Egalité et Réconciliation
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Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

Par Dean Henderson

Les quatre cavaliers [1] du système bancaire américain (Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup and Wells Fargo) possèdent les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays et d’autres anciens pontes [2] européens de l’argent. Mais leur monopole sur l’économie globale ne s’arrête pas aux limites des champs pétroliers.

D’après les déclarations d’entreprise 10K enregistrées avec la SEC (NdT : la commission des cotations boursières, le « shérif » de Wall Street, ou ce qui devrait l’être), les quatre cavaliers de la banque sont parmi les 10 actionnaires majeurs de pratiquement toutes les entreprises figurant dans le gotha du Fortune 500 [3].

Alors qui sont donc les actionnaires de ces banques centralisant l’argent ? Cette information est gardée de manière plus ferme. Mes demandes aux agences régulatrices bancaires concernant la question de savoir qui possède les actions des « top 25 » compagnies américaines tenant les actions des banques ont initialement reçu un status couvert par le Freedom of Information Act (NDT : loi sur la liberté de l’information, qui aux États-Unis prévoit d’empêcher le secret de l’information), avant d’être finalement refusées sous couvert de raisons de « sécurité nationale ». Ceci est très ironique, sachant que bon nombre d’actionnaires résident en Europe.

Un des monument de la richesse de l’oligarchie globale qui possède ces compagnies de holding bancaire est la US Trust Corporation, fondée en 1853 et maintenant propriété de Bank of America. Un des récents directeurs de l’US Trust Corporation et administrateur honoraire était Walter Rothschild. D’autres directeurs furent Daniel Davison de JP Morgan Chase, Richard Tucker d’Exxon Mobil, Daniel Roberts de Citigroup et Marshall Schwartz de Morgan Stanley [4].

J.W. McCalister, un membre éminent de l’industrie du pétrole avec des entrées dans la maison des Saouds, écrivit dans le Grim Reaper qu’il a obtenu des informations de banquiers saoudiens, qui citaient le fait que 80 % de la banque fédérale de New York, de loin la plus puissante branche de la Réserve fédérale, étaient détenus par juste huit familles, dont quatre résident aux États-Unis. Ce sont les familles Goldman Sachs, Rockefeller, Lehman et Kuhn-Loeb de New York, les Rothschild de Paris et de Londres, les Warburg de Hambourg, les Lazard de Paris et les Israël Moses Seifs de Rome.

CPA Thomas D. Schauf confirme les dires de McCallister, ajoutant que dix banques contrôlent les douze branches de la Réserve fédérale. Il nomme N. M Rothschild de Londres, Rotshschild Bank de Berlin, la banque Warburg de Hambourg, la banque Warburg d’Amsterdam, Lehman Brothers de New York, Lazard Frères de Paris, la banque Kuhn-Loeb de New York, la banque Israel Moses Seif de Rome, Goldman Sachs de New York et la banque JP Morgan Chase de New York. Schauf cite également William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob Schiff et James Stillman comme étant les individus qui ont le plus d’actions à tire individuel dans la Réserve fédérale [5]. Les Schiffs sont étroitement liés à Kuhn-Loeb, les Stillmans de Citigroup, qui se marrièrent dans le clan Rockefeller au début du siècle.

Eustace Mullins arriva aux même conclusions dans son livre Les Secrets de la réserve fédérale, dans lequel il montre des diagrammes connectant la Fed et ses banques membres avec les familles Rothschild, Warburg, Rockefeller et autres [6]. Le contrôle exercé par ces familles sur l’économie globale ne peut pas être exagéré et est couvert volontairement du sceau du secret. Leur bras médiatique est prompt à discréditer toute information exposant ce cartel de banques privées comme étant une « théorie du complot ». Pourtant, les faits demeurent.

La maison Morgan

La banque de la Réserve fédérale est née en 1913, l’année où mourut J. Pierpont Morgan et où la fondation Rockefeller fut créée. La maison Morgan présidait la finance américaine depuis le coin de Wall Street et Broad, agissant déjà en quasi Banque centrale américaine depuis 1838, quand Georges Peabody la fonda à Londres.

Peabody était un partenaire d’affaires des Rothschild. En 1952, l’enquêteur sur le Fed Eustace Mulins émit la supposition que les Morgan n’étaient de fait que les agents de Rothschild. Mullins écrivit que les Rothschilds « préféraient opérer de manière anonyme aux États-Unis derrière la façade de la JP Morgan and co [7] ». L’écrivain Gabriel Kolko écrivit : « Les activités des Morgan en 1895-96 de vente des bons du trésor-or américains en Europe étaient basées sur une alliance avec la maison Rothschild [8]. »

La pieuvre financière Morgan enroula rapidement ses tentacules autour du monde. Morgan Grenfell opérait depuis Londres. Morgan & Cie depuis Paris. Les cousins Lambert des Rothschild montèrent Drexel & Cie à Philadelphie.

