Cette bande d’idiotes résument à elles seules la déchéance de la femme blanche occidentale dont le virus féministe a pris le contrôle.
Au lieu de fonder une famille, élever des enfants, entretenir leur foyer et frotter le carrelage de leur cuisine, que font-elles ? Elles se donnent en spectacle, beuglant en hystériques dans une scène ahurissante et improbable, les passants tout aussi ahuris et complices immortalisant l’instant.
Pour paraphraser Roger Dommergue dans l’interview culte de 50 minutes, on va pas débattre de la connerie féminine et de la malléabilité de la femme à toutes les idéologies dont on connaît l’origine.
Soros doit jubiler de voir l’horloge biologique de ces jeunes bien blanches tourner, réduisant leur fertilité à néant et limitant l’espèce autochtone sur son territoire. Quant elles se rendront compte de leur infamie, si elles s’en rendent compte un jour, il sera trop tard, la ménopause aura pris corps et la solitude et la misère seront leur pain quotiden, les subventions de Soros les délaissant pour d’autres objectifs et de plus jeunes blanches.
Après on s’étonne de voir de jeunes hommes Africains faire la queue pour s’échouer sur les rivages de l’Europe, attirés par ces cloches, prêtes à leur ouvrir leur porte et leurs cuisses. Logés, nourris, entretenus jusqu’en dessous de la ceinture et tout ça aux frais du gentil contribuable veautant pour que rien ne change
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