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La pornographie, un business d’accoutumance

Petit rappel : le Viagra est un produit des laboratoires Pfizer ; depuis son lancement en 1998, il est décrit comme une « machine à cash » pour la multinationale.

 

Retrouvez l’ouvrage Sociologie du hardeur chez Kontre Kulture

 

À revoir : Du branleur au hardeur : la pornocratisation des esprits (Lounès Darbois et Pierre de Brague)

 

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27 Commentaires

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  • #2795085
    Le 26 août 2021 à 13:20 par Cyprien
    La pornographie, un business d’accoutumance

    Pourquoi un tel déferlement de la pornographie ?

    C’est pourtant très facile à comprendre :

    Le "pouvoir profond " a besoin de la porniographie pour ASSERVIR LES PEUPLES

    "On asservit plus facilement les peuples avec la pornographie qu’avec des
    MIRADORS "

    Soljenitsyne

    https://www.linternaute.fr/citation...

     

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  • #2795093
    Le 26 août 2021 à 13:37 par Vysočanská
    La pornographie, un business d’accoutumance

    Le porno dont la consommation est généralisée, est l’un des piliers d’une nouvelle culture populaire, totalement en contradiction avec l’anti-virilisme et le puritanisme de la morale d’Etat, mais qui est aussi l’agent dissolvant de ce qui reste de la « common decency » d’Orwell, sans parler de la Tradition.

    Cette culture exprime une hypervirilité épaisse et fortement mise en scène, très influencée par ce qu’il y a de pire dans les populations allogènes, mais qui a son revers dans un individualisme exacerbé et un dévoiement moral qui ont sans doute un intérêt d’un point de vue politique. Et ce que véhicule le porno est une énorme incitation en faveur d’une telle façon d’être.

    C’est Simone Weil (celle qui devrait être au Panthéon, pas celle qui y est) qui écrivait que l’avilissement moral détruit toutes les fibres qui soutiennent l’indignation et la révolte légitime contre l’injustice. Et de fait on trouve aujourd’hui quantité de jeunes gens sans illusions aucunes sur le mensonge de la fable démocratique et droits-de-l’hommiste, mais en qui ce constat n’éveille aucune révolte, et qui ont plutôt pour objectif de profiter à fond d’un monde vérolé, du Balzac 2.0 et massifié à l’extrême, si l’on veut.

     

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    • #2795390
      Le Août 2021 à 20:28 par Maurice
      La pornographie, un business d’accoutumance

      Cette évocation de George ORWELL m’interpelle.

      De mémoire dans 1984, le parti est puritain pour ses membres mais utilise la pornographie pour soumettre les prolétaires.

      Julia est membre de la ligue anti-sexe des juniors. Quand Winston et Julia sont arrêtés ; il leur est dit qu’ils ont été photographiés alors qu’ils avaient des relations sexuelles. Ces photos seront utilisées afin d’illustrer des livres pornographiques destinés aux prolétaires.

       
    • #2795600
      Le Août 2021 à 05:03 par Interdit d’interdire l’interdiction
      La pornographie, un business d’accoutumance

      « On asservit les peuples plus facilement avec la pornographie qu’avec des miradors », disait Soljenitsyne

       
  • #2795115
    Le 26 août 2021 à 14:19 par anonymous19
    La pornographie, un business d’accoutumance

    On remarque une forte évolution de l’usage du web puisque en 2000, le porno représentait 50% du trafic internet dans le monde.

     

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  • #2795159
    Le 26 août 2021 à 15:17 par Robert Leray
    La pornographie, un business d’accoutumance

    Absolument. Il faut voir le TED Talk du biologiste Gary Wilson, "The great porn experiment". Pour les non-anglophones, un sous titrage est disponible. Ce sont les mêmes mécanismes neurochimiques que la toxicomanie qui sont en jeu.

     

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  • #2795291
    Le 26 août 2021 à 17:54 par Nestordamus
    La pornographie, un business d’accoutumance

    Le nombre de femmes qui consomment de la pornographie augmente aussi avec chaque nouvelle génération et c’est devenu leur référence principale en ce qui concerne leur éducation sexuelle.
    Pour la plupart d’entre elles, c’est à travers la pornographie qu’elles apprennent ce que les hommes attendent d’elles au lit.

    Beaucoup de femmes hétérosexuelles se tournent cependant vers la pornographie lesbienne car même si l’acte saphique y semble idéalisé, essentiellement pour un public masculin, celle-ci se concentre néanmoins sur le plaisir féminin.
    S’identifier aux personnages sur l’écran se fait donc plus naturellement pour ces femmes.