La maison des Morgan étaient impliquée avec les Astors, DuPonts, Guggenheims, Vanderbilts et les Rockefellers. Elle finança le lancement de AT&T, de General Motors, General Electric et DuPont. Tout comme les banques de Londres Rothschild et Barings, Morgan devint partie prenante dans la structure de bon nombre de pays.

Dès 1890, la maison Morgan prêtait à la banque centrale d’Égypte, finançait les chemins de fer russes, renflouait les obligations du gouvernement provincial du Brésil et finançait des travaux publics argentins. Une récession économique en 1893 renforça la puissance financière de Morgan. Cette année là, Morgan sauva les États-Unis d’une panique bancaire, formant un groupement pour remonter les réserves fédérales avec un envoi d’une valeur de 62 millions de dollars d’or des Rothschild [9].

Morgan fut la force motrice derrière l’expansion occidentale des États-Unis, finançant et contrôlant les chemins de fer qui avançaient vers l’Ouest. En 1879 les chemins de fer centraux de New York, financés par Cornelius Vanderbilt-Morgan donnèrent des prix préférentiels à John D. Rockefeller pour son monopole pétrolier de la Standard Oil, scellant ainsi la relation Rockefeller/Morgan.

La maison Morgan alors tombe sous le contrôle familial Rothschild et Rockefeller. Un titre du New York Herald clame : « Les géants du chemin de fer forment un trust gigantesque. » J. Pierpont Morgan, qui déclara un jour « la compétition est un pêché », se réjouissait maintenant : « Pensez un peu que tout le trafic ferroviaire en compétition à l’ouest de St Louis est placé sous le contrôle d’une trentaine d’hommes [10]. » Morgan et le banquier de Kuhn, Loeb Edward Harriman obtenaient un monopole sur les chemins de fer, tandis que les dynasties banquières Lehman, Goldman Sachs et Lazard rejoignaient les Rockefeller pour contrôler la base industrielle états-unienne [11].

En 1903, les huit familles établirent le Banker’s Trust. Benjamin Strong du même organisme fut le premier gouverneur de la Banque de réserve fédérale de New York. La création de la Réserve fédérale en 1913 fusionna la puissance des huit familles à la puissance militaire et diplomatique du gouvernement américain. Si leurs prêts internationaux n’étaient pas repayés, les oligarques pouvaient maintenant déployer les fusiliers marins américains (NdT : traduction la plus proche pour « US Marines ») pour collecter les dettes. Morgan, Chase et Citibank formèrent une alliance internationale syndiquée de prêteurs sur gages.

La maison Morgan était dans les petits papiers de la maison Windsor britannique et de la maison italienne de Savoie. Les Kuhn-Loeb, Warburg, Lehman, Lazards, Israël Moses Seif et Goldman Sachs étaient également très proches des maisons royales européennes. Dès 1895, Morgan contrôlait le flot d’or qui entrait et sortait des États-Unis. La première vague des fusions américaines étaient dans sa prime enfance et était promue par les banquiers. En 1897, il y eut 69 fusions d’entreprises industrielles. En 1899, il y en eut 1 200. En 1904, John Moody, le fondateur de Moody’s Investor Services, dit qu’il était alors impossible de séparer les intérêts des Rockefeller et des Morgan [12].

La méfiance du public envers l’alliance se propagea. Beaucoup les considéraient comme des traitres à travailler avec le vieux système financier européen. La Standard Oil de Rockefeller, les aciers américains de Andrew Carnegie et les chemins de fer de Edward Harriman étaient tous financés par le banquier Jacob Schiff de Kuhn-Loeb, qui lui travaillait en relations étroites avec les Rothschild d’Europe.

Plusieurs États de l’ouest des États-Unis bannirent les banquiers. Le populiste William Jennings Bryan fut trois fois le candidat présidentiel démocrate de 1896 à 1908. Le thème central de sa campagne anti-impérialiste fut de dire aux citoyens que les États-Unis étaient en train de tomber dans le piège de « l’esclavage financier au capital britannique ». Teddy Roosevelt battit Bryan en 1908, mais fut forcé à la suite de ce feu de brousse anti-impérialiste de faire passer le décret antitrust. Il s’attaqua ensuite au trust de la la Standard Oil.

En 1912 eurent lieu les auditions Pujo, qui s’occupèrent des concentrations de pouvoir à Wall Street. La même année, Mme Harriman vendit ses parts substantielles de la banque du New York Guaranty Trust à JP Morgan, créant ainsi Morgan Guaranty Trust. Le juge Louis Brandeis convainquit le président Woodrow Wilson de terminer les situations d’inter-relations de comités directeurs. La loi anti-trust Clayton fut passée en 1914.

