@ gelindo
Que venez-vous faire ici à la fin ? Après avoir insulté les Italiens, fait l’éloge d’auteurs anglo-saxons sur une page dédiée à l’illustre Céline, voici que vous la ramenez avec cette histoire de "passé colonial" dont vous ne semblez pas être guéri et qui n’a rien à voir ni avec La France ni les Français.
Pour votre gouverne, La France est morte le 21 Janvier 1793, cette tragédie faisant suite à un coup d’Etat quelques années plus tôt et qui allait installer la république judéo-maçonnique que nous subissons encore à ce jour.
Qui êtes-vous pour venir distribuer vos bons et mauvais points aux héritiers de la plus grande nation du monde et qui a incarné par le passé le véritable humanisme de l’Evangile ? Ne savez-vous pas que le projet français était universel et assimilationniste ?
Votre "discrimination positive" (je n’aborderai pas la vacuité sémantique de la formule) qui voudrait qu’un noir soit choisi pour cette unique raison est la forme de racisme la plus perverse que l’on puisse imaginer, soyez-en certain !
Non, je ne choisirai jamais (discriminer, c’est choisir, désolé) de faire l’éloge d’un médiocre, quelle que soit son origine ; se revendiquer d’une telle faillite intellectuelle est stupide et mortifère !
Que cela vous plaise ou non, la France est une terre blanche et catholique où l’accident statistique qui conduirait un noir au pouvoir suprême est toujours possible (là, je vous renvoie à ce que j’ai écrit plus haut) mais cela tiendrait uniquement au fait que cette personne serait la meilleure parmi nous... et elle serait de plus en parfait accord avec mon propos, navré de vous le dire !
J’aimerais bien vous entendre aussi sur la supériorité présupposée de l’homme noir. Expliquez-moi comment l’homme blanc a su aussi facilement coloniser l’Afrique noire par la force d’abord puis par sa technologie maintenant ? Expliquez-moi pourquoi les sociétés traditionnelles subsahariennes qui étaient parfaitement organisées en tribus et villages où chaque personne était parfaitement à sa place se sont montrées incapables de fonctionner à l’échelle de la Cité ou de la Nation ? N’est-ce pas justement parce que l’homme blanc s’est mieux approprié le fait politique de par sa pensée complexe et structurée que l’Histoire a pris cette tournure ?
En clair, vous me semblez ne pas voir les merveilles que recèlent les sociétés traditionnelles africaines mais développez un complexe vous intimant de singer ce que vous ne serez jamais, quelle misère !