     

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    • #2795536
      Le Août 2021 à 00:16 par dav
      La pornographie, un business d’accoutumance

      certaines feraient bien d’etre un peu inspirees

      les nombre d’etoiles de mer quon se tappe c’est plutot le sentiment inverse

      il me semble que la generation precedente savait se faire desirer plus que ca, lingerie et tout le toutim

       
    • #2795712
      Le Août 2021 à 09:00 par Temet Nosce
      La pornographie, un business d’accoutumance

      Avec respect, je ne suis pas d’accord, la sexualité lesbienne est un vide absolu (la penetration ne peut pas se faire entre les deux organes genitaux, qu’avec des doigts, des objets, etc) et donc dans la psyche feminine ca reste un acte prude, sans consequences. Les lesbiennes, contrairement aux gays/trans et cies, ne sont pas réputées pour leur facilité a se transmettre des MTS...les jeunes filles qui restent, car la nature le veut, inconsciemment protectrice de leur sexualité (elles peuvent tomber enceintes/malades), sont donc souvent attirées par ce type de relations sans conséquences véritables, au demeurant affectives/sexuelles, mais qui les éloignent des mâles modernes perçus comme des prédateurs, des perdants, des ennemis (car dépeints ainsi depuis 20-30 ans par les médias de masse). C’est pourquoi de nos jours les couples lesbiens dérangent si peu, on ne les prend pas au sérieux...c’est stérile en somme, sans danger. D’ailleurs ce sont des théoriciennes lesbiennes qui se sont le plus attaqués aux trans, comprenant que ces fausses femmes pourraient se declarer lesbienne mais du coup transmettre des maladies, les faire tomber enceintes, etc. Et ainsi risquer de briser le caractere "prude" de cette relation autrement très stérile.

      D’ailleurs de nombreuses actrices pornos ne font que du solo et des scenes lesbiennes, parce que ces actes sont et meme paraissent sans consequences à leurs yeux et aux yeux du public. Un peu comme la fille payée pour faire des telephones ou chats erotiques croit qu’elle n’est pas une prostituée puisqu’elle n’a pas de contacts physiques avec ses clients.

       
    • #2796762
      Le Août 2021 à 18:01 par Nestordamus
      La pornographie, un business d’accoutumance

      @ Temet Nosce

      Merci pour votre réponse, cependant je ne vois pas quel est le désaccord.

      Je ne dis pas que le sexe entre femmes soit plus ou moins agréable pour celles-ci qu’entre hommes et femmes, je dis juste qu’il y a une augmentation de la consommation de pornographie lesbienne de la part des femmes hétérosexuelles et j’en donne une raison.

      Par contre, pour revenir sur vos remarques, d’une part la sexualité féminine est plus riche et plus subtile que la sexualité masculine. La pénétration n’y tient pas la même importance.
      D’autre part, alors que la bisexualité chez les hommes doit être assez rare, la plupart des femmes sont bisexuelles, ou au moins potentiellement bisexuelles. Mais à aucun moment dans mon premier commentaire je ne parlais des typiques lesbiennes qui s’en revendiquent et à l’allure de garçons manqués.

       
  • #2795521
    Le 26 août 2021 à 23:39 par SamWang
    La pornographie, un business d’accoutumance

    [ Problème technique rencontré sur la première vidéo (censure déguisée ?) ]

    - Nouveauté jamais vécue jusqu’alors avec une vidéo Youtube : dans une premier temps — qui a duré plusieurs longues minutes — la première vidéo (1) ne démarrait pas.

    - Pour préciser, l’icône d’arc de cercle tournait sur lui-même sans fin, indiquant un chargement qui n’avait en fait pas lieu. Je pouvais juste visionner les vignettes miniatures en déplaçant le pointeur souris sur la ligne de temps.

    - Ce problème concernait aussi bien la vidéo embarquée dans la présente page du site E&R que la même vidéo présentée dans sa page dédiée sur Youtube.

    - J’ai bien vérifié que plusieurs autres vidéo Youtube démarraient normalement dans ma session en cours.

    - l’hypothèse d’un traitement post-publication de la vidéo incriminée qui pourrait être opéré par Youtube — typiquement pour optimiser le taux de compression des images et réduire la taille de la vidéo — me semble très peu probable étant données la date de publication de la vidéo (23 août 2021) et les quasi 4500 vues comptabilisées par Youtube à l’instant où je rédige.

    - J’utilise un navigateur Firefox 64 bits récent (je passe les autres détails techniques).

    - Au bout de quelques longues minutes (sans avoir relancé Firefox ni même sans avoir rechargé les pages web), j’ai observé que la vidéo pouvait enfin être démarrée (aussi bien celle embarquée dans la présente page que celle présentée dans sa page dédiée sur Youtube).

    - J’envisage que ce puisse être une nouvelle forme de censure déguisée.