Jack Morgan, le fils et successeur de J. Piermont, répliqua en demandant aux clients de Morgan Remington et Winchester d’augmenter la production d’armement. Il décida que les États-Unis devaient entrer dans la Première Guerre mondiale. Pressé par la fondation Carnegie et d’autres instances de l’oligarchie, Wilson céda. Comme Charles Tansill écrivit dans L’Amérique s’en va en guerre : « Même bien avant que la poudre ne parle, la firme française des frères Rothschild câbla à Morgan and co à New York, suggérant le flottement d’un prêt de 100 millions de dollars, dont une partie substantielle serait laissée aux États-Unis pour payer les dépenses françaises pour des achats de produits américains. »

La maison Morgan finança la moitié de l’effort de guerre américain, tout en recevant des commissions pour avoir introduit des sous-traitants comme General Electric, DuPont, les aciers Américain, Kennecott et ASARCO. Tous étaient des clients de Morgan. Morgan finança également la guerre des Boers britannique en Afrique du Sud et la guerre franco-prussienne. La conférence de la Paix de Paris en 1919 fut présidée par Morgan, qui mena les efforts de reconstruction à la fois de l’Allemagne et des alliés [13].

Dans les années 1930, le populisme refit surface après que Goldman Sachs, Lehman et autres banques eurent profité du crash de 1929 [14]. Le président du comité bancaire du parlement américain Luois McFadden (démocrate-New York) dit de la grande dépression : « Ce ne fut pas un accident. Ce fut planifié… Les banquiers internationaux pensèrent à créer une situation de désespoir afin de pouvoir en émerger comme nos dirigeants absolus. »

Le sénateur Gerald Nye (démocrate-Dakota du Nord) présida une enquête sur les munitions en 1936. Nye conclua que la maison Morgan précipita les États-Unis dans la Première Guerre mondiale pour protéger des emprunts et pour créer un essor de l’industrie de l’armement. Nye produisit plus tard un document dont le titre était « La Prochaine Guerre », qui se référait cyniquement au « truc de le vielle déesse démocratie », par lequel le Japon pourrait-être dupé dans une seconde guerre mondiale. En 1937, le secrétaire à l’Intérieur Harold Ickes, mit en garde contre « l’influence des soixante familles américaines ». L’historien Ferdinand Lundberg, plus tard, écrivit un livre ayant le même titre. Le juge de la cour suprême de justice William O. Douglas décria « l’influence de Morgan… la plus pernicieuse dans la finance et l’industrie aujourd’hui ».

Jack Morgan répondit en rapprochant les États-Unis de la Seconde Guerre mondiale. Morgan avait des relations très étroites avec les familles Iwasaki et Dan, les clans les plus riches du Japon, qui possédaient Mitsubishi et Mitsui respectivement, depuis que ces deux compagnies émergèrent des shogunats du XVIIème siècle. Quand le Japon envahit la Manchourie et massacra les paysans de Nankin, Morgan minimisa l’incident. Morgan avait aussi d’étroites relations avec le fasciste italien Benito Mussolini, tandis que le nazi allemand Dr. Hjalmer Schacht était la liaison entre la banque Morgan et l’Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale. Après la guerre, les représentants de Morgan rentrèrent Schacht à la Bank for International Settlements (BIS) à Bâle en Suisse [15].

La maison Rockefeller

La BIS est la banque la plus puissante du monde, une banque centrale globale pour les huit familles qui contrôlent les banques centrales de presque toutes les nations occidentales et des pays en voie de développement. Le premier président de la BIS fut le banquier de Rockefeller, Gates McGarrah, un officiel de la Chase Manhattan Bank et de la Réserve fédérale. McGarrah était le grand-père de l’ex-directeur de la CIA Richard Helms. Les Rockefeller, tout comme les Morgan, avaient des relations très étroites avec Londres. David Icke écrit dans Les Enfants de la matrice que les Rockefeller et les Morgan n’étaient que des « prête-noms » pour les Rothschild [16].

La BIS est une propriété de la Réserve fédérale, de la Banque d’Angleterre, de la Banque d’Italie, de la Banque du Canada, de la Banque de Suisse, de la Banque de Hollande, de la Banque fédérale allemande et de la Banque de France..

L’historien Carroll Quigley écrivit dans son épique livre Tragédie et espoir que la BIS faisait partie d’un plan, celui de « créer un système mondial de contrôle financier dans des mains privées et capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie du monde dans son entièreté… un contrôle s’exerçant de manière féodale par les banques centrales du monde agissant de concert à travers des accords secrets ». Le gouvernement américain avait une méfiance historique à l’égard de la BIS, et fit pression sans succès pour qu’elle soit abandonnée en 1945 à la conférence de Bretton-Woods. Au contraire, la puissance des huit familles fut exacerbée avec la création par la conférence de Bretton-Woods du FMI et de la Banque mondiale. Le Banque fédérale américaine ne prit des parts à la BIS qu’en septembre 1994 [17].

