France et tombent d’accord avec lui. C’est historique : il n’y a pas d’autre mot. Et si j’avais une suggestion à faire à Alain Soral ce serait que son mouvement E&R (qui rappelle de plus en plus l’Action Française), sans forcément se déclarer monarchiste, se dise du moins ouvert à l’idée monarchique et choisisse le prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme comme son prince. Ainsi on éviterait l’erreur tragique qui a été fatale à l’A.F. : celle de se mettre à la remorque des Orléans.

Un tel mouvement constituerait un magnifique "radeau", pour reprendre la belle expression du prince, auquel une multitude de gens pourront se raccrocher dans l’Egalité et la Réconciliation, fidèles au génie français méditerranéen et au mare nostrum romain. Vraiment une majestueuse perspective d’avenir.

Je vois là un avenir historique pleins de promesses.

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J’en vois plusieurs qui, dans leurs commentaires, racontent à qui veut l’entendre et en argumentant plus ou moins longuement qu’ils ne voudraient pas de Mgr de Bourbon-Parme comme roi de France, ça me fait doucement sourire... Un peu de bon sens ! Il est prétendant carliste au trône d’ESPAGNE !
Il n’est que quarante-deuxième dans l’ordre de succession légitimiste au trône de France, autant dire que la probabilité de le voir devenir roi de France en cas de restauration est proche du néant.

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Il pourrait pas faire pire que Hollande.....

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Ce cher monsieur aimerait revenir sur le devant de la scène , il serait notre radeau , notre bouée dans le cataclisme avec toute sa clique accrochée à sa cape : et une foi encore les castes et ses pédants .
Pourquoi les paysans avaient la "haine" des nobles ? parce que (entrautre) ces nobles spoliaient les terres communales pour leur comptes .........
Comment peut-il comprendre les français si pour lui les interviews "vu à la télé" sont la France ? il ne doit pas beaucoup sortir de sa caste celui-là.
Et on se ferait entuber encore une foi,il n’y a pas de bonne soupe dans les vieux pots cassés

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NOBLESSE OBLIGE !

L’entendre s’exprimer me fait prendre conscience que la France a beaucoup perdu en adoptant sa république maçonnique... Vive le Roi !

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