    (1) il s’agit de la première vidéo parmi les deux présentées dans cet article, c’est à dire celle titrée « Porno : un business d’accoutumance ? », durée 4:05, publiée le 23 août 2021 sur la chaîne Youtube Les dessous de l’oligarchie.

     

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  • #2795671
    Le 27 août 2021 à 07:49 par Ed
    La pornographie, un business d’accoutumance

    C’est sûr que les INTERDITS RELIGIEUX favorisent et facilitent la pédagogie parentale sur les questions sexuelles, tout le monde sait ça mdr

    Bref, c’était quand même mieux quand les orgies étaient des privilèges établis et réservés à la noblesse ;)

     

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  • #2795700
    Le 27 août 2021 à 08:38 par Temet Nosce
    La pornographie, un business d’accoutumance

    Le problème de la pornographie n’est plus vraiment la pornographie elle-meme, dorénavant banalisée sinon sacralisée dans nos sociétés, mais plutôt son mode de pensée (post)moderne, axé sur la violence et le mépris d’autrui, qui s’est propagé partout dans la culture occidentale, dans les series, les télérealités, les émissions de télé, etc. et qui contribue à détruire la famille et l’équilibre psychique et affectif des occidentaux de tous les âges et genres imaginables.

    Pour comprendre ce changement de paradigme, il suffit de regarder un film pornographique des années 70, avec des gens a peu pres normaux qui font plus l’amour qu’ils ne baisent et ou rarement la femme est traité comme pur objet sans âme ...et comparez ce type de films à ce que vous pouvez voir aujourd’hui en plein après-midi à la télé.

    Nos medias sont, au sens propre du terme, plus pornographiques qu’un film adulte des années 70. La grande différence selon moi est la violence et le mépris que les pornographes (QUI sont-ils ???) ont su associer à la sexualité et qui éloignent les âmes des acteurs à mesure qu’ils se rapprochent physiquement : étranglement, bukkake, vomissements, insultes, sodomies, insultes perpetuelles, lechage de c**...Les adolescents finissent par croire que le but des rapports avec les femmes est de traiter celles-ci comme des receptacles, des objets destinés à assouvir une pulsion (et non plus un désir, ni même un besoin), et les adolescentes croient que le rôle de la femme est d’exciter sans arrêt les hommes (et que ce sera la faute de l’homme de toutes façons), de les tromper sans cesse (le mensonge étant la méthode principale de manipulation pour les êtres faibles/médiocres), pensant qu’un onlyfans est signe de réussite sociale et qu’être un objet sexuel est le meilleur des statuts disponibles pour la femme. Apres ni putes ni soumises, le credo feministo-liberal est plutot : putes et soumises (et pour tous les ’’genres’’).

     

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  • #2796287
    Le 27 août 2021 à 21:27 par jean louis
    La pornographie, un business d’accoutumance

    A mon sens, une radio comme skyrock est bien plus obscène et dégueulasse encore que n’importe quel contenu pornographique, même le plus trash qui soit.
    La réalité de la société d’aujourd’hui dépasse la fiction.
    Il suffit d’entendre les histoires des jeunes, la violence de cette dimension sexuelle qui structure maintenant tous les rapports sociaux et ce à tous les ages de la vie (apprendre par exemple au détour d’une conversation que telle mamie paye pour se faire bourriquer à domicile par des jeunes blacks de cité rencontrés sur internet), pour trouver finalement très sage n’importe quelle actrice porno.
    Le système a laissé à la jeunesse un environnement complètement délabré, dont le seul horizon est le sexe, la thune, le rap, le foot, l’alcool et la drogue.
    Le porno n’est qu’une manifestation parmi bien d’autres, et pas la pire hélas, de la décrépitude de ce qu’il reste de la société.

     

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  • #2796390
    Le 28 août 2021 à 06:09 par sankara
    La pornographie, un business d’accoutumance

    Grande pauvreté des commentaires...
    L’industrie pornographique fait partie du plan du Great Reset pour saccager l’intimité des couples et les enfermer dans la solitude. On demande aux femmes d’être à la fois "mon corps m’appartient, j’en fais ce que je veux", et d’être des serpillères...
    Notre corps ne nous appartient pas, pas plus que la terre ne nous appartient...Même la Bible le dit : si nous n’y pratiquons pas la justice la terre vomira ses habitants.
    Il n’y a pas les prostituées et les autres. Un homme doit respecter la part du féminin, même si la femme, trop souvent violée dans son enfance, a perdu le respect d’elle-même. Homme ou femme nous sommes des êtres doués de parole et la vraie semence de vie passe par la parole.
    C’es ce que je pense avoir transmis à mon fils...
    Je ne jette pas la pierre aux hommes, eux-mêmes ont bien du mal à retrouver leur dignité, trop gravement bafouée par les lucifériens.

     

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