La BIS détient au moins 10 % des fonds de réserve d’au moins 80 banques centrales au monde, du FMI et autres institutions multilatérales. Elle sert d’agent financier pour les accords internationaux, collecte les informations sur l’économie globale et sert de prêteur ou de dernier rempart pour éviter un effondrement financier global général. La BIS fait la promotion d’un agenda de fascisme monopolistique capitaliste. Elle donna un prêt de soudure à la Hongrie dans les années 1990 pour assurer la privatisation de l’économie de ce pays. Elle servit de canal de financement d’Adolf Hitler par les huit familles, emmenées par Henry Schroeder des Warburgs et la banque Mendelsohn d’Amsterdam. Un certain nombre de chercheurs supposent que la BIS est en fait le centre du blanchiment d’argent du trafic de drogue global [18].

Ce n’est pas une coïncidence si la BIS a son QG en Suisse, la cache financière préférée pour la richesse de l’aristocratie globale et quartier général de la loge franc-maçonne P2 italienne Alpina et Nazi International. D’autres institutions contrôlées par les huit familles : le Forum économique mondial (Davos, NdT), la Conférence monétaire internationale et l’Organisation mondiale du commerce (OMC).

Bretton Woods fut une aubaine pour les huit familles. Le FMI et la banque mondiale étaient centrales à ce « nouvel ordre mondial ». En 1944, les premiers bons de la Banque mondiale furent amenés par Morgan Stanley et la First Boston. La famille française Lazard devint plus impliquée dans les intérêts de la maison Morgan. Lazard Frères, la banque d’investissement la plus importante de France, est la propriété de Lazard et des familles David-Weill, vieille tradition bancaire de Gênes représentée par Michelle Davive. Un directeur récent et PDG de Citigroup fut Sanford Weill.

En 1968, Morgan Guaranty lança Euro-Clear, une banque basée à Bruxelles spécialisée dans le système de négoce des sécurités Eurodollar. Ce fut la première aventure automatique. Certains appelèrent Euro-Clear « la bête ». Bruxelles sert de QG pour la nouvelle Banque centrale européenne (BCE) et pour l’OTAN. En 1973, les officiels de Morgan se rencontrèrent secrètement aux Bermudes pour opérer la résurrection illégale de la vieille maison Morgan, 20 ans avant que la loi Glass-Steagal fut abandonnée. Morgan et les Rockefeller donnèrent l’apport financier de départ pour Merrill Lynch, la propulsant dans le top 5 des banques d’investissement américaines. Merrill Lynch est maintenant une partie de Bank of America.

John D. Rockefeller utilisa sa richesse du pétrole pour acquérir Equitable Trust, qui avait absorbé plusieurs grandes banques et entreprises dans les années 1920. La grande dépression de 1929 aida Rockefeller à consolider sa puissance. Sa banque Chase, fusionna avec la banque de Manhattan de Kuhn-Loeb pour former la banque Chase Manhattan, cimentant ainsi une relation familiale de longue durée. Les Kuhn-Loeb avaient financé, avec les Rothschild, la quête de Rockefeller pour devenir le roi du pétrole. La banque National City Bank de Cleveland donna des fonds à John D. Rockefeller, dont il avait besoin pour s’embarquer dans le monopole de l’industrie pétrolière américaine. La banque fut identifiée dans une enquête du Congrès comme étant une des trois banques des Rothschild aux États-Unis dans les années 1870, quand John D. créa pour la première fois la Standard Oil dans l’État de l’Ohio [19].

Un des associés de Rockefeller dans la Standard Oil était Edward Harkness, dont la famille fut amenée à contrôler Chemical Bank. Un autre fut James Stillman, dont la famille contrôlait Manufacturers Hanover Trust. Les deux banques ont fusionné sous l’ombrelle de JP Morgan Chase. Deux des filles Stillman marièrent deux des fils de William Rockefeller. Les deux familles contrôlent également une grosse part de Citigroup [20].

Dans les affaires des assurances, les Rockefellers contrôlent Metropolitan Life, Equitable Life, Prudential and New York Life. Les banques de Rockefeller contrôlent 25 % de tous les biens des 50 plus grandes banques commerciales des États-Unis et 30% de tous les biens des 50 plus grosses compagnies d’assurance aux États-Unis [21]. Les compagnies d’assurance, la première aux États-Unis fut créée par les franc-maçons, jouent un rôle important dans la donne de l’argent de la drogue aux Bermudes.

Les entreprises sous contrôle des Rockefeller incluent Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoran, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Honeywell, International Paper, Pfizer, Mororola, Monsanto, Union Carbide et General Foods.

La fondation Rockefeller a des liens très étroits avec les fondations Carnegie et Ford. D’autres aventures philanthropiques de la famille incluent le fond des frères Rockefeller, Rockefeller Institute for Medical Research, General Foundation Board, Rockefeller University et l’université de Chicago, qui vomit régulièrement un flot continue d’économistes d’extrême droite, apologistes du capital international, incluant Milton Friedman.

