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Grippe A : un vaccin anodin, vraiment ?

La blogueuse Nectar du Net nous propose un tour d’horizon des connaissances sur le vaccin de la Grippe A. On y apprend que les réactions allergiques sont nombreuses dans d’autres pays, que la Pologne l’a refusé, et que les pédiatres conseillent de laisser les enfants s’immuniser face à un virus qui va de toute façon muter.

Une petite synthèse s’impose, c’est vraiment trop le bordel dans les esprits. C’est un peu long, mais j’ai réuni tout ce que j’ai trouvé de sérieux sur le sujet, prenez le temps de vous renseigner aussi avant de prendre une décision. Je suis assaillie de points de vue contradictoires, de parents affolés qui ont fait vacciner leurs enfants, même tout petits, de médecins qui refusent de piquer, d’autres qui insistent pour que je tende le bras, et enfin ceux qui trouvent toute cette excitation ridicule.

Depuis le début de cette pandémie, il y a donc ceux qui dramatisent (remake de la grippe espagnole, on va tous crever), et ceux qui haussent les épaules (la grippe saisonnière serait plus féroce que ce virus de pacotille, tout juste bon à remplir les poches des labos pharmaceutiques). Et beaucoup de gens paumés. Pourquoi ? Tout d’abord parce que cette grippe est très contagieuse mais peu virulente. Plusieurs médecins et pédiatres de mon entourage et au delà trouvent tout ce chahut ridicule, constatant que pour la grande majorité des cas, quelques jours de repos et de paracétamol suffisent pour se remettre sur pieds. D’ailleurs, si je n’avais pas d’enfants je ne me poserais même pas la question.

Ensuite, vous avez pu constater que les français, et eux en particulier, y compris dans la branche médicale, se méfient de ce vaccin. Il est clair que le facteur Roselyne Bachelot aux commandes et son fort taux de crédibilité n’arrangent rien (j’ai retapé trois fois le mot, à chaque fois c’est crétipilité qui sort, allez savoir pourquoi). Mais c’est loin d’être l’unique raison. Il y a de quoi en effet se montrer vigilants, ne pas rentrer dans la psychose tête baissée, et peser le pour et le contre. Il me semble primordial de connaître la composition de ce fameux vaccin et les risques encourus avant d’agir :

• Présence d’adjuvants comme le squalène (destinés à amplifier la réponse immunitaire et a produire plus de vaccins plus rapidement), peu rassurante sachant que cette substance a été mise en accusation dans le syndrome des vétérans de la guerre du Golfe. Il est soupçonné de provoquer des maladies auto-immunes, au cours desquelles l’organisme fabrique des anticorps qui s’attaquent à certains de ses propres tissus et/ou organes et provoquent leur dégénérescence.

• Présence de conservateur contenant du mercure comme le thiomersal, que les labos se voient forcés d’utiliser à cause du conditionnement en flacons multi-doses (pour des raisons de temps et économiques). Pour rappel, ce produit avait été retiré des vaccins dans les années 2000 car il fut suspecté d’être à l’origine de troubles graves comme l’autisme. Et ne parlons même pas de l’aluminium accusé aussi de provoquer la maladie d’Alzheimer.

• Pour gagner du temps, si la firme Baxter a décidé de ne pas utiliser d’adjuvants elle a par contre décidé d’utiliser la culture classique sur œufs embryonnés et d’opter pour des cultures de cellules Vero, provenant de singes. C’est une technologie nouvelle, qui est seulement en cours de tests cliniques.

En ce qui concerne les conseils de l’OMS, je n’ai plus aucune confiance, combien de fois a-t-elle martelé que les ondes des téléphones mobiles et antennes relais ne représentaient pas de danger pour la santé, alors qu’on aurait pu appliquer le principe de précaution bien plus tôt ? Et ça recommence.

Les opérateurs et labos se frottent les mains, et nous on joue encore les cobayes, pendant que les caisses des grosses boîtes se remplissent. Aux Etats-Unis, c’est une version sans squalène qui a été injectée à la population. Pourquoi si cet adjuvant est réellement sans danger ?

Sous prétexte de l’urgence pandémique, les vaccins des différents laboratoires -Glaxo SmithKline (GSK), Novartis, Sanofi-Aventis Pasteur -, n’ont pas subi les tests complets sur des participants représentatifs des groupes visés par la vaccination, tests qui sont normalement obligatoires avant une commercialisation et une utilisation massive d’un vaccin. On ignore donc, officiellement, leurs effets secondaires potentiels sur ces groupes, et notamment sur les femmes enceintes et les enfants.

