OK j’ai compris, pour ne pas avoir de virilité toxique, il faut beigner les gonzesses ! ( du verbe du premier grouper : beigner, donner des beignes )
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Blague à part, comme dit Thaïs d’Escufon les femmes n’ont pas de personnalité et se raccrochent aux idées de leur homme, les femmes ont besoin de se sentir protégées, et se sentent protégées dans les bras d’un homme fort c’est à dire d’un homme qui trace la route vers son objectif. Normalement l’objectif d’un homme bien construit est de bien construire sa famille et bien conduire ses enfants vers la vie, intuitivement les femmes le savent. Et très régulièrement les femmes ont peur, elles deviennent bizarres, hystériques, à ce moment là il suffit de compter jusqu’à 3 et leur avoir fait comprendre qu’à 3 c’est la fessée ( sur les fesses, la fessée qui marbre le popotain, la fessée qui leur rappelle qui c’est le gorille, la fessée façon brutalité maîtrisée , la fessée qui attendrit tellement les chairs qu’ensuite , épuisée la dame se laisse prendre toute ....) et, si la première fessée l’a surprise, par la douleur et par le dénouement du noeud gordien qu’elle avait en tête, on peut imaginer que la deuxième était moins inattendue, mais que penser de toutes les suivantes ? Comme si la dame , 1-aimait ça, 2- en redemandait, 3-était trop bête pour se souvenir d’un système aussi simple que de compter jusqu’à 3.
Mais non, elles ne sont pas bêtes à ce point là , ou plutôt si, leur côté bestial, de petite bête fragile comme dit Blanche Gardin à propos des talons . Elles veulent un gorille qui leur dise quoi faire et quoi ne pas faire. Mieux encore, on peut même les fesser en différé, c’est à dire qu’au lieu de baffer la brune, j’aurais compté , et elle aurait rangé la cigarette, ou pas, uniquement par crânerie .... puis la fessée se serait déroulée dans l’intimité.
L’intérêt de la fessée différée c’est qu’on peut la leur donner sans motif, elles en trouvent toujours un. "Bat ta femme tous les matins, si tu ne sais pas pourquoi, elle, elle le sait"
A 55 ans révolus, et avec trop d’expérience des femmes, j’affirme qu’une femme attend d’un homme qu’il soit un menhir, un phare d’Alexandrie, un support, un piédestal à sa féminité, un roc, un pic , un cap inébranlable dans le tumulte de leurs tempêtes hormonales lunaires, un repère
Mesdames, cet homme est juste en dessous de la fine couche sociale que le féminisme a barbouillé, votre gorille est juste là.
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