La famille possède le 30 Rockefeller Plaza, où l’arbre de Noël national est allumé chaque année, et le Centre Rockefeller. David Rockefeller a contribué à la construction des tours du WTC. La maison de famille des Rockefeller est un complexe dans la partie bourgeoise de New York appelée Pocantico Hills. Ils possèdent également un duplex de 32 pièces sur la 5ème avenue à Manhattan, un manoir à Washington DC, le ranch Monte Sacro au Venezuela, des plantations de café en Équateur, plusieurs fermes au Brésil, une grande propriété à Seal Harbor, dans le Maine, et des stations balnéaires dans les Caraïbes, Hawaïï et à Porto Rico [22].

Les familles Dulles et Rockefeller sont cousines. Allen Dulles créa la CIA, assista les nazis, couvrit l’assassinat de Kennedy de la commission Warren et fit une alliance avec la confrérie des Frères musulmans pour créer des assassins conditionnés [23].

Son frère John Foster Dulles, fut président des trusts bidon de la Goldman Sachs avant l’effondrement de la bourse en 1929 et aida son frère à renverser des gouvernements au Guatemala et en Iran. Tous deux étaient membres de la société secrète Skull & Bones, du Conseil en relations étrangères (CFR) et franc-maçons au 33ème degré [24].

Les Rockefeller contribuèrent à former le club de Rome et son agenda de dépopulation, dans leur propriété familale de Bellagio en Italie. Leur propriété de Pocantico Hills donna naissance à la commission Trilatérale. La famille est une pourvoyeuse de fonds importante pour le mouvement eugéniste, qui accoucha d’Hitler, du clonage humain et de la forme courante d’obsession génétique sur l’ADN qui court dans les cercles scientifiques américains.

John Rockefeller Junior fut à la tête du conseil de la population jusqu’à sa mort [25]. Son fils du même nom est un sénateur élu pour la Virginie de l’Ouest. Son frère Winthrop Rockefeller fut lieutenant gouverneur d’Arkansas et demeure l’homme le plus puissant de cet état. Dans une interview avec le magazine Playboy en Octobre 1975, le Vice-président Nelson Rockefeller, qui était aussi gouverneur de l’État de New York, articula les vues globalistes et arrogantes de sa famille de cette façon : « Je crois absolument dans une planification mondiale totale de l’économie, des affaires sociales, de la politique, de l’armée… »

Mais de tous les frères Rockefeller, c’est le fondateur de la commission Trilatérale et président de la banque Chase Manhattan, David, qui propulsa l’agenda fasciste de la famille sur la scène globale. Il défendit le shah d’Iran, le régime d’apartheid d’Afrique du Sud, et la junte militaire de Pinochet au Chili. Il fut le plus grand financier du CFR, de la commission Trilatérale et (pendant la guerre du Vietnam) du Comité pour une paix effective et durable en Asie, une aventure affairiste pour ceux qui faisaient leur argent et vivaient du conflit.

Nixon lui proposa d’être son secrétaire au Trésor (ministre des Finances, NdT), mais Rockefeller déclina l’offre, sachant que sa puissance était bien supérieure en étant à la tête de la banque Chase Manhattan. L’écrivain Gary Allen écrivit dans son livre Le Dossier Rockefeller en 1973 : « David Rockefeller a rencontré 27 chefs d’état, incluant les dirigerants de la Chine et de l’URSS. »

En 1975, après Le coup de la Nugan Hand Bank et de la CIA contre le premier ministre australien Gough Whitlam, son successeur nommé par la couronne britannique se dépêcha d’aller aux Etats-Unis où il rencontra Gerald Ford après avoir rencontré David Rockefeller [26].

Lire la deuxième partie de l’article

Source originale (en anglais) : globalresearch.ca.

Pour approfondir, avec Kontre Kulture :

Notes

[1] L’expression « quatre cavaliers » fait référence aux « Quatre Cavaliers de l’Apocalypse » (voir Wikipédia).

(Ndlr E&R)

[2] En anglais : « behemoth ».

Béhémoth

Pluriel du mot qui désigne, en hébreu biblique, les animaux domestiques (« bétail » dans le récit de la Création, Gen., i, 24). Dans le livre de Job (xl, 15), Béhémoth prend l’allure d’un pluriel intensif et mythique : il désigne la Bête par excellence, la force animale que Dieu le créateur peut seul maîtriser, mais dont la domestication échappe à l’homme. Béhémoth semble évoquer l’hippopotame, animal qui, selon les bas-reliefs égyptiens, s’avançait jadis jusqu’en Basse-Égypte.

Comme monstre mythique, Béhémoth, joint à Léviathan, est d’origine babylonienne : tous deux représentent les deux monstres primordiaux du chaos, Tiamat et Kingu de la mythologie babylonienne.

On retrouve Béhémoth dans la littérature apocalyptique juive, au seuil de l’ère chrétienne. À partir de l’Énoch éthiopien (lx, 7-9), il a des qualités distinctes de celles de Léviathan ; celui-ci conserve les caractéristiques de monstre aquatique qu’il avait déjà, Béhémoth prend celles, qu’il n’avait pas à l’origine, d’un monstre terrestre. Dans Baruch syriaque (xxix, 4), il est dit que les deux êtres, apparus au cinquième jour de la Création, seront servis en nourriture aux justes au grand banquet messianique. La même idée se retrouve dans le IVe Livre d’Esdras (vi, 47).