Et surtout, le plus flippant est qu’en échange d’une demande de livraison urgente des vaccins sans même avoir pu mener les essais cliniques à leur terme, les laboratoires ont obtenu de l’Etat la levée exceptionnelle de leur responsabilité juridique en cas d’effet secondaire inattendu. Et bien, ils sont sûrs d’eux les gars, c’est rassurant. Donc ce sera pour notre pomme en cas de pépin, comme d’hab.

En outre, les enfants se tapent chaque année une grippe, qui passe plus ou moins inaperçue chez eux, sans qu’ils y laissent leur peau. C’est la manière la plus naturelle de construire son immunité. Évidemment, on peut toujours aller chercher dans les hôpitaux et lister les complications et personnes en réanimation pour écouler les stocks.

Certains médecins vous diront ainsi que c’est un nouveau virus, susceptible de devenir plus virulent, et qu’on ignore encore comment des personnes même en bonne santé peuvent réagir. Il faut croire qu’elles s’en sortent pas trop mal, mais on entend aussi parler de poumons rapidement et gravement touchés sans que rien ne le laisse présager. C’est principalement ce risque, et c’est compréhensible, qui pousse les gens à se faire injecter un vaccin à la composition douteuse. Qui je vous le rappelle, comme tout vaccin anti-grippe, ne fonctionne pas systématiquement, ce serait de l’ordre de 50%. Par contre les saloperies tu les gardes bien dans le corps ensuite, et qui sait les dégâts qu’elles vont y causer ?

En conclusion, deux cas de figure se présentent : Soit on admet que le virus pandémique est stable, et donc bénin, et que vacciner les populations, en particulier les enfants, avec un vaccin non testé, leur fait courir beaucoup plus de risques que cela ne peut leur apporter de bénéfices.

Soit le virus mute et le vaccin n’est plus efficace, enfin on vous dira que si.

La vaccination ne se justifierait donc que pour des groupes d’individus pour lesquels le risque immédiat de complication grave et de mortalité serait élevé.

Quelques chiffres au 12 novembre : aux Etats-Unis, depuis le début de la pandémie, 4000 personnes sont mortes et 22 millions ont été touchées, ce qui fait un trépas sur 5000, tout comme en Grande-Bretagne. Et on retrouve des pathologies sous-jacentes dans 90% des décès documentés. Ce qui fait tout de même très peu de personnes en bonne santé qui y laissent leur peau.

Et puis, il faut savoir qu’une personne souhaitant se protéger de la grippe A se vaccinera obligatoirement tous les ans. Car comme la grippe classique, ce virus devrait muter progressivement. Si on accepte de se faire une bonne grippe cette année (ou de passer entre les mailles), on sera naturellement protégé ensuite, et de manière bien plus efficace. On y aura été exposé et notre corps aura certaines défenses pour y faire face de mieux en mieux.

Cependant, je ne peux être insensible à cette presse qui étale les morts, les cas graves hospitalisés, ces enfants qui n’arrivent plus à respirer en soins intensifs, et insistant sur le fait que même des jeunes en bonne santé peuvent y passer, et très vite hein, boum, en 24 heures tes poumons sont foutus et t’es plus là. Alors que t’aurais pu te faire vacciner espèce d’andouille au lieu d’écrire des billets pour casser la réputation des gentils labos qui ne nous veulent que du bien d’abord, et sur ces vaccins sans danger parce que sinon, tu crois vraiment qu’ils les injecteraient à des enfants, et inciteraient tout le monde à tendre le bras ?

Vous l’aurez compris, j’ai mené l’enquête, interrogé plusieurs médecins et pédiatres, beaucoup lu la presse mais aussi plus loin. Le résultat est que je continue à penser que nous vacciner est imprudent alors qu’on manque de recul sur toutes ces substances, et que le virus est bénin pour la grande majorité. Pour d’autres, l’imprudence est justement ce genre de déclaration, je le conçois.

Aussi, je pense à mes enfants, et je culpabilise. Et si l’en d’entre eux a des problèmes, alors que j’ai fait le choix de refuser le vaccin, je m’en voudrais terriblement. Et je précise que cela n’engage que moi, évidemment. J’essaye toutefois de ne pas m’inquiéter outre mesure, on a tous connus la grippe, notre corps est censé résister, nos enfants aussi. Et puis on a des antibiotiques et plein de matos qui n’existaient pas en 1918. Une telle hécatombe ne se reproduira donc pas. Sans compter que l’épidémie a déjà commencé...

En outre, on a tous été malades chez moi avec symptômes grippaux en juin, alors me doper au squalène et au mercure pour rien, ça m’excite pas trop.