La seule liberté sérieuse qui vaille est la liberté économique, c’est à dire la liberté des individus et communauté d’individus de pouvoir organiser leur propre survie de manière souveraine et sans interférence. En gros c’est la liberté du paysan libre du Sahel qui cultive son manioc et élève ses chèvres sans que personne ne vienne l’emmerder et lui expliquer comment il doit faire, et que si il n’écoute pas il devra payer à l’Etat des amendes... Sans liberté économique, tout le reste est une fumisterie pour amuser les esclaves ! De l’enfumage intégral ! Débats politiques, liberté d’expression, élections, "libération" des mœurs...tout ceci est du cirque pour divertir et occuper les esclaves en leur donnant un faux sentiment de liberté. La liberté économique est la base de tout, et c’est par ailleurs la condition naturelle du vivant ! Toute créature vivante organise sa survie de manière souveraine.
Tout le génie du système esclavagiste de la modernité c’est d’avoir réussi à persuader la masse de la population à troquer leur souveraineté économique contre confort matériel, sécurité, et temps de loisirs. Maintenant que les gens ont été infantilisés et privés de leurs capacités de production (souveraineté économique), de leurs aptitudes à l’action collective...nous sommes passés à la phase finale du plan : la mise à mort du troupeau.

Répondre à ce message

Si la terre est le monde du diable alors ce monde est totalement déterminé. Mais parfois de très rares hommes nous font entrevoir quelques brèche de liberté ( lumière) au travers des ailes du diable.

Répondre à ce message

Depuis que j’ai découvert la pensée libertarienne - bien loin de notre mentalité étatiste/collectiviste française, y compris de celle des milieux dissidents, et de la pensée holistique pure - je ne me pose plus de grandes questions métaphysiques sur ce concept.

Mon impression aujourd’hui est que hors de la méthode jusnaturaliste, propriétariste et libertarienne, on ne parvient jamais à une doctrine nette et précise à propos de l’idée de liberté. On est toujours plus ou moins dans l’arbitraire et le modulable à l’infini, aux grès des circonstances, par utilitarisme.

Murray Rothbard (qui fut accusé d’être un "self hating jew" et qui alla jusqu’à soutenir publiquement David Duke, soit dit en passant) avait cette formule lapidaire :
"La liberté c’est le droit de faire ce que l’on veut avec ce que l’on a."
Si pour un non-initié cela paraît trop court et même extrêmement fragmentaire voire contre-productif, à la lecture de son ouvrage L’Éthique de la Liberté cela prend tout son sens.

Répondre à ce message

Pour le loup, la liberté, c’est pas de barrières, pas de berger. Pour le mouton, c’est exactement l’inverse.

Répondre à ce message

Surprenant le rap avec la voix de femme.

Répondre à ce message

Encouragements pour Arthur Sapaudia. Une bien belle émission. Bravo.

Concernant la thématique, j’ai peut-être trouvé un absent en la personne de Michel Foucault sur la Surveillance généralisée et notre rapport à la Liberté. Mais il y a déjà beaucoup de beau monde ici. Mention spéciale à Nietzsche, Evola et Jünger.

Sinon, d’un point de vue technique, égaliser un peu le "volume général" serait une bonne idée pour la prochaine émission.

Répondre à ce message

La liberté n’existe pas c’est juste le contre feu de notre aliénation . Chercher à l’expliquer ou à la définir relève soit de la naïveté soit de la complicité .

Répondre à ce message

Excellente émission camarade !
A la réflexion, la seule liberté du quidam contemporain, c’est la liberté de choisir entre de la lessive Ariel ou de la lessive Skip...

Répondre à ce message

Ah ! La liberté ! Relire ou écouter Fernandel dans « La chèvre de Monsieur Seguin « .

Répondre à ce message

Que du bla-bla toujours et encore du bla-bla !

Répondre à ce message