(Source)

(Ndlr E&R)

[3] 10K Filings of Fortune 500 Corporations to SEC. 3-91.

[4] 10K Filing of US Trust Corporation to SEC. 6-28-95.

[5] « The Federal Reserve “Fed Up” ». Thomas Schauf, 1-02

[6] The Secrets of the Federal Reserve, Eustace Mullins, Bankers Research Institute, Staunton, VA, 1983, p.179.

[7] Ibid., p. 53.

[8] The Triumph of Conservatism, Gabriel Kolko, MacMillan and Company New York, 1963, p. 142.

[9] Rule by Secrecy : The Hidden History that Connects the Trilateral Commission, the Freemasons and the Great Pyramids, Jim Marrs, HarperCollins Publishers, New York, 2000, p. 57.

[10] The House of Morgan, Ron Chernow, Atlantic Monthly Press, New York, 1990.

[11] Marrs, p. 57.

[12] Democracy for the Few, Michael Parenti, St. Martin’s Press, New York, 1977, p. 178.

[13] Ron Chernow.

[14] The Great Crash of 1929, John Kenneth Galbraith Houghton, Mifflin Company, Boston, 1979. p. 148.

[15] Ron Chernow.

[16] Children of the Matrix, David Icke, Bridge of Love, Scottsdale, AZ, 2000.

[17] The Confidence Game : How Un-Elected Central Bankers are Governing the Changed World Economy, Steven Solomon, Simon & Schuster, New York, 1995, p. 112.

[18] Marrs, p. 180.

[19] Ibid. p. 45.

[20] The Money Lenders : The People and Politics of the World Banking Crisis, Anthony Sampson, Penguin Books, New York, 1981.

[21] The Rockefeller File, Gary Allen, ’76 Press, Seal Beach, CA, 1977.

[22] Ibid.

[23] Dope Inc. : The Book That Drove Kissinger Crazy, Editors of Executive Intelligence Review, Washington, DC, 1992.

[24] Marrs.

[25] The Rockefeller Syndrome, Ferdinand Lundberg, Lyle Stuart Inc. Secaucus, NJ, 1975, p. 296.

[26] Marrs, p. 53.

 






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  • #284942
    Le 16 décembre 2012 à 21:47 par gather
    Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

    j’ai un peu de mal a suivre en economie.
    questions :
    Est ce le 21 decembre 2012 que la FED finie son "contrat" de 100 ans pour faire tourner la planche a dollars ???
    Si oui, ce contrat va t’il etre renouvele ??
    Si quelqu’un peut eclairer ma lanterne, merci.

     

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    • #285237
      Le Décembre 2012 à 09:33 par Thomas M.
      Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

      Pierre Hillard disait qu’il n’avait pas mis la main sur le document officiel ; et moi, tout ce que j’ai trouvé, c’est que cet article existait lors de la création de la Fed, mais que les termes en ont été changés depuis en un bail sans fin déterminée. Et puis, il y a le fait que de toute façon, ça fait longtemps qu’ils font avec ou sans les lois.

       
    • #285252

      salut camarade ce n’est pas le 21 décembre 2012 mais le 22 décembre 2012 et normalement le contrat devrait être renouvelé surtout que ceux qui signent sont ceux qui commandent .a moins qu’ils veulent exploser leur système bancaire .
      rendez vous le 23 décembre 2012 .

       
  • #285027
    Le 16 décembre 2012 à 23:15 par Le Génitron
    Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

    Les Rockefeller ont aussi investit pas mal de flouze dans la rénovation du Château de Versailles aprés la Première Guerre Mondiale puis plus récemment pour réparer les dégâts occasionnés par David Rockefeller lorsqu’il joua de la HAARP sur la France et par deux fois fin décembre 1999... Il fût ainsi décoré de la légion d’honneur quatre années plus tard par Jacques Chirac et la réunion du Bilderberg 2003 fût organisée dans le château de Versailles rénové...Les OGM étaient enfin autorisés en France...

     

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  • #285180
    Le 17 décembre 2012 à 04:47 par Druide
    Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

    Cet article sur le cartel de la Fed et les "8 familles" ne mentionne pas les juifs MEYER-GRAHAM, qui règnent dans les médias (The Washington Post et jusqu’à récemment Newsweek, etc.) et dont le patriarche Eugene Meyer fut chairman du FEDERAL RESERVE BOARD de New York et fut même le PREMIER Président de la Banque mondiale !
    washpostco.com/phoenix.zhtml ?c=62487&p=irol-historykgrahamobituary

    Plus de détails sur Eugene Meyer et les Meyer-Graham dans cet article de Michael Collins Piper.
    http://www.americanfreepress.net/ht...

     

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  • #285212
    Le 17 décembre 2012 à 08:44 par Thomas M.
    Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

    Voilà qui devrait instruire M. Jovanovic, qui n’a pas encore compris que J.P. Morgan, c’était Rothschild. Il déclarait récemment encore que nous "croyons que la JP Morgan a chômé pendant tout ce temps." et que la descendence Rothschild était "dégénérée". Si j’ai apprécié son livre sur Blythe, il n’en reste pas moins qu’à force de refuser de regarder plus loin, on rate tout !

     

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  • #285220
    Le 17 décembre 2012 à 09:03 par Yannis
    Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

    C’est d’utilité public !!!
    Il faut absolument partager cet article et ces suites ...

     

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  • #285222
    Le 17 décembre 2012 à 09:07 par moi-même
    Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

    Je me demande si l’homme crasseux du moyen age n’était pas plus lucide et éveillé que celui d’aujourd’hui et aurait identifie l’arnaque. La théorie de l’évolution (physique) peut être vraie, mais celle de l’abrutissement de l’esprit est quasi-certaine.

     

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    • #285873
      Le Décembre 2012 à 23:05 par SpiritusRector
      Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

      Bien entendu, mais c’est en réalité là que se trouve toute "l’arnaque"... Le bon sens est aujourd’hui quasiment inversement proportionnel à "l’éducation"... Non que les deux concepts soient opposés par essence, la réalité actuelle nous montre simplement que "l’éducation" au sens qu’elle possède intrinsèquement aujourd’hui n’a plus d’autres but que l’asservissement utile de l’esprit au système de pensée unique du monde marchand...

      De plus en plus savants et spécialisés, et de moins en moins aptes (et volontaires) pour embrasser une vision globale et lucide du monde... Les classes intellectuellement dominantes sont les mieux placées pour avoir compris rapidement où menaient une "éducation" poussée sur les "bons" rails du mercantilisme libertaire...
      Et voyant le résultat de la chose, se battirent corps et biens pour y pousser tout le monde de gré ou de force...

      Aujourd’hui on trouve parfaitement normal d’évaluer l’intelligence et la pertinence des gens sur leur capacité à ingurgiter et produire des modes de pensée utiles à la préservation du système de la pensée unique.

      Toute pensée réellement différente et basée sur des valeurs est rejetée et qualifiée d’arriérée ou d’inégalitaire... Ces "valeurs" ne sont bien souvent rien d’autre que des constats simples sur les différences fondamentales qui existe entre les différentes choses et créatures qui interagissent dans ce monde...
      Un homme est un homme, une femme est une femme... La pensée unique qui sans se l’avouer réellement met déjà l’Homme à la place de dieu ne tolère aucune limite à son champs de vision car cela lui donne l’impression d’être à l’avant-garde... En réalité cette pensée unique se mord déjà la queue... Elle n’est déjà plus bonne qu’à réformer ou enterrer le passé pour s’inventer un avenir... Chimérique... Aujourd’hui acculée ce mode de pensée devient de plus en plus sauvage et discordant... Signe de son extinction prochaine. Il n’appartient qu’à nous qu’il fasse le moins de victimes possible... En s’écroulant...

       
  • #285236
    Le 17 décembre 2012 à 09:30 par goy pride
    Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

    Une belle brochette de Burkinabés ! Comprendra qui pourra... ;-)

     

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  • #285300
    Le 17 décembre 2012 à 11:31 par Marcovich
    Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

    Bonjour...ça craint ! ces mecs sont "intouchables" immensément riches et leur plan s’étale sur un siècle pratiquement. comment, nous, pourrions faire quoique ce soit pour contrer leurs objectifs sataniques ??

     

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    • #285905
      Le Décembre 2012 à 23:52 par SpiritusRector
      Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

      Nul besoin de faire quoi que ce soit d’autre pour le moment que de comprendre, faire comprendre et partager... Aider ceux qui se noient dans un verre d’eau d’où personne ne les sortira car tout le monde est trop occupé à courir après l’hypothétique projecteur de la gloire ou de la fortune...
      Leurs plans sont plein de lézardes... Ils ont les moyens de les masquer, mais peinent malgré tout à le faire... Ils n’ont pas tort sur toute la ligne, le monde doit s’unifier... Il ne s’unifiera pas comme ils le pensent, c’est tout...

      C’est un peu chaque jour et partout que l’occasion se présente de faire naître les idées qui demain ou dans dix ans, balayeront définitivement leurs vieux rêves tyranniques et leurs dynastie avec...

      A mon avis si nous connaissions les ambitions et visions initiales de tous les vampires premiers du nom de chacune de ces familles d’assassins, nous serions hilares de les imaginer se retourner dans leurs tombes en ayant vu leurs espoirs devenir poussière... Ceux qui ont la plume écrivent l’histoire, surtout la leur, et en particulier leur triomphes... Mais pour atteindre leurs objectifs, ils doivent s’exposer toujours d’avantage, et il n’est pas certain que les futurs revers soient aussi faciles à dissimuler...

      Que pouvons nous faire ? Tout, eux sont très limités... Pour que leurs plans fonctionnent ils doivent les bâtirent et les modifier sur mesure à chaque instant... Ils agissent en fonction de nous, pas l’inverse, nous imposons le rythme si nous le voulons, nous avons l’initiative... Leurs plans se résument à unifier et réduire les élites, diviser et multiplier les "petites gens"... Beaucoup de gens appliquent déjà cette grille de lecture à des degrés différents... Il ne faut qu’une étincelle, une erreur, un mauvais calcul, ou tout simplement que les choses continuent ainsi... Les balles et les matraques ne font peur qu’à ceux qui ont encore une autre issue...

       
  • #285301
    Le 17 décembre 2012 à 11:31 par personne
    Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

    Je repense à la phrase d’"Alain", "faire monter le niveau", et là je m’inquiète...
    Il y d’autres auteurs plus sérieux que ce journaliste qui mélange un peu tout, le vrai et le faux :
    Le fait de s’appuyer sur les "travaux" d’un "rebelle au système", fabriqué clefs en mains par ce même système et évidemment vendu et distribué à des tonnes d’exemplaires, à savoir David Icke,est plus que révélateur...
    David Icke, celui qui voit des lézards géants partout sans comprendre que "V", c’est une parabole sur ceux qu’on ne nomme pas.
    Celui qui voit aussi des nazis partout, jusqu’à aujourd’hui, et même au centre de la terre et dans l’espace.
    Le plus grave c’est que je ne fait que reprendre David, c’est même pas du second degré.
    Plus sérieusement réfléchissez à la shoannanas rémunératrice et vous comprendrez que tout est du même acabit, il faut croire sur parole sinon attention, hein, crime de lèse majesté !
    Manipulation et fabrication de l’émotion...
    Une vraie raison à la seconde guerre mondiale est que comme l’écrivait Churchill déjà en 36, il fallait détruire le peuple allemand, unité supérieure et cohérente de résistance à l’empire.
    Une autre raison fut la réussite de l’Allemagne et l’exemple qui en découlerait pour les autres nations :
    Bien que les persécutions n’aient commencé qu’en 42,
    dès 33 toute la presse internationale annonçait que le monde israêlite déclarait la guerre à l’Allemagne, le boycott de ses exportations, boycott aussi financier...
    Or malgré tout ça, l’Allemagne, affamée par la finance cosmopolite et le Traité de Versailles, dont la situation pourrait je crois à l’époque être comparable à celle d’un pays du tiers-monde à l’arrivée d’Hitler au pouvoir, en à peut près trois ans, n’avait plus un chômeur ou un pauvre ou un malade sans assistance publique....
    Et c’est là qu’on peut dire justement que l’auteur henderson ment ou n’est pas sérieux dans ses sources, car Halmar Schacht, juif ( et alors ?), fut justement rapidement remplacé, à cause de son opposition technique au programme financier des nationaux socialiste.
    En effet ceux-ci, suite au boycott financier, ont découvert empiriquement un système
    d’émission de monnaie correspondant à la quantité de travail fourni.
    Juste logique et terriblement efficace, une fois qu’il aurait été théorisé et pris en exemple,
    cela aurait été la fin de la dictature financière mondiale !
    Aujourd’hui, par la destruction de l’Europe et la prise de pouvoir consécutive des US, nous en sommes toujours à la même situation..

     

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    • #285392
      Le Décembre 2012 à 13:59 par Le Chaton
      Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

      Tout a fait d’accord avec vous !
      La FED est privé et ce n’est pas un secret !
      http://www.wikiberal.org/wiki/Feder...
      La fortune de Rothshild et de Goldman Sach vient de son Réseau tentaculaires qui leurs permettent de manipuler les cours des monnaies et des actions via des quasi-délits d’initié et pas des intérets de la FED.
      Les Rothshild n’ont pas attendu la loi de 73 pour controler la finance française.
      La Monnaies est créé a partir du Crédit ! J’ai appris ça en 1ere année de DEUG AES
      La BCE est public, qu’est ce que ça change ? Rien
      Hitler a été soutenu par Wall Street car Wall Street avait peur des bolcheviks, je l’ai appris au collége...
      Wall Street a soutenu les Bolcheviks pour se venger du Tsar pour les pogroms, même Attali le dit dans ses livres ( dans " Les Juif, l’Argent, le Monde")

       
  • #286057
    Le 18 décembre 2012 à 10:41 par moi-même
    Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles (partie 1)

    bonjour, est il réellement possible d’élever la conscience et le niveau de toute une majorité par l’esprit (plutôt que d’attendre l’éveil des sens) et d’entretenir cet état et en faire une tradition. Si la révolution était réellement populaire, peut on espérer a nouveau qu’il y en ait une même avec le déracinement religieux de la France (conséquence directe, en remerciements au peuple "révolutionnaire" !!!!!!!!!!!) ???

     

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